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Les services de secours victimes ou auteurs d'Accidents de la Circulation !!

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pblot60:
Sujet ouvert afin de répertorier les accidents des Ambulances ou autres véhicules de secours

RAPPEL : ## Chapitre Ier : Responsabilité pénale de l'employeur  8)

Article R121-1 du Code de la Route :
Le fait pour tout employeur, hormis l'employeur des conducteurs de véhicules d'intérêt général dans les cas nécessités par l'urgence de leur mission, de donner, directement ou indirectement, à un de ses salariés chargé de la conduite d'un véhicule de transport routier de personnes ou de marchandises des instructions incompatibles avec le respect des vitesses maximales autorisées par le présent code est puni de l'amende prévue pour les contraventions de la cinquième classe.

Lecture du journal Sud Ouest :
Rappelons les fait à ceux qui n'auraient pas lu notre édition d'hier qu'une cycliste girondine, âgée de 67 ans, est décédée suite à un choc frontal avec une ambulance en service, dans un virage du col menant au Petit train de la Rhune. Selon les premières constatations, l'ambulancier, un Hendayais de 22 ans, était en train de doubler une file de voitures quand l'accident a eu lieu à la sortie d'un virage.
[.....]
Suite à l'accident mortel survenu samedi où une ambulance a heurté une cycliste girondine au col de Saint-Ignace, la profession tient à réagir [....]
Réquisition du Samu :
Si l'employeur a tenu à réagir, c'est pour rappeler les circonstances exactes de l'intervention : Le Samu nous a appelés pour un patient domicilié entre Saint-Pée-sur-Nivelle et Sare. Il y avait une suspicion d'accident vasculaire cérébral (AVC) selon les consignes. À partir du moment où nous étions réquisitionnés par le Samu, il y avait urgence. Et c'est pour cette raison que le gyrophare et le deux tons ont été utilisés pour écarter les voitures. Malheureusement le choc aurait eu lieu alors qu'il était en train de se rabattre.
[......]
Le chauffeur de l'ambulance a-il pris trop de risques pour rejoindre Sare, où un patient l'attendait ?
C'est la question à laquelle les enquêteurs devront répondre dans les jours qui viennent. Car selon les premières constatations, le conducteur du véhicule médicalisé aurait dépassé une file de voitures sur le col de Saint-Ignace (D 4), samedi vers 11 heures, gyrophare en action, et a heurté de plein fouet une cycliste qui descendait en contresens dans un virage.
RAPPEL :
L'accident de la route n'est pas une fatalité ! :P
Les souffrances et les drames familiaux ou professionnels qui s'ensuivent, eux, sont bien réels.  :'(

http://www.sudouest.fr/2012/07/25/cycliste-fauchee-au-pays-basque-les-ambulanciers-montent-au-creneau-778891-4383.php

Le jugement ici

--- Citation de: Jeano 11 le 26 février 2014, 11:21:49 ---Ascain : l’ambulancier condamné pour l’accident mortel car dans l’urgence, l’ambulancier avait dépassé imprudemment et sans visibilité plusieurs véhicules.  :-\

Rappel : Le temps « gagné » pour avoir roulé au-dessus des limitations de vitesse reste relatif et très limité (de l'ordre de 15 min voire moins sur un trajet de 3h45/4h00 si vous roulez à 140 au lieu de 130k/h.)

--- Fin de citation ---

Jeano 11:
Face à ce constat et afin d'éviter bon nombre d'accidents et de préjudices, il est fondamental que les personnels prennent en compte les mesures de prudence suivantes :
En cas d'utilisation des avertisseurs sonores et lumineux (qui doit toujours répondre à une nécessité absolue de la mission), les croisements et dépassements doivent s'effectuer avec discernement, sans prise de risque inconsidérée ou abus.
Rappelons que la responsabilité du conducteur, voire celle de son coéquipier, reste engagée et que le respect de la sécurité des autres usagers de la route est un impératif. Un accident en intervention est une mise en péril de la mission.

Code de la route -> Version en vigueur au 11 mai 2007
    Partie réglementaire
        Livre IV : L'usage des voies.
            Titre III : Dispositions complémentaires applicables à la circulation de certains véhicules.
                Chapitre II : Véhicules d'intérêt général

Section 1 : Véhicules d'intérêt général prioritaires.

Article R432-1
Les dispositions du présent livre relatives aux règles de circulation des véhicules ne sont pas applicables aux conducteurs des véhicules d'intérêt général prioritaires lorsqu'ils font usage de leurs avertisseurs spéciaux dans les cas justifiés par l'urgence de leur mission et sous réserve de ne pas mettre en danger les autres usagers de la route.

