Un edito de JeanSansConcession sur le blog mondejean
Dans le cadre de l’évaluation et du contrôle parlementaire sur ce que les POMPIERS fabriquent avec l’argent racketté aux contribuables de chaque département, le Dr Marc Giroud, un onaniste frénétique et également président de SAMU de FRANCE, a été auditionné par des parlementaires qui n’aiment pas trop être pris pour des imbéciles. Extraits significatifs de l’audition de ce pauvre médecin qui en connaît aussi long sur les Ambulanciers privés que je parle le mandarin.
J’aurais pu, que dis-je, j’aurais dû placer cet article dans la rubrique “Coup de gueule”, mais au vu de sa performance face aux députés en définitive, Dr Giroud m’a fait plus rire qu’autre chose. Même les pompiers l’ont désavoué, me suis-je laissé dire…
La séance d’audition de Dr Dugland - c’est son pseudo sur Meetic - s’est tenue le 12 mars courant à 11h45, sous la présidence de M. David Habib.
Extraits commentés par la rédaction:
« ● M. David Habib, Président. Ce matin, nous avons eu la volonté d’explorer la réalité du terrain des services départementaux d’incendie et de secours (SDIS), en auditionnant des directeurs de SDIS, des présidents de conseil général et un préfet de zone. Comme M. Georges Ginesta l’a rappelé, notre mission d’évaluation et de contrôle a pour but, d’abord, de vérifier la bonne utilisation des fonds publics, ensuite, de trouver les moyens d’éviter une inflation des demandes en la matière. Les services d’aide médicale d’urgence (SAMU) ont été cités à plusieurs reprises lors de nos premières auditions, et il nous a semblé utile d’entendre un de leurs responsables. M. le docteur Marc Giroud, directeur du SAMU de Pontoise, a accepté de participer à nos travaux. Nos trois rapporteurs sont M. Georges Ginesta, de la commission des Finances, M. Bernard Derosier et M. Thierry Mariani, membres de la commission des Lois.
☛ M. Bernard Derosier, Rapporteur. Monsieur le directeur, nous souhaitons vous entendre expliquer, à partir de votre expérience de l’ensemble du territoire national, comment s’articulent aujourd’hui les SAMU et les SDIS, eu égard à quelques tensions antérieures alimentées par les uns et par les autres. Cette relation est-elle satisfaisante, a-t-elle des conséquences financières et peut-elle être améliorée – notre collègue Ginesta rappelant régulièrement la nécessité de diminuer les dépenses des SDIS ?
☛ Marc Giroud. Une précision : je suis le directeur du SAMU de Pontoise, mais aussi le président de SAMU de France. La question des finances n’étant pas au cœur de mon métier – de mon savoir et de mon expérience – ni de celui de SAMU de France, je vous répondrai donc plutôt sous l’angle de la coordination et de ses retentissements positifs ou négatifs, sachant qu’une bonne coordination contribue à dépenser efficacement et à optimiser les moyens.
À mes yeux, la coopération entre SAMU et pompiers est beaucoup plus simple qu’on ne le dit. Vous évoquez des tensions alimentées de part et d’autre, mais citez-nous des cas où SAMU de France les a alimentées ! Nous ne nous situons pas du tout dans ce registre et je ne suis donc pas là pour porter des griefs. Lorsque les ministres nous ont réunis, à la demande du Président de la République, il y a maintenant un an, pour travailler sur le fameux référentiel commun de l’organisation des secours à personne et de l’aide médicale d’urgence, je leur ai dit que notre travail en commun avec les sapeurs-pompiers est plus que bon – il est exemplaire – et je leur ai demandé de nous aider en nous indiquant d’autres services publics qui coopèrent mieux et plus que nous. J’attends la réponse des ministres à cette question et l’exemple qui nous serait ainsi donné ! Au contraire, certains pourraient s’inspirer de nos pratiques car, même si des difficultés entre SAMU et pompiers se présentent de temps en temps, c’est précisément parce que nous travaillons beaucoup ensemble et au quotidien.
