Auteur Sujet: Canular, les SWATTING pas trés futés qui vont couter cher à leurs auteurs !  (Lu 9592 fois)

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Intervention de deux équipes cynophile de la Garde républicaine (ECGR2) et de la Gendarmerie des Transports Aériens (GTA d'Orly),  sur une alerte à la bombe à Chissay en Touraine.

Un appel malveillant a déclenché une alerte à la bombe, ce mardi matin au supermarché Super U de Chissay-en-Touraine. Le préfet de Loir-et-Cher a fait totalement évacuer le bâtiment.
Deux équipes cynophiles spécialisées dans la recherche d'explosifs sont intervenues.

A la veille du réveillon de Noël, le magasin Super U de Chissay-en-Touraine accueillait entre 300 et 400 personnes ce matin, lorsqu'un appel malveillant s'est traduit par la fermeture temporaire du supermarché.

Cet appel annonçait  qu'une "bombe allait exploser". Alors que la gendarmerie et les sapeurs-pompiers étaient alertés et dépêchaient des équipes sur place, le préfet du Loir-et-Cher décidait de faire totalement évacuer le bâtiment. En raison de la situation nationale et des événements survenus ces derniers jours à Joué-lès-Tours, Dijon et Nantes, le représentant de l’État a en effet décidé de ne pas prendre le moindre risque.

Une équipe spécialisée de la gendarmerie des transports aériens d'Orly et une de la garde républicaine se sont rendues sur les lieux, avec des chiens entraînés à la recherche d'explosifs. Pendant leur intervention, le magasin et son parking ont été bouclés par les forces de l'ordre, qui en interdisent l'accès. Un hélicoptère se tient disponible sur la zone, en cas de besoin.

Une enquête judiciaire a été immédiatement lancée. Les recherches menées par les équipes cynophiles n'ont pas révélé la présence d'explosifs. La préfecture a donc autorisé la réouverture du magasin à 18 h 30.

Le 22 décembre 2014, l'équipe cynophile de la Garde républicaine et une seconde de la GTA d'Orly, toutes les deux spécialisées dans la recherche d'explosifs, sont mises en alerte sous le signe de l'urgence et héliportées pour une intervention à Chissay-en-Touraine (41) dans le cadre d'une alerte à la bombe dans un supermarché.

Les recherches menées par les équipes cynophiles n'ont pas révélé la présence d'explosifs. Il s'agissait d'un canular de mauvais goût.
L'auteur du coup de téléphone malveillant qui a déclenché une alerte à la bombe au magasin Super U de Chissay-en-Touraine a été démasqué et interpellé par les gendarmes. Il a été présenté au tribunal correctionnel de Blois pour y être jugé en comparution immédiate.
Hélas l'homme soupçonné d'être à l'origine de l'alerte à la bombe de Chissay-en-Touraine et jugé au tribunal correctionnel de Blois, en comparution immédiate, a été relaxé faute de preuves. Le numéro du téléphone portable utilisé correspondait à celui de sa compagne mais les juges ont estimé que l 'on ne pouvait formellement identifier l'auteur du coup de téléphone malveillant.

Cette intervention, relayée par les médias locaux, a mis en valeur la capacité de réaction de la Gendarmerie et de la Garde républicaine en particulier.