--- Citer ---Mise en danger de la vie d’autrui survient souvent lorsque par imprudence il est généré, à tors ou à raison, un accident où est mise en "balance" la vie d'autrui (les autres usages de la route, les personnes transportées, etc...) RAPPEL : définition de l’infraction de mise en danger de la vie d’autrui est donnée par l’article 223-1 du Code Pénal Modifié par Ordonnance n°2000-916 du 19 septembre 2000 - art. 3 (V) JORF 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002 : Le fait d'exposer par son comportement directement autrui à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente par la violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement. Avec ce texte, (l'article 223-1 du Code pénal) c'est la prise de risque, sans même qu'un accident survienne, qui peut constituer le fondement de poursuites judiciaires pénales et civiles.

--- Fin de citation ---

Section 2 : Véhicules d'intérêt général bénéficiant de facilités de passage.

Article R432-2 - Modifié par Décret n°2007-786 du 10 mai 2007 - art. 2 JORF 11 mai 2007

Les dispositions du présent livre relatives aux vitesses maximales autorisées à la circulation dans des voies réservées à certaines catégories de véhicules et à l'emploi des avertisseurs la nuit ou en agglomération ne sont pas applicables aux conducteurs des véhicules d'intérêt général bénéficiant de facilités de passage lorsqu'ils font usage de leurs avertisseurs spéciaux dans les cas nécessités par l'urgence de leur mission et sous réserve de ne pas mettre en danger les autres usagers.

Plus ...        Livre IV : L'usage des voies.
            Titre Ier : Dispositions générales.
                Chapitre IV : Croisement et dépassement
                    Section 2 : Dépassement.

Article R414-9
Dans tous les cas où l'insuffisance de la largeur libre de la chaussée, son profil ou son état ne permettent pas le dépassement avec facilité et en toute sécurité, tout conducteur de véhicules dont le gabarit ou dont le chargement dépasse 2 mètres de largeur ou 7 mètres de longueur, remorque comprise, à l'exception des véhicules de transport en commun en agglomération, doit réduire sa vitesse et, au besoin, s'arrêter ou se garer pour laisser le passage aux véhicules de dimensions inférieures.

Dans les mêmes cas, tout usager doit réduire sa vitesse et, au besoin, s'arrêter ou se garer pour faciliter le passage d'un véhicule d'intérêt général faisant usage des avertisseurs spéciaux autorisés pour sa catégorie.

Le fait, pour tout conducteur, de contrevenir aux dispositions du présent article est puni de l'amende prévue pour les contraventions de la quatrième classe.

Dans le sujet ouvert le Juge va s'interroger sur plusieurs points :
- l'interprétation du temps de dépassement de la file de véhicules avant le début du virage qui masque la visibilité de la cycliste ?
- l'interprétation des autres usagers de la route comme l'audition du 2 tons etc...
- la cycliste tenait elle sa droite ?
- l’intervalle entre les véhicules était il respecté ?

--- Citer ---France
Le code de la route stipule que le véhicule qui suit doit garder une distance de sécurité dans le but d’éviter une collision lorsque le véhicule de devant freine ou s’arrête. La distance de sécurité correspond à une distance couverte par le véhicule dans un laps de temps d’au moins 2 secondes. En dehors des agglomérations urbaines, les chauffeurs de véhicules de plus de 3.5 to ou de plus de 7 m de long se suivant à la même vitesse, doivent garder une distance de sécurité d’au moins 50 mètres du véhicule précédent.
La distance de sécurité peut être augmentée pour des infrastructures à hauts risques,
En France, il est très difficile de mettre en place des distances minimales de sécurité qui soient respectées. Quelques artifices aident le conducteur à être conscient des distances de sécurité : des flèches peintes ou des marques sur la route. Des systèmes de contrôle automatisés sont en cours d’évaluation pour des cas simples.
--- Fin de citation ---


Code de la Route : Section 2 : Principes généraux de circulation.
Article R412-9 - Modifié par Décret n°2003-293 du 31 mars 2003 - art. 2 JORF 1er avril 2003

En marche normale, tout conducteur doit maintenir son véhicule près du bord droit de la chaussée, autant que le lui permet l'état ou le profil de celle-ci.


--- Citer ---  Croisement lorsque la largeur de la voirie est suffisante :
Envisageons une collision entre les véhicules malgré une largeur de chaussée suffisante pour que le vélo et la voiture se croisent. Le code de la route détermine qu’un automobiliste doit garder au moins un mètre de distance avec un cycliste : cela vaut dans toutes les situations. Mais le cycliste a aussi l’obligation de rouler le plus à droite possible de la route (Article R412-9). Pour une raison ou une autre, on entend souvent que les cyclistes peuvent emprunter toute la largeur de la chaussée. Si la loi s’exprime en effet en ces termes pour les motocyclistes, il n’est rien mentionné au sujet des cyclistes qui, du coup, tombent sous le champ d’application de l’Article R412-9 du code de la route et doivent, en principe, circuler à droite de la chaussée.
--- Fin de citation ---

pblot60:
Vendredi 10 Aout , deux ambulanciers et leur patient octogénaire transporté ont été tués lors d'une sortie de route entre Toulouse et Albi.
Source: La dépêche du midi et Le Parisien

