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J'aimerais savoir ... qu'arrive t'il sous l'emprise du GHB, la drogue du viol ?

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Joanie:
Bonjour à tous,

J'ai 18 ans, je suis en train d'écrire un roman.  :)
Je me renseigne afin de savoir ce qui arrive lorsque l'on se retrouve sous l'emprise de la drogue du viol. GHB, tranquillisants, somnifères... Ces substances sont utilisées pour provoquer confusion et trou noir chez celles (et ceux) qui les ingèrent à leur insu. Versées dans un verre au cours d'une soirée, elles permettent à des agresseurs d'abuser sexuellement de leurs victimes, sans qu'elles en gardent le moindre souvenir. Un fléau connu mais difficilement quantifiable.

Ma question étant si jamais un mineur est sous l'emprise de cette drogue et que l'on vous appelle pour le signaler... que ferez vous ?
Merci de me répondre cela ajoutera du contenu et de la vérité à mon chapitre.

Merci et bonne journée

kit055:
Bonjour,
Le GHB  (acide gamma-hydroxybutyrate) est une drogue de synthèse aux propriétés sédatives et anesthésiantes.

Je me permet donc de répondre car on peut estimer que ça touche un petit peu mon domaine  ;)

Tout d'abord si jamais une personne constate qu'un mineur, voire un adulte quelque soit le sexe, en l'occurrence, est sous l'emprise du GHB, la drogue du viol, ce n'est pas une entreprise d'ambulance privée que l'on appellera, du moins pas directement.
Le premier interlocuteur à contacter dans le cas présent est soit la Police Nationale, soit la Gendarmerie Nationale, pour je le rappelle tout problème afférant à l'ordre public, à la sécurité des biens et des personnes.
Si c'est pour ne question concernant l'état de santé appelez le SAMU ou les pompiers par le 112.

Donc je vais prendre pour exemple la Police car c'est elle que je connais le mieux, le "requérant" (ou le témoin) va appeler la Police Nationale, il va alors tomber sur la SIC (salle d'information et de commandement) qui va alors contacter un véhicule sur le terrain afin de se rendre sur les lieux.
Une fois sur les lieux, l'équipage du véhicule va essayer de déterminer les faits : est-ce que la personne a été violée ? Est-ce que l'on connait l'individu qui a mit la drogue dans le verre ? (et le cas échéant il sera interpellé) Et enfin est-ce que la "victime" souhaite déposer plainte ?

Dans tous les cas, si la personne déclare avoir été violée, elle sera conduite à l'hôpital afin d'établir un relevé médico-légal (le médecin en fait nous atteste qu'il y a bien des traces qui prouvent un viol et le met par écrit).
Si son état le nécessite sur place (c'est à dire sur les lieux de l'intervention) le chef de bord du véhicule peut demander les Sapeurs-Pompiers ou le SAMU en cas d'urgence.

Et on en arrive aux ambulances privées car une fois contacté le SAMU peut demander l'intervention soit d'un de ses véhicules, soit des pompiers, soit d'une associations de secourisme (Croix-Rouge Française, Unité Mobile de Premiers Secours, etc...), soit d'une ambulance privée.

Dans tous les cas le véhicule de secours sera escorté ou directement suivi par le véhicule de police.

Pour finir, étant donné qu'il s'agit-là d'un mineur, le magistrat peut choisir de saisir soit la Brigade des Stupéfiants, soit la Brigade de Protection des Mineurs, en général c'est la seconde qui est saisie dans ce genre d'affaire.

En espérant t'avoir aidé ;)

Rusty:
Le GHB était initialement utilisé en anesthésie générale.
Le GHB est une drogue classée comme stupéfiant, exception faite des préparations injectables réservées à un usage hospitalier.

