Le motard se fait flasher 53 fois en se moquant des gendarmes !

[Jeano 11]

Un motard de 43 ans, flasher de face une cinquantaine de fois en un an, a été interpellé en flagrant délit par les gendarmes de l'Aube.

Il a joué, il a perdu. 
Le conducteur de la moto qui avait déclenché les radars de la RD 660 près de Montgueux à l'ouest de Troyes (Aube) 53 fois depuis juillet 2014 à des vitesses entre 97 et 159 km/h en « faisant régulièrement des gestes de bravades », a fini par se faire interpeller en flagrant délit de vitesse excessive.
Selon le capitaine en charge du service communication de la gendarmerie de Champagne-Ardenne,  le personnel du Centre automatisé de constatation des infractions routières (Casir) de Rennes, où arrivent toutes les photos des radars (fixes et mobiles), avait alerté la gendarmerie de l'Aube qui a analysé les clichés pour relever les détails permettant une identification sans faille et déterminer les heures de passage du motocycliste speedé et positif aux stupéfiants 

Un dispositif d'interception a été mis en place par les gendarmes de l'escadron départemental de sécurité routière qui ont pu arrêter l'individu vers 7 heures alors qu'il circulait sur cette route. Le conducteur dont le permis a été confisqué sur le champ par les militaires a été conduit à l'hôpital de Troyes pour des examens sanguins qui se sont révélés positifs aux stupéfiants. Le parquet de Troyes a été saisi.
Source  ❗#Aube Il s'est amusé à se faire "flasher" 53 fois par un radar fixe. Un motard interpellé en flagrant délit #Vitesse pic.twitter.com/yRQWFiyT3k

[Jeano 11]

[VU DANS LA PRESSE] Souriez, vous êtes flashés !

Les gendarmes d'Angers ont interpellé un jeune motard de 19 ans originaire du Maine-et-Loire, qui s'amusait à déclencher des radars fixes, et cela à 25 reprises. 
Les radars flashant les véhicules par l'avant et la plaque d’immatriculation se trouvant à l’arrière de sa motos, il pensait pouvoir échapper à la sanction, à quelques détails près... 

Sur sa Suzuki SV 600 il roulait bien au-dessus des 90 km/h autorisés. Selon les radars la moto a même fait une pointe à 182km/h !

Le jeune homme continuait son petit manège, sans savoir que le Centre automatisé de constatation des infractions routières de Rennes stockait les clichés et les envoyait aux gendarmes 

Pendant six mois, le Centre automatisé de constatation des infractions routières de Rennes qui traite les clichés a transmis les clichés aux motard de l'EDSR.
Grâce aux 25 clichés, ces derniers ont ainsi fini par identifier ce délinquant grâce à son casque, son blouson et sa moto. Et les gendarmes ont vu un jour passer la moto recherchée.
Ils l’ont immédiatement interceptée.... rien ne sert de courir car les fruits tombent toujours quand ils sont mûrs