Un terrible accident de la route s'est produit hier vers 14 h 15, coûtant la vie à trois personnes : Lionel Gayrard, 35 ans, résidant à Valdériès, Antonin Canal, 28 ans, demeurant à Albi et Louis Bousquet, 72 ans habitant aux Avalats, commune de Saint-Juéry. Les faits se sont produits en contrebas d'un pont autoroutier de l'A68, enjambant la départementale 200, qui relie Lagrave à Cadalen. Lionel Gayard était au volant d'un Ford Transit, une ambulance de la société Ortigosa d'Albi et circulait sur l'A68 dans le sens Toulouse-Albi. À l'arrière du véhicule médicalisé se trouvait Antonin Canal, ambulancier et son patient Louis Bousquet. Ce dernier avait été conduit à Toulouse pour passer un examen médical à la clinique Pasteur.

C'est en rentrant que le drame s'est produit.   ::)

http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/11/1416866-lagrave-deux-ambulanciers-et-leur-patient-tues-dans-l-accident.html



Jeano 11:
Bonjour, sans vouloir être blessant je vous propose ce site http://www.lemans.org/fr/formation-professionnelle/menu/nos-formations/metier.html  de formation à la Conduite qui devrait se multiplier afin que les "bleus" (PN/GN/PM) les blancs (AP/SAMU/SMUR) et rouges (VSAB/V + VLI) soient meilleurs dans la conduite en Urgence.

Une vidéo, stage conduite ambulancier smur 

Au-delà des « savoir-faire » et des habiletés nécessaires que réclame la fonction des professions, l’acquisition d’une capacité de discernement relative à la prise de risque demeure notre objectif essentiel.
Tous les ateliers font référence à cette prise de conscience des risques occasionnés par une conduite non adaptée aux besoins et circonstances.
Nous n’avons pas vocation à rendre les conducteurs plus confiants, mais à leur offrir le savoir et les compétences d’être à même d’opter pour la conduite la plus rationnelle en terme d’efficacité et de sécurité sans les placer en difficulté ou mettre en danger les autres usagers de la route.



 
Les plus de la formation à la conduite en Urgence :
-  2/3 de pratique
-  De la conduite sur piste en berline Break (SAMU/SMUR)
-  1 formateur pour 3 stagiaires
-  De la conduite sur piste en ambulance (SAMU/SMUR)
-  Des exercices pour connaître et comprendre le fonctionnement des aides à la conduite (ESP, ASR, ABS…)
-  Des mises en situation d’urgence: freinage, évitement d’obstacle, dérapages
-  Des exercices préventifs
-  Des apports théoriques sur la dynamique du véhicule.

PS : notez que le stage concerne que les ambulanciers SMUR/SAMU les autres ne doivent pas être intéressés vu que leurs ambulances ne sont que des véhicules bénéficiant que d'une facilité de passage  ::)

Jeano 11:
Lagrave. Deux ambulanciers et leur patient tués dans un accident de la route !!

Un terrible accident de la route s'est produit hier vers 14 h 15, coûtant la vie à trois personnes : Lionel Gayrard, 35 ans, résidant à Valdériès, Antonin Canal, 28 ans, demeurant à Albi et Louis Bousquet, 72 ans habitant aux Avalats, commune de Saint-Juéry. Les faits se sont produits en contrebas d'un pont autoroutier de l'A68, enjambant la départementale 200, qui relie Lagrave à Cadalen. Lionel Gayard était au volant d'un Ford Transit, une ambulance de la société Ortigosa d'Albi et circulait sur l'A68 dans le sens Toulouse-Albi. À l'arrière du véhicule médicalisé se trouvait Antonin Canal, ambulancier et son patient Louis Bousquet. Ce dernier avait été conduit à Toulouse pour passer un examen médical à la clinique Pasteur. C'est en rentrant que le drame s'est produit.
L'ambulance décolle  :o
L'ambulance roulait donc sur l'autoroute en direction d'Albi à la vitesse de 130 km/h (vitesse attestée par le suivi satellitaire des véhicules de la société Ortigosa), lorsque, pour une raison indéterminée, le véhicule s'est déporté sur sa droite une centaine de mètres avant le pont, a roulé sur un champ de chaume avant de carrément décoller, passer au-dessus de la départementale pour finir violemment sa course contre le talus de remblai à côté du pont. L'ambulance s'est ensuite immobilisée sur le toit.
Lorsque les sapeurs-pompiers sont arrivés sur les lieux de l'accident, ils n'ont pu que constater le décès des trois occupants de l'ambulance. Aucune trace de freinage n'a été constatée sur l'A68, seuls deux petits piquets de clôture ont semble-t-il été touchés par l'ambulance lorsque cette dernière a décollé du sol.
«C'est un automobiliste circulant sur la départementale qui a prévenu les secours», expliquait le maire de Lagrave Max Moulis. Une quinzaine de sapeurs-pompiers de Gaillac et Albi équipés de trois ambulances et un véhicule de secours routier se sont rendus sur les lieux ainsi que deux équipes de médecins du Smur. Le colonel Pierre Bouquin, patron des gendarmes tarnais s'est également déplacé, avec lui une quinzaine d'hommes de la compagnie de Gaillac et leurs collègues de l'escadron motocycliste qui ont sécurisé les abords de l'accident. Ils sont chargés de l'enquête.