Il me semble justement qu'un des gros problèmes du GHB est qu'il ne laisse pas ou peu de trace dans le sang, donc difficile de prouver que la victime à été drogué avec cette mer..  :-\

Sinon, tout intervenant, qu'il soit pompier ou ambulancier, se doit de signaler au médecin des urgences une suspicion de mauvais traitement sur mineur, c'est une obligation ! Cela est important dans le sens ou il peut avoir vu ou entendu des choses sur les lieux de l'intervention.

Le GHB est vendu sous forme de poudre, de liquide, de capsules ou de granulés à dissoudre. Lorsqu’il est dissous dans un verre de boisson alcoolisée, il est très difficile à détecter, puisqu’il n’a ni odeur ni saveur (seulement un très léger goût salé, amer et/ou savonneux).

Le GHB, qui inquiète le plus les victimes, disparaît dans le sang au bout de huit heures, et dans l’urine au bout de douze heures.
N'y a-t-il donc aucune chance d'obtenir des réponses passé ce délai ?

On peut faire un prélèvement de cheveux.
Le bulbe est baigné par le GHB qui est dans le sang. Il faut attendre un mois, le temps que les cheveux poussent. Les jeunes n'ont pas forcément l'argent pour financer l'analyse qui est prise en charge si une plainte a été déposée et une enquête ouverte. Avec l'accord des victimes qui viennent nous voir, on peut aussi faire un prélèvement dans le cadre d'un projet de recherche. En tout cas, on suit ça de près.

Et le GBL, la nouvelle drogue de synthèse proche du GHB ?
Euphorie, désinhibition, sentiment de bien-être, intensification des perceptions : voilà ce qu’est censé procurer le GBL. Le « G », comme l’appellent ses consommateurs, mélangé avec de l’alcool ou surdosé, peut cependant également entraîner un coma ou la mort.

Contrairement au GHB, surnommé "la drogue du violeur", la GBL n'est pas sur la liste des stupéfiants, bien qu'elle soit interdite à la vente et à la cession au public depuis 2011.
Une fois ingéré, ce solvant industriel très répandu est métabolisé en GHB par le corps humain, c’est pourquoi son usage a été détourné en drogue.

Depuis quelques années le GBL (gamma-butyrolactone) est ainsi détourné à des fins récréatives. Ce solvant industriel était à l’origine utilisé pour nettoyer notamment les jantes de voitures. Son utilisation professionnelle, par l'industrie de la peinture notamment, rend difficile, voire impossible, son interdiction pure et simple.

Qu’est-ce que c’est ces deux "Trucs " ?

Le GHB (gammahydroxybutyrate) est à l’origine un anesthésiant utilisé en médecine pour ses qualités sédatives (calmant). Il a notamment été utilisé aux USA dans le traitement de l’alcoolisme.

Le GBL (gamma-butyrolactone), moins courant, est un produit chimique utilisé comme solvant-décapant. Il se transforme dans le corps, après absorption, principalement en GHB. C’est pourquoi on dit que le GBL un précurseur du GHB, et qu’ils ont les mêmes effets.

Malgré ses petits noms tels que « ecstasy liquide » ou « MDMA liquide », le GHB n’a aucune parenté chimique avec l’ecstasy : l’XTC est un stimulant alors que le GHB est un dépresseur (il ralentit le fonctionnement du corps).

Dépressant du système nerveux central (SNC), anesthésiant à double action : euphorisant et amnésiant.
Synthétisé par Laborit (1960). https://infordrogues.be/informations/produits/ghb/

Jeano 11:
Le GHB se présente sous deux formes :
- une poudre floconneuse très légère et d’une grande solubilité
- en liquide incolore légèrement salé... Appellations : liquid ecstasy !
Le GHB et le GBL sont 2 produits aux effets pratiquement identiques. Contrairement à ce que l’'on pourrait croire les liquides vendus comme étant du GHB sont presque toujours du GBL. C'est un produit de synthèse vendu en poudre blanche cristalline, ou bien sous forme liquide. Dans les deux cas, il est destiné à être dilué dans un verre d'eau (en principe) et bu.