La relation pompiers-SAMU est exemplaire grâce à notre complémentarité et, surtout, à notre culture commune. Je reconnais aux pompiers, et c’est - j’en suis certain - réciproque, le sens du service public et de l’engagement auprès des malades. Entre eux et nous, c’est viscéral, chromosomique, nous vivons cet engagement en permanence et il nous rapproche. On ne peut pas en dire autant d’autres partenaires ; j’en parlerai.
(NDLR: C’est connu, les ambulanciers, puisque c’est à nous qu’il fait allusion, n’en n’ont rien à foutre, des patients. Les ambulanciers ne font pas ce métier par vocation, c’est bien connu ! Les ambulanciers sont juste là par hasard. Archi-connu ! Les ambulanciers pourraient tout aussi bien transporter des patates, ce serait pareil, c’est certain !). Et lorsque nous nous sommes réunis voici un an pour élaborer ce référentiel commun, c’est précisément le critère patient – l’intérêt du malade – qui a permis aux deux parties de s’entendre : à chaque fois que l’un démontrait à l’autre que telle pratique était préférable, moins compliquée, plus rapide pour le patient, nous tombions aussitôt d’accord.
Dans le courrier par lequel j’ai été convié à participer à cette audition, vous m’avez demandé à quoi sert le référentiel. (…) Ce référentiel décline trois principes:
- Le premier est que la régulation médicale exercée par les SAMU est déterminante pour le « juste soin ». Nous n’appliquons évidemment pas le juste soin en fonction de préoccupations économiques, mais pour répondre au besoin du patient. Cela étant dit, cette régulation est sans aucun doute positive au plan économique car elle permet de dépenser en fonction d’une utilité appréciée par le médecin régulateur.
- Le deuxième principe est celui de la médicalisation par les ambulances du SAMU, mais seulement quand c’est nécessaire.
- Le troisième principe – mentionné en premier dans le texte – est la proximité, qui met en avant l’avantage des sapeurs-pompiers, toujours les plus rapides. (NDLR: Dr “Surmenage mental” ne doute de rien, et cette simple assertion au sujet des pompiers en dit long sur sa connaissance du mode de fonctionnement des Ambulanciers Privés, en départ immédiat constant… Bref, continuons à explorer le monde étrange dans lequel vit ce bon toubib.)
Les difficultés dont vous faites état en matière de coordination existent surtout entre pompiers et ambulanciers privés – et non entre pompiers et SAMU. Ces problèmes sont lourds, pratiquement ingérables, et cause des doublons. Autant il est possible d’améliorer encore certains points dans la relation pompiers-SAMU, même si elle est déjà exemplaire, autant je ne sais pas comment faire s’agissant des pompiers et des ambulanciers privés.
Les ambulanciers nous disent vouloir faire avec nous exactement comme nous faisons avec les pompiers, mais nous n’avons pas besoin de faire avec l’un ce qui est déjà très bien fait avec l’autre, car les ambulanciers ne respectent, bien souvent, ni les délais ni leurs engagements pris avec nous…, sans compter les problèmes de formation, d’équipements et même de commandement ! »
NDLR: Ici, pour garder un moral au beau fixe, il faut bien évidemment entendre que ce bon Dr Giroud fait une confusion dans les formations attribuées aux deux parties, “Rouges” et “Blancs”. Chez les premiers, c’est une formation basique de secouristes, des quelques dizaines d’heures, point. Chez les seconds, c’est un volume horaire atteignant environ 800 heures avec anatomie, physio-pathologie etc…
Au sujet des équipements, les Pompiers sont équipés par le contribuable et des budgets parfois gonflés, injustifiés, comme le dénonce de façon récurrente M. Georges Ginesta. Une telle confusion de la part d’un président de Samu de France en dit long sur sa connaissance du secours en France. Et sur les formations afférentes aux deux parties. Rions, cela vaut mieux.
