Auteur Sujet: J'aimerais savoir ... qu'arrive t'il sous l'emprise du GHB, la drogue du viol ?  (Lu 72489 fois)

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INSOLITE - INNOVATION : du vernis à ongle contre le viol  :o
Âgé de 24 ans, l’Américain Tyler Confrey-Maloney veut protéger les femmes des agressions sexuelles grâce à un produit cosmétique.
Sensibilisés au phénomène de "drogues du violeur", quatre étudiants de l’université de Caroline du Nord ont imaginé, en 2014, un produit révolutionnaire, un vernis à ongles dont la teinte changerait au contact de ce type de drogues.
Le maquillage comporterait un composé chimique réagissant en présence des substances illicites.
Il suffirait de tremper le doigt dans son verre pour tester la fiabilité de la boisson.

En France comme aux États-Unis, environ 17 % des femmes sont victimes d’agression sexuelle au cours de leur vie. Parmi elles, certaines se trouvent sous l’emprise de « drogues du violeur » des substances indétectables et sans saveur, versées discrètement dans leur verre lors d’une soirée, qui les rendent soumises à leur assaillant.
Conquis par l’idée, l’un de leurs professeurs les inscrit à un programme d’entrepreneuriat technologique. Quelques semaines plus tard, la start-up Undercover Colors est créée et remporte, lors d’un concours, près de 12000 euros pour lancer son activité. Très vite, des investisseurs s’intéressent au projet. Aujourd’hui, plusieurs couleurs de vernis ont été mises au point et les premiers tests sont en cours.

« Nous voulons déplacer la peur du côté des agresseurs, explique Tyler Confrey-Maloney, cofondateur et directeur général de la start-up.
Les assaillants potentiels ne pourront pas savoir si le vernis porté par une femme est le nôtre ou pas, mais ils auront désormais conscience qu’ils peuvent être démasqués. Aujourd’hui, plusieurs couleurs de vernis ont été mises au point et les premiers tests sont en cours.
Ainsi, la simple existence de ce produit apporte une meilleure protection à toutes les femmes. » Le vernis « ange gardien » devrait être commercialisé d’ici à deux ans au plus tard.

Par Céline Lison http://www.nationalgeographic.fr/

Rabanal

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Bonjour, j'ai été victime d'un accident, avant de prendre ma voiture un jeune homme m'avait offert un verre et je lui avais proposé de le raccompagner car celui ci était à pied . Je ne me souviens que du moment avant la prise de ma voiture,et de la prise de celle ci. et la perte de contrôle de mon véhicule a eu lieu environ 2h après ma mise à son volant alors que l'endroit de cet accident était à 20mn de celle ci. J'ai mon permis de conduire depuis 38 ans, dont 30 ans au volant de semi remorque, je suis une femme de 60 ans, j'ai toujours su les limites de ma voiture qui est une voiture sportive et j'ai toujours su mes limites au volant et je n'avais jamais eu d'accident depuis 38 ans de conduite. Le jeune homme qui était dans ma voiture a déclaré que je l'avais pris en stop et ensuite il est partit direct, et ça je ne le sais que depuis peu. S'il m'a versé de la drogue dans mon verre, comme je le suppose maintenant et mon entourage aussi, comment puis je le vérifier car ça fait un mois que j'ai eu cet accident ? Merci de me venir en aide car je n'ai jamais compris cette perte de contrôle de mon véhicule surtout que je n'ai même pas souvenir de l'accident alors que c'est tout le côté gauche de ma voiture qui a été détruit !

Hors ligne Jeano 11

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Bonjour, désolé mais je ne suis pas devin !
Seul Dieu peut en juger !!
Métamorphose d'une pierre que l'on jette : on est responsable de l'action de la lancer, on ne sais jamais où elle va atterrir exactement ... c'est le destin et vous ne pouvez pas vous sentir responsable de vos actes ??

Vous êtes inquiète par rapport à ce qui vous est arrivé, hélas nous ne pouvons pas vous dire si oui ou non quelqu’un a mis un produit dans votre verre. En effet, seule une analyse d’urine pourrait détecter dans les 12 heures si du GHB a bel et bien été ingéré.

Ceci dit les effets que vous décrivez peuvent y faire penser. Auquel cas, les effets durent environ 1h. Vous trouverez ci-dessous la fiche descriptive du GHB.
Citer
Le GHB (acide gammahydroxybutyrique) est une drogue de synthèse aux propriétés sédatives et amnésiantes. En France, il est utilisé en médecine pour le traitement de la narcolepsie (trouble du sommeil chronique) et comme anesthésiant préopératoire ; il connaît depuis une vingtaine d’années une utilisation détournée à des fins non médicales.
Le GHB se présente sous forme de poudre blanche soluble ou de liquide incolore et inodore, il est alors conditionné dans de petites fioles en verre ou en plastique.
Appellations : liquide ecstasy
Deux substances proches, le GBL (acide gammabutyrolactone) et le BD (butanediol), se transforment en GHB une fois dans l’organisme. Ils ont les mêmes effets et présentent les mêmes risques.