Il est incolore et inodore mais a un goût amer.
Le GHB est dépistable, uniquement par des laboratoires d’analyses spécialisés :
    pendant moins de 12 heures dans les urines,
    à peine quelques heures dans le sang.
Les difficultés de détection du GHB tiennent à la fois à la rapidité de sa disparition dans l’organisme et au fait que le GHB est présent naturellement dans le corps humain.

Sources :
http://www.leswadscmsea.fr/gbl-ghb/
http://www.asud.org/produits/article-119-ghb-effets-risques.html
http://www.quandladrogue.com/recherches/drg03-14.htm

Très connue sous la dénomination de « date rape drug » (drogue du viol) ou encore « d'ecstasy liquide », elle est aujourd'hui utilisé de façon criminelle. Les consommateurs l'utilisent pour favoriser des relations sexuelles « forcées ».

Le samedi soir avait lieu la première soirée. Je me souviens avoir bu un verre ou deux. Après, c’est le trou noir complet jusqu’au petit matin. Je n’ai absolument aucun souvenir de ce qui s’est passé après minuit. Mes camarades de classe m’ont trouvé à moitié nue dans les bois, ils ont décidé d’appeler les pompiers. Je me suis réveillée à l’hôpital. J’ai effectué des tests là-bas qui ont révélé que j’ai subi une agression sexuelle, probablement après avoir été droguée.

La « drogue du viol »
Les hommes y trouveraient une relative stimulation sexuelle.
Les femmes verraient leur sexualité exacerbée, avec des relations multiples, involontaires et dont elles ne garderaient pas forcément le souvenir.
Le produit serait souvent mis dans les boissons à l'insu des consommatrices. Inodore et incolore, cette substance peut facilement se glisser dans un verre à l'insu de la victime. Il s'ensuivrait des relations sexuelles apparemment « consentantes » et débridées, avec en plus des pertes de mémoire.
Le GHB et ses dérivés inhibent les systèmes neuronaux chez un individu, c'est-à-dire qu'une personne excitée sera calmée et une personne angoissée ou inhibée sera désinhibée.

La soumission chimique est "l’administration à des fins criminelles ou délictuelles d’une substance psychoactive à l’insu de la victime". Souvent pratiquée dans les milieux festifs, la méthode consiste à glisser un médicament ou un stupéfiant dans le verre d’autrui pour en abuser. "Les effets des médicaments sont démultipliés par l’alcool ou la drogue, qui vont bon train dans les soirées".
Le mythe du GHB
Dans les médias et la culture populaire, la soumission chimique est associée au GHB, qu’on surnomme communément "drogue du viol". Cette substance était utilisée à l’origine pour anesthésier les patients lors d’interventions chirurgicales. Elle est classée stupéfiant illicite depuis le début des années 2000.

Des substances difficilement détectables ?
la victime se doute qu’elle a été droguée, mais elle n’en aura jamais la preuve. Les tests effectués à l’hôpital n’ont rien révélé.

"On peut détecter les tranquillisants jusqu’à dix jours dans les urines, mais le GHB seulement pendant dix à douze heures", passé ce délai, une autre méthode est pratiquée : l’analyse séquentielle des cheveux. Entre six et huit semaines après les faits, on prélève trois mèches qui seront inspectées. "Attention, il faut absolument bannir les analyses faites dans les laboratoires qui ne sont pas compétents pour ce type de démarches très spécialisées". Encore faut-il avoir porté plainte pour être dirigé vers une unité médico-légale apte à réaliser ces tests.

C'est donc très simple:
- Le futur violeur verse à l'insu de la victime une dose de GHB dans son verre, puis il n'a qu'à attendre entre 15 et 30 minutes la venue des premiers symptômes.
- La victime a tout d'abord la sensation d'avoir trop bu, sa vision se rétrécit, son équilibre est gravement atteint et elle n'a plus aucune notion de réalité. Elle est donc tentée de tout accepter, et de suivre n'importe qui, n'importe où.
- Dû à la désinhibition de la victime, et vu qu'elle accepte ce qu'elle n'aurait pas accepté dans une situation normale, le violeur est déresponsabilisé.