Selon lui en outre, les ambulanciers ne respecteraient ni les délais ni les engagements passés avec les SAMU départementaux… Ah ben là, c’est la nausée assurée pour les ambulanciers de tout le territoire qui enchaînent gardes sur gardes, et qui sont précisément là pour être opérationnels 7j/7 et 24h/24, en départ immédiat ! Sans parler du fait que les ambulanciers s’équipent sur leur propres deniers, sans racketter le contribuable, EUX !!! Mais bien sûr, les ambulanciers restent discrets, aucune émission télé, aucun reportage ne leur est dédié. En revanche, on nous gave d’émissions sur les héros que sont les pompiers: un tel orgueil en dit long. Notre discrétion, c’est certain, ne fait pas le poids contre la surmédiatisation des pompiers dont on nous gave. Mais c’est mieux ainsi: Restons discrets, continuons à ne travailler qu’à 2 dans l’EFFICACITÉ À MOINDRE FRAIS, là où les pompiers sont à 7, 8 ou 9 bonshommes sur une coupure au genou, pour un résultat identique mais BEAUCOUP, vraiment beaucoup plus cher pour la collectivité !
Continuons…
« ● M. Georges Ginesta, Rapporteur. Un exemple : s’ils sont appelés par le directeur d’une maison de retraite en raison de l’indisponibilité de l’ambulance, les pompiers ont-ils le droit, sans être accompagnés d’un médecin, de transporter une personne qui n’est pas malade, mais simplement âgée et sous perfusion ?
☛ Marc Giroud. C’est vous qui votez la loi ! Il ne m’appartient pas de vous répondre.
☛ M. Georges Ginesta, Rapporteur….. Si, vous êtes là pour ça ! ☚ Faut jamais emmerder un député…
☛ Marc Giroud. Il est bien que le pompier puisse le faire dans le cadre où nous travaillons aujourd’hui, à savoir en lien avec la régulation médicale qui apprécie au cas par cas – il n’est pas possible de répondre de manière générale à votre exemple. C’est d’ailleurs ce qui se fait dans la pratique, de manière sûre et efficace.
☛ M. Georges Ginesta, Rapporteur. Le sapeur-pompier a besoin d’une autorité médicale pour effectuer le transport.
☛ Marc Giroud. Elle fonctionne, monsieur le député !
☛ M. Georges Ginesta, Rapporteur. Si vous vous entendez parfaitement entre vous, ce n’est pas forcément le cas avec l’ensemble du corps médical, notamment avec les ambulanciers qui en font partie !
☛ Marc Giroud. Les ambulanciers font plutôt partie du système de soins. »
NDLR: Nous qui pensions en faire partie par les lois votées en 2007 grâce à M. François Fillon, notre attribuant le statut de Professionnels de la Santé… Dr Giroud a dû rater une marche, tomber sur la tête et avoir subi un traumatisme crânien ayant laissé des séquelles neurologiques profondes… A y bien regarder, je vois un peu de bave s’écoulant lentement de la commissure de ses lèvres, tiens…
Continuons…
« ● M. Georges Ginesta, Rapporteur. Autre question : sur la coordination entre le 15 et le 18, qui décide du prompt secours ? S’il y a prompt secours, ce sont les sapeurs-pompiers, sinon c’est le staff médical.
☛ Marc Giroud. C’est le cas.
☛ M. Georges Ginesta, Rapporteur. Vous êtes dans un monde parfait ! L’assurance-maladie paye plus de 300 euros la nuit des ambulances en astreinte, qui ne sont pas forcément utilisées si, l’appel étant reçu sur le 18, le pompier décide d’envoyer ses collègues faire l’intervention (NDLR: déclenchements-réflexe, toujours illégaux à ce jour car non-validés par quelque autorité que ce soit !). Cela autorise les sapeurs-pompiers à demander toujours plus d’effectifs et plus de matériels, la sécurité sociale – et donc in fine l’assuré – continuant à payer des ambulances en astreinte sous-utilisées. Aujourd’hui, il faut coordonner les deux, nous dire qui doit faire quoi, qui a autorité sur qui !