Hors ligne Jeano 11

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Le "Swatting" un jeu vidéo pas très futé et un canular ridicule !
Un premier joueur victime de ce type de canular en France  8)
Un streamer français -qui diffuse sur Internet la vidéo de ses jeux en direct- a été victime d'un canular téléphonique provoquant l'intervention de la police chez lui.
Cette pratique illégale est très répandue aux Etats-Unis.
Le principe consiste à faire un canular téléphonique aux forces de l'ordre dans le but de les faire intervenir chez un joueur, pendant qu'il diffuse sa vidéo en direct sur Internet. Le swatting tire justement son nom du Swat, l'équivalent des policiers d'élite du GIPN français.
C'est ce qu'il s'est passé au domicile d'un joueur, ce streamer est interrompu par les forces de l'ordre, apparemment des membres de la BAC :-[
"Il veut tuer sa femme" !!
"À genoux, les mains sur la tête!", ordonnent les policiers. Bibix, qui cumule plus de 130 000 abonnés sur YouTube et 60 000 sur Twitch, s'exécute et reste calme, tout en expliquant qu'il s'agit d'un canular. 
Il explique alors aux forces de l'ordre qu'ils sont filmés en direct. La caméra, puis le micro sont neutralisés -non sans mal- coupant court au canular. Entre-temps, on entend la petite amie du joueur, paniquée, fondre en larmes.
Ce phénomène est particulièrement répandu au sein de la communauté des joueurs en ligne, par de mauvais perdants ayant du mal à digérer leur défaite. D'un esprit revanchard, ces "génies" de l’informatique réunissent le maximum d’informations personnelles sur leur cible via son adresse IP ou ses comptes sur les réseaux sociaux. Plus l’appel est crédible aux yeux des autorités, plus ces dernières prendront la menace au sérieux et plus les moyens dépêchés sur place seront importants.

RAPPEL :
Le swatting est puni par la loi aux États-Unis mais aussi en France. La police nationale a d'ailleurs publié un tweet mercredi en début de soirée pour expliquer que, selon l'article 322-14 al.2 du code pénal, ce type de canular est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende.
Un avocat interrogé par Gameblog estime lui que les "blagueurs" tombent sous le coup de l'article 226-10 du code pénal, qui prévoit jusqu'à 5 ans d'emprisonnement et 45 000 euros d'amende. Une enquête a été ouverte.  8)
 
Libellé de l'infraction :
La dénonciation, effectuée par tout moyen et dirigée contre une personne déterminée, d'un fait qui est de nature à entraîner des sanctions judiciaires, administratives ou disciplinaires et que l'on sait totalement ou partiellement inexact, lorsqu'elle est adressée soit à un officier de justice ou de police administrative ou judiciaire, soit à une autorité ayant le pouvoir d'y donner suite ou de saisir l'autorité compétente, soit aux supérieurs hiérarchiques ou à l'employeur de la personne dénoncée, est punie de cinq ans d'emprisonnement et de 45000 euros d'amende.
La fausseté du fait dénoncé résulte nécessairement de la décision, devenue définitive, d'acquittement, de relaxe ou de non-lieu déclarant que la réalité du fait n'est pas établie ou que celui-ci n'est pas imputable à la personne dénoncée. En tout autre cas, le tribunal saisi des poursuites contre le dénonciateur apprécie la pertinence des accusations portées par celui-ci.


Le Swatting, un appel qui peut vous coûter cher !  :'(
Avez-vous entendu parler du SWATTING, un nouveau "phénomène" qui nous vient des États-Unis ? Il s'agit de provoquer l'intervention des forces de l'ordre au domicile d'un joueur en ligne, en inventant à son insu, des scénarios graves...
Petit rappel : tout appel au 17 ou au 112 malveillant, canular, ou fausse alerte, est puni par la loi.

La Police et la Gendarmerie rappellent à juste titre qu’en mobilisant des équipes entières de forces de l’ordre dans des opérations inutiles et débiles, ce sont d’autres appels, d’autres victimes innocents qui ne peuvent être aidés.

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Bis repetita. Vingt quatre heures après l'alerte à la bombe au siège de La Nouvelle République à Tours, un scénario quasiment identique vient de se reproduite à Loches.
L'appel a été passé à 14 h 43, depuis une cabine de Loches.
Directement à la gendarmerie, via le 17. Au téléphone, la personne a indiqué que le lycée professionnel Émile-Delataille, à Loches, aller exploser dans les 90 minutes.  :o
Dans ce contexte post-attentats, et après la fausse alerte à la bombe au siège de la NR avant-hier, ce fut aussitôt le branle-bas de combat. Sous la conduite de la gendarmerie (Gendarmes de Loches, de Descartes, du Grand-Pressigny, du peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie et de la brigade de recherches, le PSPG d'Avoine, les sapeurs-pompiers, les démineurs de la sécurité civile, l'équipe cynophile de la GRP spécialisée dans la recherche d'explosif ) et des enseignants, les 186 élèves présents dans l'établissement ont été évacués, puis mis au chaud et en sécurité dans le collège Georges-Besse situé en face. A 15 h 25, le lycée professionnel était entièrement vide.

