Le métier de profiler n’existe pas en tant que tel en France, mais médecins, juristes, psychologues, policiers ou gendarmes spécialisés peuvent intervenir dans ce domaine. Le but du profilage technologique n’est pas tant de découvrir l’auteur d’un meurtre que d’orienter l’enquête et de limiter le nombre de suspects.
Les sciences du comportement appliquées aux enquêtes criminelles :
Le département des sciences du comportement (DSC) est un service de la gendarmerie nationale. Il dépend donc du ministère de l’intérieur (depuis le 1er janvier 2009).
Ministère de l’intérieur :
Sous-direction de la Police Judiciaire
Service technique de recherches judiciaires et de documentation (STRJD)
Département des sciences du comportement.
Historique
2001 : création du Groupe d’Analyse Comportementale (GAC) au STRJD.
2006 : le GAC devient le DSC. On trouve alors 4 analystes et 3 officiers de police judiciaire.
Définition de l’analyse comportementale :
Il s’agit d’une étude pluridisciplinaire d’un dossier criminel, à partir d’éléments objectifs d’une scène de crime.
Le travail d’un analyste comportementale se traduit par 95% de lecture de dossiers et de constatations.
La dimension psychologique à une enquête est donnée en développant une recherche fondée sur le comportement criminel.
Les différentes techniques :
- Reconstruction des faits criminels
- Compréhension des criminels et de leur mode opératoire
- Développement d’hypothèses
- Identification
Il s’agit donc d’un alliage de sciences :
Psychiatrie
Psychologie
Droit
Médecine légale
Sociologie
Police technique et scientifique
Cadre général de compétences et d’intervention :
En matière de sérialité : homicides, viols, incendies
En matière d’épisodes uniques :
- Actes présentant des caractéristiques particulières tenant au mobile non apparent ou aux spécificités du crime : il s’agit de crimes pas communs. Une liste d’éléments d’alerte de comportement criminel particulier présente en partie les demandes d’intervention du DSC. On y retrouve notamment la présence de mutilation, la présence de torture ante et pos mortem, l’ablation d’organes, la mise en scène particulière, la violence extraordinaire, les indices de sérialité…
- Enlèvement de mineurs (plan alerte enlèvement)
L’analyste est un officier de police judiciaire. Il intervient à la demande de concours des enquêteurs, sur saisine judiciaire des magistrats, et établit des procès verbaux à chaque intervention.
Il y a toujours un référant avec lui de la police judiciaire qui permet entre autre d’écarter tout ce qui est subjectif. L’analyste ne doit garder que l’objectivité.
Formation : officier ayant travaillé en section de recherche. L’analyste est en général un universitaire (et officier de gendarmerie) qui a un cursus de droit et une formation en psychologie, criminologie…
Missions
- Profil d’auteur inconnu
- Conduite d’audition personnalisée
- Analyse comparative de cas
Une étude de faisabilité est systématique. Elle estime le type de mission et sa durée, évalue l’urgence de l’intervention, et déclare la compétence du DSC quant aux faits et quant à l’existence de caractéristiques comportementales.
Profil d’auteur inconnu :
Il s’agit d’un portrait socio-psychopathologique de l’auteur. Cela permet l’évaluation de la personnalité de l’auteur. Il faut aussi faire une partie de victimologie (il est important de connaître les habitudes de la victime car elle connaît en général (84% des cas) de près ou de loin son agresseur).
L’établissement d’un profil permet de donner de nouvelles orientations à l’enquête (surtout pour les cas anciens). Pour les cas récents il permet de potentialiser les hypothèses.
Un des outils utilisé est le tableau d’aide à l’analyse comportementale (TAAC). On retrouve sur une scène de crime 3 étapes, une pré-criminelle, une de passage à l’acte, une post-criminelle. On voit dans ce tableau 6 composantes par étapes : violente, émotionnelle, sexuelle, opérationnelle, circonstancielle, sociologique.
Conduite d’audition personnalisée
L’analyste est également utile pour mener une garde à vue face à une personnalité complexe. La technique « ProGREAI » est utilisée par le DSC.
Analyse comparative de cas
X faits criminels = auteur unique ?
1 auteur identifié = X faits criminels ?
Pour comparer les cas, les analystes étudient la signature criminelle qui reflète la personnalité, les fantasmes de l’auteur. Elle peut bien sûr ne pas exister, et varie très peu d’un crime à l’autre alors que le mode opératoire peut varier.
Baptisée Progreai (Processus général de recueil des entretiens, auditions et interrogatoires), la Garde à vue change ...
