Comment se fait-il, qu`il est plus simple d`envoyer des millier de personnes dans des missions de destruction (guerres), alors qu`il est nettement plus difficile de mobiliser des gens pour des missions secouristes (pompiers, matériel, ambulanciers etc.) dans un grand style?
J`ai fait cette réflexion à plusieurs occasions de catastrophes humaines, écologiques etc. Le drame de la Grèce est un exemple récent et d`autres viendront s`ajouter dans l`avenir.
L`union européenne devrait être en mesure de déployer, sur la base d`un plan de secoure indicative de premier rang (Plan Rouge), un effectif de grande ampleur.
Pour ça il faudrait faire des pratiques de sauvetage à l`échelle international, Bruxelles devrait libérer des moyens financiers ainsi que chaque pays devrait s`engager à des paiements réguliers, afin de pouvoir financer de telles missions de sauvetage.
Certes il existe une certaine aide internationale qui est très honorable. Mais ne faudrait-il pas, à la fin d`une catastrophe d`une telle ampleur, faire un bilan critique afin de voir comment on pourrait pour les prochaines années éviter un tel bilan de perte de vies humaines ainsi qu`un désastre écologique comme celui de la Grèce en 2007?
How is it done, to send thousand of people in missions of destruction, but it’s definitely more difficult to mobilize people for service of first-aid worker in a great style (firemen, material, ambulances etc.)? Of first-arid worker I make this reflection
on several occasions of human catastrophes, ecological etc. The drama of Greece is a recent example and others who will come tomorrow
European union should be able to deploy, indicative of first rank help planes (Plane Red), a manpower of great width. For that it would be necessary to make international practices of rescue, Brussels should release from financial means as each country would have an engagement of payment, to be able to finance such missions of rescue.
The assistance carried out is highly honourable.
But would it be essential to make a critical assessment for the size of the disaster in human life and in ecological loss, so that the catastrophe of Greece in 2007 is not repeated?