Le GHB est dépistable, uniquement par des laboratoires d’analyses spécialisés :
    pendant moins de 12 heures dans les urines,
    à peine quelques heures dans le sang.
Les difficultés de détection du GHB tiennent à la fois à la rapidité de sa disparition dans l’organisme et au fait que le GHB est présent naturellement dans le corps humain.

Le changement d'alcool, de lieu, la chaleur peuvent être également à l'origine de votre malaise  ??? ???. Même si vous dites qu'habituellement vous « tenez bien à l'alcool", il nous semble important de rester prudente à la fois sur la quantité d'alcool ingéré, les mélanges de produits ainsi que sur la surveillance de votre verre.

Pour info, l'INPES (l'Institut National de Prévention et d’Éducation à la Santé) préconise dans un usage occasionnel de ne pas consommer plus de 4 verres standard.

Source et infos http://www.drogues-info-service.fr/Vos-Questions-Nos-Reponses/Trou-noir-Soiree-GHB

Catherine Rabanal

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Si je comprends bien, moi, je dois me sentir responsable d'avoir bu un verre où une personne aurait pu y verser de la drogue ?
Contrairement à d'autres qui l'ont fait, à leurs insu également, mais qui eux sont des victimes..? Je ne vous demande pas d'être devin, je vous demande seulement, s'il a été possible que je puisse conduire ma voiture avec ce type de drogue... désolée mais je ne suis pas une consommatrice habituelle et je me pose des questions et je demande des réponses... Si on vous demande si une personne a pu faire des choses à son insu et sans aucun souvenir..quand il s'agit de viol..vous répondez oui...
Moi, je vous demande si c'est également possible d'avoir conduit une voiture dans cet état ??

Et éventuellement si  cette drogue peut un mois après être encore décelable dans mes cheveux..et dois je pour cela porter plainte à la police pour avoir droit à cet examen.. bonne soirée à vous...Merci.

Hors ligne Jeano 11

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En février 2009, l'hospitalisation de plusieurs personnes à Montpellier et les aveux de l'ex-lofteuse Loana avaient suscité beaucoup d'intérêt pour le GBL. Après plusieurs années de surveillance, les autorités sanitaires viennent (enfin) d'interdire la vente au public de ce solvant, souvent détourné en drogue.

GBL Une fois ingéré, le GBL (gamma-butyrolactone) est dégradé dans l'organisme en GHB, bien connu comme étant la "drogue du violeur". Mais si le GHB est sous surveillance depuis 2000 et inscrit dans la Convention des Nations Unies sur les substances psychotropes depuis 2001, son précurseur reste aisément disponible.

La GBL, cette "nouvelle" drogue de synthèse qui "inquiète" les autorités  :-[
Depuis fin 2017, cette drogue est responsable de plusieurs comas, dont l’un s’est soldé par la mort d’un jeune homme.

Les autorités et le milieu de la nuit parisienne ont tiré la sonnette d’alarme : ce qui inquiète, c’est l’usage croissant chez les jeunes fêtards d’une drogue de synthèse, la GBL, aux effets dévastateurs.
"C’est un phénomène qui est en train de s’étendre", a déclaré le préfet de police de Paris, Michel Delpuech, à l’issue d’une réunion organisée avec les professionnels de la nuit, les autorités de santé et les services de police.

Depuis la fin 2017, l’absorption volontaire ou involontaire de GBL (gamma-butyrolactone), un solvant détourné en drogue, cousine du GHB surnommé "la drogue du violeur", a causé dix comas chez des jeunes âgés de 19 à 25 ans dans des établissements de nuit parisiens, selon des données de la préfecture de police.

Les effets du GBL similaires au GHB

Le GBL est une molécule chimique, contenue dans certains solvants industriels, destinés aux professionnels : il s'agit d'un produit très efficace pour nettoyer les jantes de voiture ou les peintures (en particulier les tags).

Mais le GBL, une fois ingéré, a un tout autre impact sur l'organisme : il est très vite métabolisé en GHB ou acide gamma-hydroxybutyrique. Le GHB a un double effet : d'abord euphorisant puis anesthésiant. Il était ainsi utilisé en médecine comme anesthésiant général avant d'être utilisé dans les années 1980 par les sportifs en tant qu'anabolisant.

Entre GBL et GHB, on note les mêmes effets : euphorie jusqu'au sommeil profond, détente, vertiges, pertes de mémoire, d'inhibitions ou plus grave encore, des pertes de conscience... Ces deux substances agissent très rapidement après l'absorption : 10 à 20 minutes suffisent pour observer les premiers effets. Ces derniers dépendent de la dose prise et de la personne, et augmentent lorsque l'alcool et/ou d'autres drogues sont associés. Dans les cas les plus graves, ces drogues peuvent provoquer un coma profond ou encore une insuffisance respiratoire, capables d'entraîner la mort. A Amsterdam en 2005, la part des demandes d'assistance médicale urgente requérant un transport à l'hôpital a été plus grande pour les cas liés au GHB/GBL qu'à d'autres drogues 1.