Instaurer un climat de confiance, connaître le passé du suspect pour mieux le plonger dans un environnement familier et l'entraîner avec subtilité sur le chemin de la vérité. Depuis ce printemps, les élèves de l'Ecole des officiers de la gendarmerie nationale (EOGN) de Melun ont découvert la méthode Progreai, comprenez processus général de recueil des entretiens, des auditions et des interrogatoires. Une technique utilisée pour les affaires graves et censée permettre à l'enquêteur d'obtenir la confession d'un suspect en créant un climat de confiance propre à délier les langues. Venue du Canada, cette méthode est appliquée en Belgique, au Royaume-Uni et aux Etats-Unis par le FBI. Elle est enseignée aux élèves de seconde année de l'EOGN qui ont opté pour la dominante police judiciaire. Dès leur sortie, fin juin, ils seront amenés à diriger des brigades de recherche, à travailler en section de recherche, etc. « Cette méthode, c'est avant tout un état d'esprit. On ne cherche pas des aveux de la personne, mais sa vérité en comprenant son système de valeurs, ses motivations. Le seul chemin qu'on s'autorise, c'est la communication. On s'implique tout en gardant ses distances, sans porter de jugement, etc. », explique le capitaine François Debilly, l'instructeur de la méthode au Centre national de formation de police judiciaire (CNFPJ) de Fontainebleau. La méthode comporte plusieurs phases. La préparation d'abord. « Elle se fait au vu du dossier de la personne. Nous étudions qui elle est, sa situation familiale, son environnement, etc. On épluche tout. En fonction de cela, on crée le décor qui pourra aider : afficher tel poster au mur, poser une plante verte, etc. On choisit notre tenue civile pour les réfractaires à l'uniforme par exemple… » Seconde phase : la conduite de l'audition. Pour ne pas gêner le lien de confiance qui doit s'établir entre l'enquêteur et la personne entendue, c'est un gendarme « greffier » qui va noter les réponses tout en se faisant très discret. « Il faut un contrôle total de soi-même et de la situation. Face à quelqu'un qui refuse de parler, on essaie de dégeler la situation. On lui parle de ce qui l'intéresse. De fil en aiguille, je pose des questions car je sais à quoi je veux aboutir. C'est très positif pour l'enquêteur. Il use moins d'énergie, l'atmosphère est plus détendue, on gagne du temps et on gagne en authenticité. » Selon le capitaine Debilly, « cette méthode se pratique déjà, sans être formalisée. On ne fait pas du passé table rase, mais on bonifie ce qu'on fait avec cette technique très ordonnée. C'est un travail de longue haleine. Depuis trois ans, j'organise quatre stages de 18 personnes par an au CFPJ de Fontainebleau. Cela va entrer dans les mœurs comme ce fut le cas avec le gel des lieux sur une scène de crime. Nous aurons des résultats à grande échelle dans plusieurs années. »
Mission psychocriminologue - Département des Sciences du Comportement de la Gendarmerie - l'Institut de Recherche Criminelle de la Gendarmerie Nationale (IRCGN)
- Analyse détaillée d'un dossier criminel.
- Élaboration d'un profil d'auteur.
- Confrontation des résultats avec les analystes comportementaux du département.
- Échanges autour de diverses problématiques touchant à l'analyse comportementale.
Mission essentielle de la gendarmerie nationale qui y consacre près de 40 % de son activité quotidienne, la police judiciaire consiste à rechercher les infractions à la loi pénale, à les constater, à en rassembler les preuves et à en rechercher les auteurs.
Exercée sous la direction et le contrôle des magistrats de l’ordre judiciaire, elle implique les unités territoriales (brigades et communautés de brigades), les unités spécialisées (432 sections et brigades de recherche), les 100 brigades départementales de renseignements et d’investigations judiciaires (BDRIJ), les trois offices centraux (lutte contre la délinquance itinérante -OCLDI-, lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique -OCLAESP- et lutte contre le travail illégal -OCLTI-) et les groupes d’intervention régionaux (GIR). http://www.gendarmerie.defense.gouv.fr/judiciaire/index.html
Maillons essentiels dans la résolution des enquêtes judiciaires, les Techniciens en identification criminelle de proximité (TICP), véritables « experts » dans le domaine de la police technique et scientifique, sont à l'origine du dénouement de nombreuses affaires.
Plus de 5000 techniciens en identification criminelle sont actuellement déployés au sein des brigades territoriales ou des communautés de brigades de la gendarmerie nationale. Choisis parmi des sous-officiers volontaires qui manifestent un intérêt particulier pour la police judiciaire et la criminalistique, ils ont notamment pour mission la gestion des scènes d'infractions courantes liées à la délinquance de proximité (cambriolages, vols de véhicules...) et la réalisation d'actes élémentaires de police technique et scientifique de nature à permettre l'identification des auteurs.
