Bien le bonjour a tous (qu'elle que soit votre couleur), pour ma part je suis et blanc et rouge et les gars de ma caserne rouge ne sont pas mal heureux de me voire sur certaine inter (il est intéressant de voire que certain rouge reconnaissent la juste valeur des gens !!!!!)
Il est vrai de voire certains ambulanciers arrivés aux urgences avec des tenues, des véhicules et une allure générale qui ne correspond pas à ce que l'on peut attendre d'un professionnel mais cela ce remarque aussi chez les pompiers (Pro et volontaire). Il y a des bon voire très bon (pour de SIMPLE secouriste) mais il y a aussi des mauvais voire des très mauvais chez tous, avant de vouloir faire le ménage chez les autres il faut s'assurer de la propreté chez soit et ca vaut pour tous !!!
Une mise au point :
En France, le terme « ambulance » est réservé aux véhicules ayant à leur bord au moins un titulaire du certificat de capacité d'ambulancier (CCA) et permettant le transport allongé. Cela comprend :
Les véhicules des sociétés privées titulaires d'un agrément de transport sanitaire permettant le transport allongé ; les véhicules de ces sociétés permettant le transport assis ne sont pas des « ambulances » mais des « véhicules sanitaires légers » (VSL) ;
Les véhicules d'intervention du Smur (Service mobile d'urgence et de réanimation), également appelées « unités mobiles hospitalières » (UMH) ;
Les ambulances de secours et de soins d'urgences (ASSU) sont les ambulances ou l'équipage peut tenir debout dans la cellule sanitaire.
Les « ambulances de réanimation » (AR) de la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris (BSPP).
En particulier, les véhicules suivants ne sont pas des ambulances au sens réglementaire :
Les « véhicules de secours et d'assistance aux victimes » (VSAV) et les anciens « véhicules de secours aux asphyxiés et aux blessés » (VSAB) des sapeurs-pompiers ;
Les véhicules « premiers secours relevage » (PSR) et « premiers secours évacuation » (PSE) de la Brigade de sapeurs-pompiers de Paris ;
Les véhicules de premiers secours à personnes (VPSP) des associations (Croix-Rouge, protection civile...)
Les véhicules de transport sanitaire de l'armée (véhicules kaki avec une croix rouge sur fond blanc).
Tous ces véhicules (ambulances, VSAB, VSAV, PSR et PSE, véhicules sanitaires de l'armée) sont regroupés sous le vocable « véhicules adaptés au transport sanitaire ».
Qu'est-ce qu'un ambulancier ?
Ce n'est pas un médecin : mais il doit faire un bilan à partir d'une histoire, de signes, de symptômes afin d'administrer les gestes de premiers secours et transmettre un bilan complet au médecin régulateur.
Ce n'est pas un infirmier : mais il applique des techniques de soins infirmiers dans l'ambulance pour assurer des positions correctes et de confort au patient pendant le voyage.
Ce n'est pas un travailleur social : mais il est souvent approché par des gens souffrant, ou bien des personnes âgées sans chauffage ou nourriture, vivant dans de pauvres conditions ; ou par des enfants abandonnés. Il doit comprendre la complexité des lois des malades mentaux.
Ce n'est pas une sage-femme: mais il a l'occasion de faire des accouchements à domicile ou dans l'ambulance ou dans des environnements non convenables pour la mère ou le bébé.
Ce n'est pas un policier : mais il doit comprendre les lois du Code de la route et les appliquer.
Ce n'est pas un sapeur-pompier : mais il doit comprendre et appliquer les techniques de sauvetage dans les accidents, les effets des chargements toxiques.
Ce n'est pas un mécanicien : mais il doit avoir des connaissances de base en mécanique pour réparer les pannes et entretenir les véhicules.
Ce n'est pas un sociologue, un psychologue: mais il doit aider les gens dans des situations de détresse, dans les attitudes affectives et connaître la conduite acceptable suivant les cultures particulières. Il est amené à donner son avis sur des cas quand le médecin régulateur le lui demande.
Ce n'est pas un directeur : mais il dirige une situation, projette à court terme, utilise des ressources propres pour achever un objectif établi, et manipule l'environnement pour conduire l'objectif.
Ce n'est pas un physiologiste : mais il doit être capable d'identifier les effets des accélérations sur le blessé ou les organes affectés, causés par les différents changements de direction et de décélération du véhicule.
Ce n'est pas un pilote de course : mais il doit conduire vite et confortablement quand cela le nécessite.
Voilà qui montre bien toute la complexité du métier d'ambulancier.
Pour la place de chacun, la loi le définis mais on ne l’interprète pas tous de la même manière !!!!!