Le peloton spécialisé de protection de la gendarmerie d'Avoine est venu apporter son expertise en entamant une première inspection des locaux. Le délai d'une heure et demie s'est écoulé sans que rien ne survienne.
Un chien spécialisé dans la recherche d'explosifs, issu de la Garde républicaine, donc de Paris, est ensuite entré en action vers 18 h 45 pour confirmer qu'il n'y avait rien à redouter. Des démineurs de La Rochelle ont également apporté leur concours.

Après plus d'une semaine d'enquête menée par la gendarmerie de Loches, l'auteur de deux alertes à la bombe a été interpelé le 26 janvier à Loches. Il s'agit d'un homme habitant Loches, âgé d'une cinquantaine d'années, et déjà connu des forces de l'ordre pour d'autres faits. Placé en garde à vue, il a reconnu être à l'origine de l'alerte à la bombe pour le lycée professionnel Emile-Delataille.
Il avait appelé la gendarmerie depuis une cabine téléphonique du centre-ville de Loches.
Selon le commandant S..., il s'agit d'un acte isolé, "irraisonné", qui n'a aucun lien avec les récents attentats djihadistes.

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Poisson d'avril ... Vous avez décidé de piéger vos amis ?
Il y a des blagues qui ne font pas rire même le 1erAvril  8)
Le swatting, une blague de bien mauvais goût, venue des Etats-Unis  >:(

Une autre blague de potaches qui coûte cher.  :'(
L'agression simulée d'une jeune femme au téléphone a en effet mobilisé dans la nuit de samedi à dimanche près de trente gendarmes et policiers du Val-d'Oise, des Yvelines et de la Seine-Saint-Denis mais également l'appui d'un hélicoptère.
Autant dire tout de suite que ce canular n'a pas vraiment fait rire les forces de l'ordre.

La gendarmerie du Val-d'Oise a ainsi expliqué que dans la nuit de samedi à dimanche qu'à 01h34, le COG reçoit un appel utilisant un téléphone portable et demandant de l'aide. Au milieu des cris de détresse, une jeune femme signale se trouver dans les bois poursuivie par des hommes".
Les voix d'hommes que les militaires entendent confirment a priori que la jeune femme est en effet en danger. D'autant plus que la ligne a été coupée brutalement toujours selon les policiers qui ont alors géolocalisé l'appel mais surtout prévenu "plusieurs unités des groupements de gendarmerie du Val-d'Oise et des Yvelines, ainsi que la police des Yvelines et de la Seine-Saint-Denis, environ une trentaine d'hommes".
Ces derniers partent ainsi à la recherche de la jeune femme à l'origine de l'appel. Pour les aider dans leur quête : un hélicoptère de la gendarmerie doté d'une caméra thermique.

Les forces de l'ordre se rendent compte en arrivant sur place qu'il ne s'agit que d'un simple canular. Un adolescent de 16 ans leur explique en effet avoir "appelé le 17 [numéro d'urgence de police secours] pour s'amuser avec des copains" et avoir prêté son téléphone portable à une de ses amies pour qu'elle simule l'agression.  :o

L'histoire est loin d'être terminée car la bande de jeunes "rigolos" commencent à rire jaune et devrait très bientôt regretter la mauvaise blague. " Une procédure correctionnelle est en cours pour dénonciation de faits abusifs ayant entraîné des recherches ou des secours " et les jeunes à l'origine du coup de téléphone pourraient donc "se voir réclamer le remboursement des frais engagés par les services de secours dans ce genre de situation". Or déplacer une trentaine d'hommes et un hélicoptère doté d'une caméra thermique a un certain coût.  :P