Souvent associé à des agressions sexuelles, le GHB a été la cible de plusieurs campagnes de prévention. Mais ce n'est pas le cas du GBL, très facilement accessible...

Source http://www.sudouest.fr/2018/04/17/la-gbl-cette-drogue-de-synthese-qui-inquiete-les-autorites-4380240-4696.php
 et suite sur http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/drogues/articles/13269-gbl.htm

Hors ligne Latulipeduweb

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Bonjour, je vous remercie pour ce sujet très instructif. Pensez-vous que l'on peut ressentir les mêmes effets quand on consomme beaucoup de cannabis ?

Hors ligne Jeano 11

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Bonjour et bienvenue
je n'en sais fichtre rien car je ne suis ni herbivore ni fumeur
désolé de ne pas vous apporter une réponse concrète.

Effets ressentis après avoir fumé un joint

Les effets sont variables en fonction de l’individu et de la quantité consommée.
Les consommateurs décrivent un état de bien-être, d‘euphorie, une modification des perceptions. Parfois l’utilisateur de cannabis connaît un « bad trip », une expérience désagréable due le plus souvent à une consommation trop importante de cannabis : nausées, tremblements, sueurs froides, confusion, angoisse. Ce malaise peut aller jusqu’à la perte de connaissance.

Le cannabis contient des substances organisme, y compris le delta 9 tétrahydrocannabinol (THC) et le cannabidiol (CBD).
Le THC est responsable des effets intoxicants.
Le CBD n’a pas d’effets intoxicants, mais il peut quand même agir sur le cerveau.

Perte de mémoire courte importante au point de devenir un handicap

« Où sont mes clefs, où est mon phone ? T’as pas vu mon sac ? » Si ces questions reviennent sans cesse, il est sans doute temps de diminuer un peu la dose. Une consommation pendant le temps scolaire ou le temps de travail pourra vous faire rater l’information importante.

INFOS

https://www.canada.ca/fr/services/sante/campagnes/cannabis/effets-sante.html

https://sante.lefigaro.fr/mieux-etre/tabac-alcool-drogues/cannabis/quels-risques

Hors ligne Jeano 11

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Montpellier : le cup condom ou capote de verre pour lutter contre le GHB, fléau des soirées étudiantes Le GHB est mis sous forme de pilule ou de liquide dans les verres pour droguer les personnes à leur insu
Depuis le début de la rentrée universitaire et la reprise des soirées étudiantes, les associations ont enregistré de nombreux témoignages de jeunes hommes et jeunes femmes ayant été drogués au GHB, la "drogue du violeur".
 L'Agem, l'association des étudiants de Montpellier lance un message d'alerte.

Depuis moins d’un mois, plusieurs dizaines d’étudiants ont été drogués au GHB lors de soirées étudiantes. Connu pour ses propriétés sédatives et amnésiantes, le GHB a fait son apparition hors milieu médical, il y a une vingtaine d’années. Il est aussi connu sous le nom de «drogue du viol».
En règle générale, les effets attendus sont un sentiment de quiétude, une désinhibition et une légère euphorie. Lorsqu’il est pris à forte dose, le GHB peut faire l’effet d’un somnifère puissant.

Nouveauté, les hommes, contrairement aux idées reçues, sont aussi victimes de cette drogue.

Témoignages ou symptômes

Selon l'Agem, l'association générale des étudiants montpelliérains, les malheureuses victimes se comptent déjà par dizaines. Il faut donc surveiller son verre en soirée.

"Les soirées étudiantes ont repris depuis quelques semaines et des dizaines d’étudiants ont été droguées au GHB ou ont vu à temps une pilule dans leur verre, c’est beaucoup plus qu’en temps normal et c’est très inquiétant" constate Edgard Bruel, président de l’association étudiante l’AGEM.

Le problème est de plus en plus prégnant à Montpellier avec un fait nouveau, la "drogue du violeur" touche désormais souvent des hommes, contrairement aux idées reçues jusqu'alors. "Les filles ne sont plus les seules victimes, de nombreux étudiants ont aussi été drogués, même des garçons costauds et qui ne sont pas forcement homosexuels" confirme Edgard Bruel.

Outre les viols et les agressions physiques et/ou sexuelles, l’autre mobile d'utilisation du GHB est de faire les poches des victimes et de littéralement les dépouiller. Certains agresseurs "s'amuseraient" à observer les effets euphorisants sur leur victime avec parfois des comportements dangereux.

Les gestes à adopter en soirée
    garder son verre avec soi
    recouvrir son verre de sa main
    s'entourer de personnes de confiance lorsque l'on sort et les alerter en cas de malaise
    veiller sur son entourage en soirée
    alerter l'établissement, et le cas échant l'association organisatrice, en cas de problème

En cas de doute, il est possible d'effectuer un test urinaire dans les 12 heures pour savoir si l'on a été drogué. Ensuite, il faut porter plainte même s’il est très difficle de retrouver le ou les auteurs des abus, même avec des caméras de vidéosurveillance.