Quelques livres :
(http://multimedia.fnac.com/multimedia/FR/images_produits/FR/Fnac.com/Grandes110/9/6/9/9782100540969.gif) (http://multimedia.fnac.com/multimedia/images_produits/Grandes110/7/2/6/9782350131627.gif) (http://multimedia.fnac.com/multimedia/FR/images_produits/FR/Fnac.com/Grandes110/4/9/5/9782350132594.gif) (http://multimedia.fnac.com/multimedia/images_produits/Grandes110/9/6/0/9782012376069.gif) (http://multimedia.fnac.com/multimedia/images_produits/Grandes110/9/9/4/9781407572499.gif) (http://multimedia.fnac.com/multimedia/images_produits/Grandes110/1/1/5/9782246702511.gif)
La police scientifique mène l'enquête , 50 crimes élucidés par la science - Steven A. Koehler, Pete Moore, David Owen
Si, autrefois, la conviction et l'aveu suffisaient à emporter l'opinion des magistrats et des jurés, depuis queqlues années, la preuve scientifique est devenue un élément incontournable de l'enquête criminelle et la police scientifique est devenue la nouvelle héroïne des séries télévisées.
Dans ce livre illustré en couleur, 100 crimes, classsiques ou moins connus, avec ou sans cadavre, sont décrits en montrant comment la science a permis de les élucider. Chaque cas illustre les différentes branches de la police scientifique (le profiling, les analyses toxicologiques ou balistiques, les analyse ADN ou sérologiques...) : les techniques utilisées sont décrites en encarts. Une introduction présente les méthodes d'enquête et un glossaire en fin d'ouvrage explicite les principaux termes utilisés.
Ses trois auteurs respectivement médecin légiste, journaliste médical et journaliste scientifique décortiquent 50 cas regroupés en 8 thématiques, photographies, schémas et témoignages d'expert à l'appui.
Chroniques d'un médecin légiste - Michel Sapanet
En France, on tue tous les jours, toutes les heures. Les faits divers envahissent les journaux, les séries télévisées de médecine légale prolifèrent, les histoires criminelles, réelles ou fictives, exercent sur le public une fascination sans borne.
Michel Sapanet est médecin légiste. Sa vie, c'est la mort. Égorgés, poignardés, étranglés, pendus, tués par balle, toutes les victimes finissent par parler. Sur sa table en inox, avec un immense respect, il pratique son autopsie : exploration des boîtes crâniennes, inspection des chairs mortes, ouverture des cœurs… le quotidien extraordinaire d'un homme ordinaire.
Quelle vérité sous ces corps anonymes ? Au légiste d'aller la chercher. Suicide déguisé, sombre accident de chasse, infanticide, le docteur Sapanet passe en revue les affaires criminelles survenues ces dernières années dans sa région poitevine. Avec humour, il propose une plongée en apnée dans son univers et accomplit cet art insolite de faire parler les morts.
Les nouvelles chroniques d'un médecin légiste - Michel Sapanet
De nouvelles enquêtes dignes des meilleures énigmes du Docteur House !
Une petite vieille tuée avec un couteau par son neveu pour hériter de la maison, un sac d’ossements humains retrouvé dans un lycée, un crâne fracassé par une mystérieuse balle, une overdose de médicaments…
Des histoires extraordinaires, Michel Sapanet en vit tous les jours. Sa vie, c’est la mort. La clientèle qu’il voit défi ler sur sa table en inox est un peu particulière : corps inanimés au teint violet, vert ou noirâtre, peaux putréfi ées ou boîtes crâniennes fracassées. À lui d’aller chercher la vérité sur le terrain, à lui d’explorer l’intimité des victimes, à lui d’ouvrir les coeurs, d’inspecter les chairs mortes et de remuer le passé. Suicide ou homicide ?
Après le succès de ses Chroniques d’un médecin légiste, Michel Sapanet nous offre de nouvelles chroniques encore plus saisissantes ! Avec un humour plus grinçant que jamais, l’auteur nous propose cette fois-ci, dans un style plus personnel, une plongée dans la noirceur de la nature humaine, et accomplit avec brio cet art insolite de faire parler les morts.