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1er avril : humour, humour... ou pas
C'est le 1er avril et bien entendu, les poissons seront de sortie... mais certains volent très bas  :-\
Vous serez certainement nombreux à avoir prévu des petites blagues rigolotes à faire à vos proches ou collègues de travail.
Cependant, sachez qu'il y a des blagues qu'il ne faut pas faire, même ce jour là et qui peuvent vous couter très cher !À l'image du canular imaginé par une employée d'une mairie de la région parisienne, en vacances à Fouesnant dans le Finistère.
Cette dernière a alerté par sms ses collègues de Paris qu'elle était prise en otage à la Poste de la commune... Ces derniers, très inquiets, ont immédiatement alerté la gendarmerie locale et une trentaine de gendarmes ont été dépêché sur les lieux... pour rien. !!!
L'employée est convoquée à la gendarmerie avant d'être présentée à un juge.

Citer

Cherchant à faire une blague à ses collègues de bureau restés à Paris, une femme en vacances en Bretagne a fait croire qu'elle était victime d'une prise d'otages.
 Résultat : une trentaine de gendarmes ont été mobilisés pour ce canular ridicule, à Fouesnant (Finistère).

Les gendarmes ont été alertés, vers 10h30, par les employés d'une mairie de la région parisienne, qu'une prise d'otages était en cours dans ce bureau de Poste de la ville bretonne. Ils venaient de recevoir un SMS d'une de leurs collègues, en vacances à Fouesnant, leur assurant qu'elle se trouvait au bureau de poste de la commune au moment de cette attaque.
 "A partir de là s'enclenche un engrenage qu'à mon avis, l'émettrice du SMS n'avait pas bien imaginé ou calculé les conséquences au départ de son acte", a rapporté le chef d'escadron de gendarmerie.

Au même moment, l'émettrice du SMS a renvoyé un message avouant qu'il s'agissait d'un "poisson d'avril", mais c'était déjà trop tard, ... les gendarmes se rendaient sur place. "On ne peut pas savoir si ce sont les braqueurs qui nous annoncent que c'est un canular, il faut que l'on vérifie, ce qui prend du temps et énormément de moyens", a expliqué le militaire, rappelant que le Code pénal prévoit pour ce type de délit jusqu'à deux ans d'emprisonnement et 30 000 euros d'amende.

L'auteure du canular a été entendue par les gendarmes et le dossier sera transmis au parquet de Quimper, qui décidera des poursuites judiciaires à son encontre.

[RÉPONSE AUX INTERNAUTES] Mauvais canulars, vraies sanctions  :-[

Depuis notre vidéo sur facebook d'hier dénonçant les mauvais, voire dangereux canulars faits aux gendarmes, vous êtes nombreux à nous demander quelle est la sanction encourue par les auteurs ?
 
Et bien sachez que toute personne qui provoque volontairement l'intervention inutile de la gendarmerie, de la police ou des secours risque jusqu'à 2 ans d'emprisonnement et 30 000 euros d'amende (Art. 322-14 al.2 du Code pénal).

Alors, croyez-vous vraiment que le jeu en vaut la chandelle ?!  ???

Rappelez vous que lorsque vous appelez les centres de secours (Police, Gendarmerie, Pompier, SAMU) des personnels et des moyens sont détournés des urgences réelles !
#TousResponsables
https://amp.twimg.com/v/94614ba0-85b0-40cb-9015-ae3b543ec6fe

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Un canular qui va lui coûter cher.   :'(
Les blagues du 1er avril les plus courantes restent des canulars téléphoniques». Le SMS est aussi devenu un support prisé pour faire croire à des histoires abracadabrantesques à ses proches et pour rigoler au passage de leur naïveté.... tout en restant dans la légalité et sans encombrer les lignes dédiées aux services de secours.

Rappel : toutes les blagues ne sont pas bonnes à faire  :-[
Nous partageons la publication de la page Facebook de la Gendarmerie de la Somme qui relate un malheureux et stupide événement de ce week-end : un canular téléphonique qui a mobilisé des gendarmes et des moyens matériels inutilement !
 