"La capote de verre" 
Il s’agit de petits couvercles élastiques en silicone, avec ou sans paille, à mettre sur le verre pour le protéger. "C’est notre seul moyen de nous prémunir" conclut le président de l’association étudiante.
Disponible dans des petits sachets très similaires à ceux des préservatifs, My Cup Condom s’enfile pour recouvrir le goulot de votre verre. Le visuel présente une tête avec un œil en forme de croix, il suffit de transpercer cette croix avec votre paille pour pouvoir siroter votre verre et ainsi relâcher un peu la pression et profiter de la soirée.

Autre initiative, autre concept : "undercover Colors", un vernis à ongles inventé par quatre étudiantes qui, une fois trempé dans le verre, change de couleur en présence de substance chimique présentes dans certaines drogues ou certains médicaments.
Commercialisé dans le courant de l'année 2017, ce vernis change de couleur en réaction chimique à plusieurs substances dont le GHB, la drogue utilisée par les violeurs sur leurs victimes.   Ainsi, le GHB, souvent appelée la drogue du violeur, mais aussi l'ecstasy, le Xanax ou la kétamine. Le principe est simple : il suffit de tremper son doigt dans le liquide pour détecter si le verre qu'on vous tend contient ou non ces substances.

Rouge, OK. Noir, danger.
Afin de voir si une drogue du viol a été insérée dans la boisson, il suffit de la tester en mettant son doigt dans la boisson. Bon, ok, ce n'est pas très discret ni très hygiénique, mais c'est rapide et efficace.



Ce concept pour le vernis à ongles est développé depuis deux ans par quatre étudiants en ingénierie de l'Université d'État de Caroline du Nord. Ils affirment vouloir redonner le pouvoir aux femmes, et que leur produit leur permettra de savoir si elles courent un danger simplement en faisant tourner le doigt dans leur boisson.

Les conseils des spécialistes sont simples, mais ils peuvent sauver. Il faut de préférence rester en groupe, avoir un "Sam" (un.e membre du groupe qui ne boit pas et qui est désigné.e pour conduire et ramener ses ami.e.s ), éviter les mélanges alcool/cannabis, ne pas quitter son verre des yeux, ne pas accepter de verre de la part d’un inconnu, et le plus important : en parler pour libérer la parole.

https://creapills.com/cup-condom-preservatif-verre-drogue-20191125
Il faut avouer que c’est sacrément bien pensé. Non seulement, c’est extrêmement simple d’utilisation, mais vous pouvez en transporter avec vous facilement pour toujours être serein(e).  https://mycupcondom.com/

Source https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/herault/montpellier/montpellier-le-cup-condom-ou-capote-de-verre-pour-lutter-contre-le-ghb-fleau-des-soirees-etudiantes-2263639.html?utm_term=Autofeed&utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR19qpLn4dGLi2_WMUf3OeNhAsnv1UTmW7mUrpckZpZE9wVBOY_-mJ.R.ZUgM#Echobox=1632462386

Hors ligne Jeano 11

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Derrière le hashtag #Balancetonbar émergent des témoignages de personnes droguées dans un bar, une boîte de nuit, ou en soirée. Dans la plupart des cas, les victimes racontent avoir été droguées à leur insu au GHB et ne plus se souvenir de ce qu’il s’est passé. « Quelques gouttes de produit versées dans un verre et c’est le trou noir ».

« C’est une première en France », dévoile la ministre déléguée en charge de la Citoyenneté. « Sur les réseaux sociaux, il y a beaucoup d’appels à l’aide. Nous voulons sortir de la solitude les victimes droguées à leur insu, il faut renverser la honte.
Peu importe l’heure, le tchat gratuit peut être activé jour et nuit, sans décliner son identité », détaille Marlène Schiappa, en collaboration avec la mission interministérielle contre les drogues et l’Union des métiers et des industries de l’Hôtellerie (Umih).

Le GHB qu’est-ce que c’est ?

Le GHB (acide gammahydroxybutyrique) est un produit incolore et inodore qui se présente sous la forme de poudre ou de liquide. A l’exception d’un usage médical, le GHB est classé dans la liste des stupéfiants dont l’usage est interdit car à une certaine dose il devient un puissant somnifère et amnésiant dont les effets se font sentir 2 à 4 heures après l’avoir ingéré (trou noir).

Dans les bars, les boîtes de nuit ou au cours de soirées, des personnes profitent du contexte festif pour mélanger du GHB à la boisson de leur victime à leur insu, pour altérer volontairement leur discernement ou le contrôle de leurs actes et ce, afin de commettre des vols, des agressions, des abus sexuels ou des viols.

Marlène Schiappa est mobilisée pour protéger les femmes et la loi du 3 août 2018 qu’elle a portée reconnaît juridiquement la gravité de cette pratique :

L’usage de la « drogue du violeur » constitue désormais une circonstance aggravante en matière de viol et d'agressions sexuelles. Pour un viol commis dans cette circonstance, la peine a été portée à 20 ans de réclusion criminelle.

Celui qui filme et/ou diffuse une scène où l'on voit une personne délivrer du GHB à une autre est également susceptible d’être incriminé soit comme complice du délit d'administration, soit comme auteur du délit de diffusion prohibé par l’article 222-33-3 du Code pénal. 

