Désolé, rien te tout ça dans mes archives ... mais je pense qu'une lettre "administrative" mentionnant l'objet et les références du contrat, sur papier libre, adressée à ton chef de corps devrait faire l'affaire ?
une idée
http://acp35.unblog.fr/2007/03/02/suspension-resiliation-du-contrat/et un modèle http://www.modele-lettre.com/lettre-6306/demande-rupture-contrat.html
un site qui en parle
http://www.armees.com/forums/topic/71953-rupture-de-contrat/Le code de la Défense :
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000019478063Article 20 - Modifié par Décret n°2009-1714 du 30 décembre 2009 - art. 7
Les contrats sont résiliés par le ministre de la défense, ou le ministre de l'intérieur pour les militaires engagés de la gendarmerie nationale :
1° D'office :
a) En cas d'admission à l'état de militaire de carrière ;
b) Dans les cas prévus à l'article L. 4139-14 du code de la défense, à l'exception du 3°, pour lequel la résiliation est prononcée par le ministre de la défense ;
c) En cas de souscription d'un nouveau contrat se substituant expressément à un contrat en cours ;
2°
Sur demande écrite de l'intéressé, agréée par le ministre de la défense, ou le ministre de l'intérieur pour les militaires engagés de la gendarmerie nationale.
Projet du Sénat :
Article 73
Démission et résiliation du contrat
Cet article organise l'interruption du lien professionnel du militaire, qu'il soit de carrière ou sous contrat, avec les armées, à leur initiative. Les premiers doivent formuler une demande de démission, les seconds une demande de résiliation du contrat. Ces demandes peuvent être refusées, de façon discrétionnaire, « si les circonstances l'exigent », ou si une formation spécialisée, ou une prime ont été dispensées au profit du demandeur.
Par ailleurs, le présent texte instaure un préavis, dont la durée relève du décret en Conseil d'Etat, préalable à la démission ou la résiliation du contrat, si les intéressés ont ensuite un accès effectif au droit à pension.
Ce préavis vise à réduire les difficultés de gestion entraînées par l'immédiateté du départ des militaires accédant au droit à pension de retraite à jouissance immédiate. Il est légitime que l'exercice de ce droit s'effectue en concertation avec l'institution, pour que celle-ci puisse prendre les mesures appropriées de remplacement du militaire souhaitant quitter l'armée. Un départ inopiné est de nature à affecter le caractère opérationnel des armées, mais également à reporter une charge de travail sur d'autres militaires qui subissent ainsi les conséquences de l'absence de gestion prévisionnelle des personnels.
Selon les indications fournies à votre rapporteur la durée envisagée pour ce préavis serait de deux mois.
http://www.senat.fr/rap/l04-154/l04-15419.html