L'auteure de cette "farce", une mineure, qui est convoquée le 23 juin 2015 au tribunal pour une
" dénonciation mensongère à une autorité judiciaire entraînant des recherches inutiles", délit punit d'une peine d'emprisonnement de 6 mois et 7500 €, sans compter, en sus, du coût financier pour les recherches entreprises.
A minuit, une jeune fille de 14 ans résidant à Athies, appelle la gendarmerie affolée : elle vient de se faire emmener de force par un inconnu dans un véhicule et elle est séquestrée dans un immeuble.
Devant la gravité des faits, la chose est prise au sérieux par le militaire de garde au COG et une trentaine de gendarmes et des moyens importants sont engagés, les enquêteurs, en liaison avec le Parquet d'Amiens, cherchent à localiser la victime présumée. Deux heures plus tard, celle-ci rappelle la gendarmerie pour indiquer qu'une nouvelle jeune fille vient d'être enlevée... :-\
Au milieu de la nuit, la supposée victime précise qu'elle vient d'être enfermée dans le coffre d'une voiture. L’hélicoptère entre alors en action. Au cours de la matinée, suite à différentes investigations, la mineure est finalement découverte par les gendarmes à qui elle annonce, toute souriante, que ce n'est une farce.
Un sourire qu'elle perdra assez vite pour se transformer en larmes de crocodile, suite à son audition devant les gendarmes.

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Gendarmerie de la Gironde rappelle qu'abuser n'est pas jouer  >:(

UN CANULAR QUI N'AMUSE NI LES FORCES DE L'ORDRE NI LA JUSTICE !

Hier soir, un habitant de la commune de Lesparre-Médoc s'est rendu à la brigade de gendarmerie locale pour signaler qu'il venait de recevoir un SMS préoccupant de la part d'un inconnu :

« J'ai caché le corps, je fais quoi maintenant ? »

Ces quelques mots ont suffi à procurer des sueurs froides au destinataire mais également aux enquêteurs qui, dans le doute, ont rapidement pris les faits au sérieux.

Durant son audition, l'intéressé qui a donné l'alerte a reçu un second texto expliquant que tout cela n'était qu'une vaste supercherie…  ;D
 
La géolocalisation et les diverses investigations menées par les militaires ont permis d'identifier rapidement le petit plaisantin domicilié à Dieppe (76).
Un jeu Facebook, vieux de plusieurs années, serait à l'origine de la mascarade.

L'auteur de cette « blague » a été contacté par les militaires et informé qu'une procédure pour dénonciation mensongère aux autorités judiciaires entraînant des recherches inutiles avait été établie à son encontre et qu'il encourait jusqu'à six mois.

Réfléchissez toujours à l'utilité de vos partages…
Mais une chose est sûre, les publications de notre page ne vous enverront jamais devant les tribunaux …
A bon entendeur …  ;)

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[VU DANS LA PRESSE] Un affabulateur interpellé - il pirate son ordinateur pour faire croire qu’il était menacé de mort  :-X

Un jeune homme de 20 ans a été placé en garde à vue lundi dernier et comparaîtra devant le tribunal de Meaux en novembre pour avoir inventé une histoire de toutes pièces et mobilisé les gendarmes pour... rien.
Lundi 9 septembre, ce jeune habitant de Bouleurs porte plainte auprès de la gendarmerie après avoir été victime d’un tir de Flash-Ball sur sa voiture. Le lendemain, c'est son père qui appelle la gendarmerie pour avoir aperçu quelqu’un s’enfuir de son jardin. Deux jours plus tard, le fils prétend cette fois avoir reçu des menaces de mort sur son compte Skype qui aurait été piraté.

Les gendarmes se rendent alors au domicile de la famille et alors qu’ils analysent le fameux compte Skype, ils reçoivent à leur tour un message menaçant : « Je vous vois, vous êtes dans ma ligne de mire ». Les militaires s’aperçoivent que le piratage provient... du jeune lui-même.
Au final, selon les premiers éléments de l’enquête, le jeune homme avait lui-même cassé son pare-brise pour faire croire qu’on lui avait tiré dessus. Il voulait semble-t-il punir ses parents. Une première expertise psychiatrique a été réalisée, avant que d’autres, plus approfondies, déterminent la santé psychiatrique de cet affabulateur.