1. Directives aux forces de sécurité intérieure en cas de suspicion d’attaque au GHB

En cas de suspicions de consommation de GHB, les forces de sécurité devront systématiser les prélèvements pour détection de toxicologie pour les victimes qui seraient par exemple retrouvées inconscientes et conduites à l’hôpital ;

Un examen gynécologique, un prélèvement ADN, l’isolement des vêtements… sont des mesures encouragées (protocole viol) en cas d’agression physique ou sexuelle avec suspicion d’administration de GHB ;

La plateforme arretonslesviolences.gouv.fr permet aux victimes de signaler tout abus auprès des forces de sécurité intérieure et de dialoguer en ligne avec elles, 24h/24h 7J/7j.

2. Sensibiliser les professionnels de la nuit ou organisateurs de soirée

Afin de lutter contre ce fléau, des partenariats locaux avec les professionnels de la nuit pour une meilleure sensibilisation, formation et prévention (l’UMIH associera les forces de sécurité intérieure à la sensibilisation de ses professionnels, en fonction des besoins) vont être développés.

Un guide pratique à destination des professionnels des établissements de nuit recensant les réflexes à avoir et les démarches à effectuer a été édité par le ministère de l’Intérieur.

    Sensibiliser la clientèle en communiquant sur les risques (affichage sur carte des consommations, sets de table, verres, sous-verres, protections de verres) ;
    Sensibiliser le personnel :
        Ne pas laisser les verres sans surveillance ;
        Etre vigilant devant des comportements évoquant l’ivresse ou l’état de sommeil ;
        Etre vigilant sur ce qui se passe dans les endroits isolés (toilettes, extérieurs);
        Etre vigilant à propos de la circulation ou manipulation de fioles, seringues, poudre ;
        Etre vigilant avec les personnes qui semblent suivre ou accompagner des personnes ivres.
         
    En cas de malaise
        En cas de doute conserver la boisson consommée ou le verre vide (afin de pouvoir effectuer des analyses) ;
        Mettre la personne à l’écart et assurer sa protection, ne pas la laisser seule ;
        L’interroger sur son état ;
        La faire raccompagner par une personne de confiance ;
        Appeler le 18 ou le 112 ;
        Appeler la police ou la gendarmerie.

3. Sensibiliser les clients pour réduire les risques de consommer du GHB à leur insu

Avec l’appui de l’UMIH, un flyer à destination du public sera distribué dans les toilettes et vestiaires des établissements de nuit, et les professionnels seront encouragés à proposer des « capuchons anti-drogue ».

Pour ne pas être victime du « trou noir » du lendemain en ayant consommé du GHB à votre insu il est recommandé de :

    Surveiller la préparation de votre verre ;
    Ne pas consommer de boisson dont vous ignorez la provenance ;
    Ne pas consommer la boisson d’une autre personne ;
    Ne laissez pas votre verre sans surveillance ;
    Mettre un cache de protection sur votre verre ;
    D’avoir un œil sur votre ami(e) si vous notez un changement de comportement (ivresse, somnolence) et de ne le/la laissez jamais seul(e) ;
    En cas de doute sur un comportement, d’alerter le personnel de l’établissement ou l’organisateur de la soirée.


Source : https://www.interieur.gouv.fr/actualites/actu-du-ministere/ministre-deleguee-marlene-schiappa-presente-ses-mesures-pour-proteger

Hors ligne Jeano 11

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Le GHB pour Gamma-Hydroxybutyrate est cette drogue dite du violeur qui apparaît dans de nombreuses affaires d’agressions sexuelles depuis plus de 30 ans.
La recrudescence des faits en période post-confinement (faits sériels par piqûre) oblige les pouvoirs publics et les professionnels de la fête à réagir pour prévenir le risque sanitaire et renforcer la sécurité des clients.
Il peut s’agir de couvercles pour protéger les verres ou de pailles qui changent de couleur en présence du GHB.
Cette drogue de synthèse provoque un ralentissement du rythme cardiaque et respiratoire dont les propriétés médicales sédatives et amnésiantes sont détournées par l’agresseur.

Celui-ci  versera à l’insu de sa victime le produit (poudre ou liquide) dans son verre pour provoquer somnolence, confusion, désinhibition et amnésie.
Les effets ressentis 10 à 30 minutes après l’absorption perdure presque 4 heures.

Concomitamment à l’alcool ou à d’autres drogues, le risque est réel. 
En cas de suspicion d’ingestion, le gendarme ou le policier en charge de la procédure doit provoquer toutes les investigations médico-légales nécessaires afin de détecter l’empoisonnement et l’acte criminel avec les volets toxicologiques et gynécologiques.

Comme trop souvent les propriétés amnésiques profitent à l’agresseur.

Hors ligne Jeano 11

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TOUT COMPRENDRE - EFFETS, DANGERS... QU'EST-CE QUE LE GHB, SURNOMMÉ LA "DROGUE DU VIOLEUR" ?