Le viol, c'est d'ailleurs dans le mot, est associé à la violence !!!

Le violeur « ancienne méthode » s'attaque à la fille et s'ensuit généralement une pénétration forcée.
- Avec le GHB ce n'est pas le cas, l'usage de la violence n'est souvent pas nécessaire. La relation sexuelle paraît tout à fait normale et s'ensuit une non-culpabilisation du violeur: or ce n'est pas le cas ! La relation est forcée puisque facilitée par l'usage d'un stupéfiant !De plus, ceci est aggravé par la préméditation du crime. En effet, si un individu verse ce produit dans le verre de sa victime, c'est donc bien qu'il pense, à l'avance, vouloir commettre le viol. Il ne pourra pas invoquer plus tard la « pulsion » ou l'acte irréfléchi.

"J'en suis à ma deuxième bière, donc très lucide. (...) mais je sens rapidement que quelque chose ne va pas. J'ai le coeur qui s'accélère, des nausées accompagnées de sueurs froides importantes. En fait, je dégouline", écrit-elle dans un message Facebook.

Les conséquences des propriétés et des effets de cette drogue ne s'arrêtent pas là.
- Dans un premier temps, les traces du GHB dans l'organisme disparaissent au bout de 12 à 48 heures.
- Dans un second temps, la victime ne se souvenant généralement de rien, comment poursuivre le violeur? « Y'a t-il vraiment eu viol ? » est tentée de se dire la victime.
- La femme violée a donc un sentiment de culpabilité et n'ose pas porter plainte.
Même s'il est difficile de prouver le viol, si la victime s'y prend suffisamment vite, il est possible d'arrêter le criminel.
De même, sans traces de GHB dans l'organisme dû à la rapidité de dissolution, il est maintenant possible de faire des tests d'ADN pour identifier le coupable.

La vitesse de réaction est primordiale !!!
- Même sans souvenir des faits, certains signes sont parfois très clairs : vêtements déchirés, contusions, traces de sang
- Même si vous vous êtes drogué(e), si vous avez bu de l'alcool plus que de raison ou si vous êtes sorti(e) en solitaire, l'agression reste un crime puni par la loi. Demandez de l'aide.
- Il l est important de se présenter dans un hôpital pour y subir des tests, le GHB ne reste présent dans le sang que quelques jours.
- Demandez le soutien d'amis ou auprès des services de l'établissement où vous vous trouvez.

Restez vigilantes et attentives
- La multiplication des affaires de viols liés au GHB et à ses dérivés est très inquiétante, il est donc recommandé d'ouvrir l'œil et d'être méfiante.
- Si vous allez faire la fête entre amis et que vous constatez que l'un de vous n'a pas un comportement normal, n'attendez pas que le drame se produise pour intervenir.
- Autre conseil important : restez sur vos gardes : n'acceptez jamais un verre d'une personne inconnue ou en qui vous n'avez pas confiance et gardez toujours votre verre à la main.
- La non-culpabilisation du violeur, l'amnésie engendrée par l'absorption du GHB, le très bas prix de vente, rendent la drogue du viol particulièrement attractif pour certains hommes, désireux de transformer la plus réticente des filles, en « fille facile ».
- Plus grave : n'ayant plus recours à la violence, des hommes qui n'auraient jamais commis de viols auparavant, utilisent le GHB comme ils utiliseraient un aphrodisiaque !
Il existe des organismes et des associations comme le Collectif Féministe contre le viol qui apportent un soutien et encouragent à aller porter plainte. Cette démarche, extrêmement difficile, est indispensable car les examens effectués par un médecin expert seront recueillis comme preuve.

Collectif Féministe contre le Viol
5, cours Saint Louis - 13001 MARSEILLE
Écoute téléphonique : 04 91 33 16 60
Téléphone/Fax secrétariat : 04 91 54 49 85
http://www.sosviol.com/sos/pages/home.php?rub=0&srub=0

Les hommes aussi peuvent être victime de cette drogue !!!