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[CARTON ROUGE] Fausse alerte à la bombe au lycée...   :-\
... Mais vraie convocation en justice pour le très mauvais "plaisantin".  >:(
 La preuve !
Jeudi 7 Janvier 2016, une alerte à la bombe est déclenchée dans un lycée de Vic-en-Bigorre (65) après un appel anonyme. Plus de 300 élèves sont évacués.

Les gendarmes de la compagnie de Tarbes mènent l’enquête qui les conduit à un jeune homme de 26 ans, étudiant en alternance au sein de l'établissement.

Interpellé le 20 janvier, le mis en cause a reconnu les faits et sera jugé le 3 mars prochain. Après 3 jours "d'école buissonnière", sans certificat médical, il aurait agi ainsi pour éviter d'avoir à s'expliquer... Il encourt 2 ans d'emprisonnement.

Lors d'une conférence de presse jeudi, le procureur de Tarbes Eric Serfass et le commandant de compagnie, Jean Bouldoires, ont insisté sur la gravité de cet acte : l’appel comminatoire avait été passé un an jour pour jour après l’attentat de Charlie Hebdo dans un contexte d’état d’urgence interdisant de traiter cette menace à la légère.

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Il appelait le Samu pour s'amuser, la lettre d'excuses d'un petit pitchoun au CHU de Toulouse. Le jeune Toulousain, âgé de 6 ans, est venu avec son papa remettre une lettre de demande d'excuses au Samu. Il avait appelé le 15 plusieurs fois dans la même journée en insultant les opérateurs. De quoi perturber légèrement ce service du Samu et d’en aviser probablement les parents de l’enfant car ne l’oubliez pas votre numéro, même masqué, est identifiable  :(
« Je sais que vous sauvez des vies »   :-[
Mais en plus ou à cause de la leçon de morale reçue par le petit Toulousain, celui-ci a rédigé une lettre présentant une demande d’excuse au service d’urgence et s’y est rendu avec son père pour la remettre au personnel.
La direction du CHU de Toulouse l’a ensuite rendue publique sur les réseaux sociaux. https://twitter.com/CHUdeToulouse?ref_src=twsrc%5Etfw

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Un jeune mineur domicilié à Quimperlé (Finistère) a été placé en garde à vue après avoir diffusé sur internet, une fausse information. Il a reconnu les faits et devra répondre de son acte devant le juge des enfants.  :'(

Le mercredi 14 décembre 2016, la gendarmerie de Quimperlé est avisée qu’une fausse information circule sur Internet. Elle fait état d’une attaque à l’arme de guerre sur la brigade de Quimperlé avec un bilan de 5 « policiers » blessés. L’information est fausse.  :o  :-X  :P  :-[

Elle a été créée sur un site de divertissement hébergé en Belgique qui permet la création, l’hébergement et la publication de fausses actualités dans un but humoristique pour piéger des connaissances ou des tiers. Les fausses nouvelles peuvent ensuite être diffusées sur le réseau internet ainsi que sur des réseaux sociaux tels que Facebook et Twitter et ce, sous la seule responsabilité de leur créateur.

La fausse nouvelle de mercredi, pleine de fautes d’orthographe, a été partagé près de 90 000 fois dans la seule matinée de sa mise en ligne.

Saisie de cette affaire, la gendarmerie a procédé à des investigations et fait supprimer cette publication. La section de recherches de Rennes, avec l’appui du technicien N-TECH, a réussi très rapidement à identifier l’adresse IP de l’auteur.
L'enquête mène à un mineur  8)
Les militaires de la brigade de recherches et de la communauté de brigades de Quimperlé se sont présentés au domicile du mis en cause: un mineur domicilié à Quimperlé. Placé en garde à vue, il a reconnu avoir voulu faire une plaisanterie, sans en mesurer les conséquences sur les réseaux sociaux.
La plaisanterie est un délitIl est poursuivi pour le délit de « divulgation d’information fausse afin de faire croire à une destruction dangereuse ». Le mineur devra répondre de ses actes devant le juge des enfants en début d’année prochaine.