En France, le GHB a un usage médical, mais aussi de stupéfiant en raison de ses effets euphorisants. Il est surtout connu comme la "drogue du violeur", utilisée à l'insu d'une personne pour abuser ensuite d'elle.
À Grenoble, une enquête a été ouverte la semaine dernière après le signalement, par la direction de l'École de Management, d'une possible circulation de GHB, surnommé "la drogue du violeur", lors de soirées étudiantes. Un étudiant s'est fait tester et a constaté qu'il avait ingéré, à son insu, cette substance, et d'autres ont signalé des troubles de la mémoire, une conséquence caractéristique de la prise de cette drogue.

Inodore, incolore, le GHB utilisé comme drogue agit rapidement et son effet peut durer plusieurs heures. Utilisé pour des médicaments, il est surtout connu pour son détournement en tant que stupéfiant, alors que son utilisation récréative est illégale en France.

· Qu'est ce que le GHB ?
Le GHB, est une contraction verbale de la molécule gamma-hydroxybutyrate ou Gamma OH, "une molécule anesthésique à usage médical", qui "a une double action: euphorisante, puis sédative", explique le site Drogues.gouv. Ce produit est généralement vendu sous la forme de poudre soluble ou de liquide, et doit être ingéré.

L'Inserm rappelle dans une étude que le GHB a été "synthétisé dans les années 1960" dans un but médical, afin d'obtenir "une substance qui pénètre facilement et rapidement dans le cerveau". Mais il est surtout "connu en raison de sa consommation illicite et des intoxications qu’il peut entraîner", écrit l'Institut, qui note qu'il "est devenu populaire dans les années 1980 auprès des body builders californiens".

Cette molécule est utilisée en France comme traitement: "le médicament GHB existe de façon très très règlementée, injectable ou buvable, mais uniquement prescrite par quelques médecins dans des indications très précises", explique sur BFMTV William Lowenstein, addictologue et président de l'association SOS Addictions.

Ce produit est "utilisé en médecine pour le traitement de la narcolepsie (trouble du sommeil chronique) et comme anesthésiant préopératoire", mais "il connaît depuis une vingtaine d’années une utilisation détournée à des fins non médicales", explique le site du ministère de l'Éducation nationale Jeunes.gouv.

Quand on parle de GHB, on peut aussi en réalité parler de GBL, soit de gamma-butyrolactone. Il s'agit d'un solvant qui se transforme en GHB dans le corps, un "liquide toxique, à vocation industrielle, très acide, qui est utilisé tel quel ou mélangé à d’autres produits chimiques (solvants, décapants, etc...)".

· Quels sont ses effets comme drogue?
Si quand on parle du GHB, c'est le plus souvent pour parler de personnes victimes d'une prise à leur insu, comme c'est le cas dans l'affaire de Grenoble, cette drogue est aussi prise volontairement dans un contexte de fête, pour ses effets euphorisants et de désinhibition.

Comme toute drogue, ses effets varient selon la quantité prise, mais aussi l'état de la personne, et ce qu'elle a pu consommer avant. Ils "se manifestent rapidement (10 à 15 min) et durent entre 1h30 et 2h", relate Drogues.gouv. AIDES (association française de lutte contre le VIH), parle d'effets jusqu'à quatre heures et souligne que le GLB "étant plus acide (c’est un décapant, ne l’oubliez pas!) que le GHB, il faut le diluer deux fois plus que ce dernier", afin d'éviter les surdosages.

Avec le GHB, il y a un "effet d'extrême relaxation physique et psychique, à tel point que cela a été étudié comme traitement possible dans les dépressions. Il y a un effet euphorisant tranquille", décrit William Lowenstein. La personne prenant du GHB "va être dans les vapes mais va garder une possibilité d'action. Ce n'est pas quelqu'un qui est paralysé ou complètement endormi, c'est quelqu'un qui se laisse faire", explique-t-il parlant de "drogue de soumission".
L’usage du GHB peut aussi entraîner "des vertiges, des nausées, des contractions musculaires ou des hallucinations", explique Drogues.gouv. Côté GBL, "l’usage de doses plus fortes provoque sédation et amnésie. Un dosage infinitésimal suffit à obtenir des effets, les risques de surdosage sont par conséquents facilement atteints et peuvent entrainer malaises, coma, dépression respiratoire, décès".

· Quels dangers ?
Comme expliqué ci-dessus, la prise de GHB entraine une forme de perte de conscience, William Lowenstein parle de "zombie passif, détendu, qui va obéir aux ordres qui peuvent être donnés". Ainsi, il est possible que des personnes profitent de votre état, par exemple sexuellement, alors que vous n'auriez pas donné votre consentement sans la prise de cette drogue. C'est pour cela que le GHB est surnommé la "drogue du viol".

De plus, "il y a une incompatibilité totale entre le GHB/GBL et l’alcool. Même si tu as bu une bière quelques temps auparavant, cela suffit pour avoir une intoxication. La plupart des comas signalés font état d’un mélange d’alcool et de GHB/GBL", alerte AIDES. "Même de très faibles doses de GHB/GBL peuvent avoir des conséquences graves s’il y a une prise concomitante d’alcool, d’un opiacé ou encore de certains médicaments", souligne également Jeunes.gouv.
D'autre part, comme tout produit illégal, la composition de cette drogue n'est pas contrôlée, son contenu peut donc être coupé par d'autres produits pouvant s'avérer toxiques.