☛ Marc Giroud. Vous soulevez deux problèmes : celui de la relation entre le 15 et le 18 et celui des ambulanciers privés. Sur le premier, mon opinion de directeur de SAMU est largement partagée par mes collègues : la liaison 15-18 fonctionne bien. Sur le second, je le répète, la coordination entre pompiers et ambulanciers est exemplaire de ce qu’il ne faut pas faire ! (NDLR: Ha-ha-ha ! Venant de la part de cette éminence grise, je vous laisse savourer le piquant…)
☛ M. Georges Ginesta, Rapporteur. Les pompiers appellent-ils systématiquement le staff médical ?
☛ Marc Giroud. Absolument. »
NDLR: tous les acteurs de secours, savent que c’est là le mensonge le plus éhonté depuis Tchernobyl
Continuons…
« ● Marc Giroud. Il existe deux difficultés importantes aujourd’hui. En interne aux pompiers, le positionnement, un peu mystérieux, des infirmiers de sapeurs-pompiers, qui entraîne des doublons. Et, surtout, le problème jamais résolu des ambulanciers privés et de leur place dans les urgences. De plus, le mode de financement des ambulanciers privés – un forfait et une décote de 60 % de leurs tarifs – est très mauvais. Cette invention de l’assurance-maladie marche bien en milieu rural, mais pas en ville. En milieu rural, l’ambulancier travaille généralement avec sa femme, elle-même ambulancière (NDLR: trop fort, Doc… Mort de rire !) ; ils touchent l’astreinte en sortant une fois toutes les trois nuits et leur situation est confortable. En revanche, en ville, les ambulanciers sont employés, ils dorment dans un arrière-fond d’hôpital ou dans un hôtel à bon marché, l’entreprise ne s’en sortant pas avec plusieurs interventions dans la nuit car, avec la décote de 60 %, elle y perd par rapport au tarif de base. Ce système soi-disant incitatif, mais moins payé pour la nuit que pour la journée n’a pas de sens et est une des causes de la carence d’ambulanciers privés. C’est le financement qui pervertit le système et, s’il était corrigé au moins pour les grandes villes – le problème se pose particulièrement en banlieue parisienne et notamment dans mon département –, il y aurait plus d’ambulanciers, et moins de pompiers se plaignant de devoir faire le travail des ambulanciers privés.
On aboutit aussi à de drôles de situations. L’« ambulance des pompiers » est, vous le savez, gratuite pour l’usager. Le service public hospitalier doit donner à ce dernier toutes les informations utiles – c’est une obligation issue de la Charte du patient –, en particulier les conditions dans lesquelles il va être pris en charge. Ainsi, nous expliquons à une dame qui nous appelle qu’elle a besoin d’aller à l’hôpital et qu’elle peut s’y rendre soit avec une ambulance – système payant –, deux personnes pouvant venir la chercher dans une demie heure ou trois quarts d’heure, soit gratuitement avec les sapeurs-pompiers, trois d’entre eux pouvant arriver en un quart d’heure ! Imaginez sa réaction ! (Sourires.) C’est ce système que vous nous demandez d’appliquer au quotidien ! Or lorsque nous avons la faiblesse d’appuyer
sur le « bouton rouge », c’est mieux non seulement pour la dame et l’hôpital, car il y a moins d’attente, mais aussi pour nous, eu égard au juge qui, en cas de problème, peut nous reprocher d’avoir fait attendre la patiente, de ne pas avoir contrôlé l’ambulancier, arrivé au bout d’une heure et quart, etc. L’ambulancier, nous ne le tenons pas par la main ! Le pompier, s’il est envoyé, on est sûr qu’il va y aller et faire exactement ce qu’on attend de lui.
☛ M. Bernard Derosier, Rapporteur. Vive le service public !
☛ Marc Giroud. Alors levez cette ambiguïté, monsieur le député, car il y a le service public et le service non public…, et on nous demande d’utiliser le second qui est moins performant ! (NDLR: ne t’énerve pas quand tu perds tes moyens, Doc… “ça le fait pas”)
☛ M. Georges Ginesta, Rapporteur. Faut-il par conséquent supprimer l’astreinte des ambulanciers privés dans les hôpitaux ?