Accident d'ambulance mortel de Lagrave : affaire classée  :-\

Les familles des trois victimes décédées le 10 août dans un terrible accident de la circulation à Lagrave ont été convoquées, hier matin, à la gendarmerie de Gaillac. Les investigations entreprises n'ont rien donné. Seul le défaut de maîtrise du conducteur décédé a été relevé.

On ne saura jamais ce qui a occasionné la sortie de route mortelle de l'ambulance Ortigosa, le 10 août sur l'autoroute A68. Ce drame avait coûté la vie à trois personnes, deux ambulanciers et leur patient : Lionel Gayrard, 35 ans, Antonin Canal, 28 ans qui se trouvait à l'arrière du véhicule médicalisé aux côtés de Louis Fournier, âgé de 72 ans. Ils revenaient de lui faire passer un examen médical à la clinique Pasteur à Toulouse.

Hier matin, les familles et le gérant de la société d'ambulances d'Albi ont été convoqués à la gendarmerie de Gaillac pour avoir le résultat de l'enquête sur l'accident. Ils ont été informés que les constatations effectuées sur les lieux du drame n'ont pas permis de découvrir de traces de freinage ou de changement brusque de direction. Ce jour-là, les conditions climatiques étaient bonnes.

Des investigations ont aussi été menées pour savoir si le conducteur de l'ambulance, Lionel Gayrard, de Valdériès, utilisait son portable au volant. Il ne téléphonait pas au moment du drame, ni pendant le trajet. Les dépistages sanguins de recherche d'alcool et de produits stupéfiants se sont révélés négatifs. Le véhicule, qui a fini sa course sur le toit après avoir décollé de l'autoroute et sauté la départementale 200 reliant Lagrave à Cadalen, a également été examiné sous toutes les coutures. Son expertise a écarté toute défaillance mécanique.

Seul le défaut de maîtrise du véhicule a pu être relevé à l'encontre du conducteur. Mais ce dernier étant décédé, l'action publique est éteinte. S'est-il assoupi au volant, a-t-il été pris d'un malaise, a-t-il eu un moment d'inattention ? On ne le saura jamais car le parquet n'a pas ordonné d'autopsie du corps.
«Maintenant, c'est fini…» Dominique Ortigosa, le patron de la société d'ambulances, bien que soulagé que le véhicule de l'entreprise ne soit pas en cause, ne cache pas sa déception. «Je regrette qu'il n'y ait pas eu d'autopsie du conducteur. Lionel a peut-être eu un malaise mais on ne pourra jamais le savoir. On ne reviendra pas dessus, c'est fini. Ce jeune ambulancier était en pleine santé, il faisait du sport, il avait la pêche.
À 130 km/h, comment est-il sorti de la route ?
Là où il a plongé avec l'ambulance, il n'y a pas de barrières de sécurité sur l'A68. Même s'il était décédé au volant, une barrière aurait pu sauver un ou deux passagers». Rien n'a pu freiner la course folle du véhicule qui s'est envolé au-dessus de la départementale.

L'épave sera restituée à la société d'ambulances. «Il reste du matériel spécialisé à l'intérieur mais elle va partir à la casse, poursuit le gérant. Je ne veux pas le récupérer, je n'en veux plus et mes ambulanciers non plus !»
Ses pensées vont à Lionel, à Antonin et aux proches du patient. Hier, l'épouse de Lionel et la famille d'Antonin n'ont pas souhaité s'exprimer sur les résultats de l'enquête.
Les victimes du drame de l'A68 ; Lionel Gayrard, le conducteur, était âgé de 35 ans. Il travaillait comme chauffeur depuis une dizaine d'années. Il était marié et père d'une petite fille.

Antonin Canal était âgé de 28 ans, il demeurait à Albi. Après des études d'informatique, il avait passé avec succès son diplôme d'ambulancier. Il était embauché depuis un mois et demi à la société Ortigosa.
Louis Fournier était âgé de 72 ans. Il demeurait aux Avalats, commune de Saint-Juéry.

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