"Des cas de dépendance physique et/ou psychique chez des consommateurs-rices réguliers-es ont été rapportés", note également AIDES, "cependant, le GHB/GBL ne crée pas d’accoutumance, donc il n’est pas nécessaire d’augmenter les doses pour ressentir les mêmes effets".
· Comment repérer cette drogue?
Même si AIDES note que le produit peut avoir un goût amer, mélangé à d'autres substances liquides il est difficilement repérable sur le coup. Mais après consommation, il est également compliqué de le détecter dans le corps humain.

"Il s'élimine en eau et en sel très très rapidement, il y a quelques heures pour le retrouver dans le sang et maximum 12 heures dans les urines", souligne William Lowenstein. Donc "si la prise a eu lieu par exemple à minuit, c'est rare que les personnes se retrouvent dans un laboratoire 12 heures après".
L'addictologue répète aussi que des pertes de mémoire inhabituelles, ou particulièrement prononcées peuvent être le signe d'une prise de GHB.

"Il y a toutes ces personnes qui se souviennent très vaguement de ce qu'il s'est passé, mais en général il y a de l'alcool aussi, ce qui met très en danger les victimes", et qui permet aussi de cacher la prise de drogues, explique sur notre antenne l'avocate Caty Richard. "C’est-à-dire qu’on ne sait plus bien si on n’a pas de souvenir parce qu’on avait trop bu ou si on n’a pas de souvenir parce qu’on a été drogué. C'est très compliqué à mettre en perspective".
D'autre part, l'avocate rappelle que si cette drogue est associée aux fêtes et boîtes de nuit, elle peut tout à fait être donnée dans d'autres cadres, comme dans une circonstance familiale. Car la soumission chimique, "c'est aussi une mère qui donne des médicaments à ses enfants pour qu'ils dorment ou le mari qui shoote sa femme pour pouvoir sortir avec ses copains", déclare-t-elle. Elle souligne que si "la victime type est le plus souvent une femme", des hommes sont aussi pris pour cible.

· Quels gestes observer ?
Pour les personnes qui prennent volontairement cette drogue, bien que pour rappel sa consommation récréative est complètement prohibée en France, AIDES publie des conseils afin d'éviter les surdosages et de potentiels drames.

Il y a "très peu de différence entre la dose euphorisante, la dose provoquant une perte de conscience et la dose mortelle. La consommation de GBL ne doit donc absolument pas être banalisée car les effets négatifs et potentiellement mortels peuvent apparaître brutalement", souligne Jeunes.gouv. "Le premier conseil de réduction des risques est de consommer la plus petite quantité possible et de limiter la fréquence de consommation en soirée afin d’éviter les intoxications. Le dosage doit se faire au millilitre près et dépend du poids de l’usager".

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Pour éviter d'être drogué à son insu en soirée, un système de protection des verres, en forme de capote à poser au-dessus pour boucher l'entrée du verre, est parfois proposé par des associations étudiantes. William Lowenstein conseille surtout de surveiller son verre, et de ne pas sortir seul, mais avec des personnes de confiance qui pourraient venir en aide en cas d'injection non désirée.

"Si un proche a pris du GHB ou du GBL, il peut faire un malaise très brutalement. S’il reste conscient il faut le surveiller et rester près de lui. S’il a perdu conscience, il faut impérativement appeler les secours (SAMU 15 ou Pompiers 18 ou 112) et, s’il ne respire pas ou très peu, lui faire un massage cardiaque en attendant que les secours prennent le relais", écrit Jeunes.gouv.

Salomé Vincendon Journaliste BFMTV
https://www.bfmtv.com/sante/tout-comprendre-effets-dangers-qu-est-ce-que-le-ghb-surnomme-la-drogue-du-violeur_AN-202110280208.html

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Cure d'Huile CBD : 7 choses à savoir (avant d'acheter)
1 - Le CBD est-il légal et sans risque ?
LE CBD EST LEGAL EN FRANCE depuis le 30 Décembre 2021 (arrêté autorisant l'extraction, la fabrication, la commercialisation et la consommation).
CONDUITE ET CBD : Seul le THC présent dans la fleur de chanvre est illégal au volant. Une huile CBD sans THC ne présente aucun risque pour le permis de conduire et n'affecte pas les reflexes cognitifs.
IL EST SANS AUCUN DANGER : L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) déclare le 19 décembre 2017 que le cannabidiol (CBD) ne présente par de risque à la consommation humaine. Le rapport précise qu'il n'est pas psychotrope et ne provoque pas d'accoutumance.
A ce jour, 6 millions de français ont déjà consommé du cannabidiol (CBD) ! (selon Grand View Research).