☛ Marc Giroud. Ils ne sont pas vraiment dans les hôpitaux, mais – et il y a une confusion dans votre texte – dans la ville.
Le législateur a écrit dans la loi qu’en cas de carence de l’ambulancier privé, c’est l’hôpital siège du SAMU qui paye la sortie des pompiers… (NDLR: Et c’est tout bénéf pour les “Rouges”: jackpot !!!)
☛ M. Georges Ginesta, Rapporteur. Oui.
☛ Marc Giroud. Je me demande où vous avez trouvé ça ! On n’a jamais vu dans notre système d’assurance-maladie un prescripteur payeur ! Le payeur, c’est d’ordinaire le malade. On avait pensé, m’a-t-on expliqué, à un effet rétroactif sur le prescripteur… Mais le régulateur s’en moque, sa seule préoccupation étant une prise en charge efficace du patient. »
NDLR: Zen, mec. Moelleux, quoi ! Ce passage anthologique ne sera même pas commenté tant il est “lunaire”. Aussi je vous laisse juges de la pertinence du propos d’un gars qui a l’air bien perdu lorsque le système s’applique au niveau national et non pas au niveau de SON département, où la situation n’est pas représentative de l’ensemble de la nation…
Continuons et concluons…
« ● M. Thierry Mariani, Rapporteur. Dans toutes les ex-républiques soviétiques, l’un des ministères les plus importants est le ministère des situations d’urgence. Elles continuent à coordonner les secours, même si cela fonctionne beaucoup moins bien qu’avant, grâce à une autorité générale.
☛ M. David Habib, Président. Si Thierry Mariani cite le modèle communiste dans les préconisations du rapport… (Sourires.) »
Ce dernier pied de nez illustre puissamment le “vide” du discours girouesque… En effet, sa volonté de dédier le secours à personnes au Service Public, exclusivement, dans un baroud d’honneur pathétique, ses carences en termes de connaissances des réalités concrètes du CITOYEN et des coûts exorbitants du fameux Service Public, sacré à ses yeux, met en lumière un archaïsme onaniste malgré tout.
A savoir aussi: beaucoup de pompiers en ont marre de sortir sur du “Sanitaire” - une grosse crise des vocations est à attendre dans les deux-trois ans à venir… Ou alors qu’on dise aux pompiers: “Vous avez le choix: faire du “feu”, ou alors uniquement du “sanitaire” comme ça se pratique partout ailleurs dans le monde…”
Rappel des chiffres et invitation à aller vérifier les sources:
☛ Coût moyen intervention Ambulance de Secours et de Soins d’Urgence (par le SAMU et ses vecteur de terrain, les ambulanciers):
102 € (✶) sur budget CPAM, dont environ 25 % sont reversés sous forme de charges sociales, taxes sur les salaires, taxes professionnelles, impôts sur les sociétés - (source KPMG)
(✶ Moyenne du coût des intervention sur un cycle de 24 h, incluant le coût direct des interventions et des indemnités de garde départementale)
☛ Coût moyen intervention Véhicule de Secours et d’Assistance aux Victimes (par le SDIS et ses vecteur de terrain, les pompiers):
295 à 576 € sur budget des collectivités territoriales (tes impôts, cher lecteur) selon règles d’amortissement - (Source KPMG) - + BONUS CARENCE: 105 € (✶) sur budget hospitalier.
(✶ rapport IGAS sur le secours à personne, juin 2006)
TOTAL POMPIER: de 295 à 681 € NON SOUMIS à impôts et charges sociales ! Les pompiers volontaires sont indemnisés, mais NET de charges…
TOTAL AMBULANCIER: 102 € SOUMIS à impôts et charges sociales !…
“Bonjour, vous êtes bien sur la messagerie du Dr Marc Giroud, Président de Samu de France. Actuellement en arrêt maladie pour surmenage mental dans un hôpital RUSSE, veuillez vous adresser ailleurs. Merci de votre appel.”