La gendarmerie rappelle que « ce type de plaisanterie peut avoir des conséquences lourdes, surtout dans une période où les atteintes à la sécurité peuvent entraîner des réactions de panique de la part des usagers de l’internet. »

Source http://www.ouest-france.fr

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[CARTON ROUGE] Interpellés pour 250 fausses alertes !

Cette semaine, à la Ferté-sous-Jouarre (77), trois jeunes, auteurs de 250 fausses alertes téléphoniques au centre d’opérations et de renseignement de la gendarmerie (CORG) de Melun (77) et de Montpellier (34) ont été interpellés.

A chaque fois, ils dénonçaient des infractions graves (homicides, violences avec arme, attentat imminent...) et sollicitaient des interventions urgentes.

Ces « swatters » ont été démasqués grâce à une belle coopération entre les gendarmes seine-et-marnais et héraultais, appuyés par le centre de lutte contre les criminalités numériques (C3N) de la gendarmerie.

Présenté en comparution immédiate, un des individus, le seul majeur, a été condamné à une peine d’emprisonnement de 8 mois avec sursis et à une peine d’amende de 3550 euros pour le préjudice occasionné. Présentés devant un juge pour enfant, les deux autres, mineurs, sont mis en exame

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Un homme de 20 ans vient d’être condamné à Toulouse.
Par téléphone, il pratiquait le swatting et lançait de fausses alertes aux secours un peu partout en France.

"Il y a eu un meurtre !
Mon voisin est torse nu avec un couteau !
Il y a du sang partout !
" Lorsque le commissariat de Saint-Étienne a reçu cet appel d’une personne affolée, en juin 2022, deux équipages de la BAC ont été dépêchés sur place. L’appartement était vide.
Une mauvaise blague.  >:(

Un Columérin de 20 ans vient d'être jugé en comparution immédiate par le tribunal correctionnel de Toulouse. Dans la prévention, une longue série de faits.

Du swatting, une pratique qui consiste à lancer de fausses alertes.

Un appel anonyme annonçant un massacre et une prise d'otages a mobilisé les gendarmes, dans la nuit du mardi 13 au mercredi 14 février, à L'Union (Haute-Garonne) près de Toulouse.
Il s'agissait d'un canular.  >:(

C'est une "blague" qui a du mal à passer. Le centre opérationnel de la gendarmerie de Haute-Garonne a reçu un appel très inquiétant vers 23 heures, dans la nuit de mardi à mercredi. À l'autre bout du fil, une voix d'homme annonçait une prise d'otages.

L'interlocuteur racontait qu'il avait tué ses parents à leur domicile de L'Union, au nord-est de Toulouse. Il disait être en possession de kalachnikovs et vouloir s'en prendre aux "mécréants". La menace a été prise très au sérieux et une vingtaine de gendarmes se sont déployés à proximité de la petite maison, localisée dans un quartier calme.

Les militaires ont pris contact avec le voisinage et effectué des vérifications. Lorsqu'ils ont fini par s'approcher du pavillon, la mère de famille est sortie. Elle a assuré que tout allait bien, ce qui était vrai. Après trois heures de mobilisation, les gendarmes ont pu quitter les lieux.

Swatting
Il s'agit de la seconde fois en un peu plus d'un an qu'un appel malveillant cible cette famille sans histoire de L'Union. Un adolescent qui vit là aurait vu son compte piraté sur un site de jeux vidéo et un inconnu s'amuserait à lui causer des ennuis. Une enquête est ouverte.

Cette pratique du "swatting" (fausse alerte qui mobilise les forces de l'ordre) n'est pas un cas isolé. Ces appels sont toujours traités avec le plus grand sérieux. Au mois d'octobre dernier, un habitant de Colomiers, dans l'Ouest toulousain, âgé de 20 ans avait été condamné à deux ans de prison dont un avec sursis probatoire.

Pendant de longs mois, il avait multiplié les canulars auprès des services d'urgence. Équipé d'un modificateur de voix et de bruitages de coups de feu ou de cris, il avait semé la panique dans toute la France. "Fermer les lycées, les métros, je trouvais ça intéressant, avait-il expliqué. Je me sentais intouchable".