2 - En combien de temps puis-je percevoir des résultats ?
D’après les témoignages des utilisateurs des Huiles CBD du laboratoire Sensilia, les meilleurs résultats semblent apparaitre après quelques heures et jusqu’à quelques jours d’utilisation.

3 - Comment choisir le meilleur produit ?
Voici quelques règles très faciles à respecter et qui vous garantiront une satisfaction totale :

Une huile CBD 0% THC garantie par certificat d'analyse pour la conduite routière
Privilégiez systématiquement les produits développés, fabriqués et analysés en France
Une étiquette claire : Vous devez connaitre la quantité de CBD que vous achetez !
Quantité de CBD libéllée en MILLIGRAMMES et pas uniquement en pourcentage (%).
Origine et traçabilité certifiée
Liste des ingrédients complète et détaillée
Des flacons de 30ml ! Ils vous permettront de réaliser une cure efficace de plusieurs semaines et le prix au milligramme de CBD est bien moins élevé qu'un flacon de 10ml.
Le laboratoire Sensilia a participé à créer ce standard de qualité et de transparence pour les utilisateurs Européens. Choisir une Huile CBD Sensilia, c’est avoir la certitude que TOUS ces critères sont respectés.

4 - Est-facile à utiliser ?
Rien de plus facile ! Une huile CBD sublinguale est une huile facilement transportable et discrète qui s’utilise à tout moment en déposant le contenu de la pipette compte goutte sous la langue. L’utilisateur laisse ensuite agir le produit durant 30 secondes à 1 minutes, puis avale l’huile. Ainsi, le cannabidiol (CBD) est diffusé directement dans le système sanguin via les glandes sublinguales mais il est également métabolisé par le foie, une double action très utile !

Autre avantage, le produit n’est pas périssable. Il faut simplement le conserver à l’abris de la lumière.

5 - Quel est le potentiel du CBD pour le bien-être ?
Le cannabidiol (CBD) fait l’objet de très nombreuses études. Son potentiel est tellement considérable que cette molécule est l’une des plus étudiée au monde, avec plusieurs centaines de publications scientifiques par an émanant des centres de recherche les plus prestigieux et respectés. Les multiples résultats récents très prometteurs dans diverses applications accroissent ainsi sa popularité ainsi que la compréhension de son utilité pour le bien-être en général et pour les cas plus spécifiques.

Le laboratoire Sensilia a réalisé une étude auprès des utilisateurs de ses formules uniques au monde. 92 participants volontaires ont répondu à une enquête menée dans le but de déterminer l’éfficacité des produits lorsqu’ils sont utilisés dans les conditions recommandées par le laboratoire. Vous trouverez les résultats ci-dessous.

RÉSULTATS – HUILE CBD AUTHENTIQUE SENSILIA – 3360MG
Mes douleurs sont moins intenses 87%
Je me sens plus calme et apaisé.e 89%
Mon quotidien est plus facile 91%
Je recommande l'Huile CBD Authentique 92%
RÉSULTATS – HUILE CBD DE NUIT SENSILIA – 3360MG
Je m'endors plus rapidement 84%
Je me reveille plus reposé.e 89%
J'ai moins de réveils nocturnes 89%
Je recommande l'Huile CBD de Nuit 91%
Sondage réalisé par téléphone entre le 01 et le 31 Mars 2024 auprès de 92 utilisateurs du laboratoire Sensilia. Résultats obtenus après un apport quotidien de 78mg à 156mg par jour durant 14 jours au minimum, soit une à deux pipettes par jour de l’Huile CBD Authentique et/ou de l’Huile CBD de Nuit.

6 - Qui sont les utilisateurs ?
Les huiles CBD sont très populaires et utilisées dans toutes les tranches d’âges. Seules les femmes enceintes et allaitantes ne peuvent pas l’utiliser. Elles semblent rencontrer un succès particulièrement frappant les séniors (+55 ans) en soulageant leur quotidien souvent difficile à supporter et en améliorant leur bien-être souvent dégradé.

7 - Combien ça coûte ?
Le laboratoire Sensilia situé à Saint-Jean-D’illac (Gironde, France) propose les produits les plus compétitifs du marché (en moyenne 50% moins cher*), avec le plus haut niveau de certification et de maitrise qualité. Grâce au format 30ML, l’utilisateur peut bénéficier d’une cure étendue et d’un prix très intéressant.

Comment faisons-nous ? Notre laboratoire développe, fabrique, conditionne et distribue ses produits en direct aux utilisateurs sans les couteuses marges des circuits de distributions. Nos clients bénéficient ainsi des produits les plus haut-de-gamme en France, sans payer le prix fort !

*différence moyenne constaté sur une sélection de 48 produits distribués en France – comparaison réalisée au prix par mg de CBD dans le produit

Source https://www.sensilia.com/news-prelp-7-informations-a-connaitre-sur-cbd-graph/?utm_source=outbrain&utm_campaign=OB-FR-DSK-DISC-7INFOS-TAKECBD-BEST&dicbo=v4-baNOY8M-1079685258-0&rtkcid=66a34bdbe13fd600015d5eb7&rtkcmpid=65c9ecf8705da60001baedfb