Les infos ci-dessus sont extraites du site  http://www.esseclive.com/infirmerie-essec/drogues-et-dependances/la-drogue-du-viol.htm

La « drogue du viol », principalement lorsqu’elle est mélangée à de l’alcool, donne très rapidement la sensation d’être ivre même après avoir consommé une seule boisson. Lorsque les effets cessent, le consommateur n’a qu’un très vague voire aucun souvenir de ce qu’il s’est passé lorsqu’il était sous l’emprise de la drogue. Elle provoque principalement une diminution des inhibitions, un effet sédatif, de la confusion, de sévères trous de mémoire.

La « drogue du viol » est composée de produits aisément miscibles dans une boisson tels que les benzodiazépines. Lorsque ces composés sont mélangés à de l’alcool, les effets s’en trouvent amplifiés, ils apparaissent après 10 à 30 minutes et peuvent durer jusqu’à 8 heures.

Si les fabricants de ces produits y ont parfois ajouté un colorant rendant leur présence visible dans une boisson, celui-ci reste invisible dans des boissons telles que le vin rouge, les colas ou toutes boissons sombres.

Si vous commencez à vous sentir mal et à ressentir une impression d’ivresse après seulement quelques verres alors qu’habituellement il vous faut consommer d’avantage pour ressentir ces effets, il est possible que votre boisson ait été piégée. Si vous êtes accompagné, faites part de vos suspicions à vos amis, demandez leur de quitter les lieux et de vous accompagner en lieu sûr. Une fois en lieu sûr, demandez à quelqu’un de rester avec vous jusqu’à ce que les effets de la drogue se soient dissipés. Néanmoins, veillez à ce que la personne qui vous accompagne soit digne de confiance, de nombreuses victimes ont été violées par une de leurs connaissances.

Si vous êtes seul(e), demandez au responsable des lieux de vous mettre dans un endroit sûr d’où vous pourrez appeler un proche pour vous raccompagner chez vous. Ne laissez jamais un inconnu vous aider ou vous raccompagner, il peut s’agir d’une personne mal intentionnée.

Infos issues du site -http://www.medicatest.com/drviol.html

http://www.drogues-info-service.fr/?Tableau-des-durees-de-positivite

QUE FAIRE ? COMMENT RÉAGIR ?

La victime est sous l’emprise de son agresseur, ne se souvenant même plus ce qu’elle a subi.
Si vous pensez avoir été victime, il est important de vous faire examiner dans un  service d’urgences hospitalières et de porter plainte au commissariat.

Vous pouvez contacter les juristes et les psychologues de la ligne « Jeunes Violences Écoute » au 0 800 20 22 23, tous les jours de 8h à 23h. Ce numéro est anonyme et gratuit ( d’une cabine téléphonique sans carte et d’un poste fixe ).

Vous pouvez vous rendre dans une Association d’Aide aux Victimes dont vous pouvez obtenir les coordonnées en appelant le 0 800 20 22 23.

http://www.jeunesviolencesecoute.fr/espace-jeunes/comment-reagir/types-de-violences-comment-reagir/ghb-ou-drogue-du-violeur.html

valessa:
Bonjour
je voudrais savoir, suite à une très mauvaises expériences que j'ai eu il y a quelques jours, si il y a des signes distincts de la drogue du violeur.
Car depuis cette mauvaise soirée je n arrive plus a me souvenir d'une bonne partie de la nuit et qd je me suis réveillée le matin.... je suite couverte d’hématomes sur tout le corps et j'ai le cerveau en compote ainsi que beaucoup de mal à faire les choses de tout les jours.
S'il vous plait, est ce que quelqu'un pourrait m'en dire un peu plus car je ne peux me confier a personne et surtout pas mon ami.
Et cela me fait vraiment très honte !!!!
D'avance merci.

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