« Chaque affaire qu’il relate avec, parfois, une pointe de délectation jamais malsaine recèle son lot de bizarreries, de cocasseries même. Des histoires extraordinaires. » VSD
« Michel Sapanet raconte son quotidien peuplé de morts, dans ses Chroniques dignes d’un polar. » France Soir
« Mieux que les Experts, Cold Case, ou FBI : portés disparus. Âmes sensibles, surtout ne pas s’abstenir. » L’Express
Profileuse, une femme sur la trace des serial killers - Stéphane Bourgoin
« Pendant mes enquêtes, je suis vingt-quatre heures sur vingt-quatre dans la tête des serial killers. Je n’ai jamais aimé le sang, mais, aujourd’hui, mes jours et mes nuits sont peuplés par des cauchemars et des corps en décomposition. » A trente-huit ans, Micki Pistorius est la première femme au monde à avoir exercé le métier de profiler et à traquer les serial killers. En l’espace de six ans, elle a enquêté sur près de quarante cas de tueurs en série et les profils psychologiques qu’elle a établis ont permis l’arrestation d’une douzaine de ces assassins hors norme. Durant plusieurs mois, l’auteur a accompagné Micki Pistorius dans son travail quotidien, sur les scènes de crimes, dans les morgues, les commissariats et jusque dans les prisons de haute sécurité où elle recueille les hallucinantes confessions de serial killers pédophiles, cannibales ou nécrophiles. Dans cet ouvrage, Micki Pistorius accepte de livrer certains de ses secrets et nous fait partager sa terrifiante plongée au cœur des ténèbres.
COMMENT DEVENIR « PROFILER » ou « ANALYSTE COMPORTEMENTAL » en FRANCE - CONSEIL SYLVIANNE SPITZER => site http://profiling.free.fr/Devenir%20profiler.htm
Dans le but d'être un jour nommé ou recruté il vous faut acquérir un certain savoir.
Alors voici quelques conseils pour bien vous orienter et développer l'aspect le plus important : la crédibilité... ^-^
Quelles études ?
Si vous voulez tenter de faire avancer les choses à votre tour, si vous désirez être crédible dans votre approche et si vous devez présenter des références qu'on ne manquera pas de vous demander, il vaut mieux vous former sérieusement auparavant.
Deux pistes possibles :
- La principale (après tout, il s’agit d’étudier des comportements) : la psychologie (donc Licence + Master 1 + Master 2 soit au minimum bac + 5) avec une spécialisation en psychologie clinique/patho.
- le droit (jusqu’à bac + 5) avec un spécialisation en droit pénal
L’idéal est :
De faire un cursus complet de droit pénal + un cursus de psychologie + diverses « spécialisations » (criminologie, victimologie, criminalistique…). :o
La Gendarmerie nationale étant la seule institution à avoir recours à l’analyse comportementale, il n’y a pas d’autre solutions que d’entrer en gendarmerie.
Pour rappel, les analystes comportementaux (« profilers ») exercent au sein du Département des Sciences du Comportement (DSC) depuis 2009. Ce département est composé de 4 analystes comportementaux et de 3 enquêteurs.
Comment faire ?
- Avec votre master 2 de psycho, vous passez le concours de psychologue (postes en formation, en recrutement… ), il vous faudra demander à suivre une formation interne liée au processus d’enquête, puis il vous faudra attendre quelques année pour pouvoir demander votre statut d’officier de police judiciaire (OPJ) et vous pourrez enfin tenter d’intégrer le Département des Sciences du Comportement (DSC), il vous faudra alors postuler en interne.
- Ou avec votre master 2 de droit vous passez le concours d’officier de gendarmerie. Vous intégrerez l’école de gendarmerie (EOGN à Melun - 77) http://www.gendarmerie.interieur.gouv.fr/eogn ; à la sortie vous êtes alors officier de police judiciaire. Vous faites vos preuves sur le terrain (environ 5 ans) au sein d’une section ou d’une brigade de recherche, vous suivez par ailleurs une formation en psychologie à l’université et vous postulez en interne au sein de la DSC.
Il vaut mieux, à mon humble avis, être psychologue et tenter sa chance en interne que de faire du droit sans formation en psycho. Sans spécialisations comme la criminologie sur votre CV ne penser même pas à postuler, vous ne serez pas recruté. Il y a énormément de demande par rapport au nombre de poste susceptible de se libérer ou d’être créé.
Donc quelques spécialisations existantes :
- la criminologie, étude des comportements criminels (quelques DU en France à Paris V, à Paris II, à Rouen, à Rennes et un Master 2 recherche à Aix en Provence, un Master 2 à Pau)
- la criminalistique, étude des recherches d'indices (un DU à Paris V et un Master 2 recherche à Lyon)
- la victimologie, étude des victimes (un DU à Paris V).
Ces diplômes ne sont accessibles qu'avec un Master 1 généralement (se renseigner car il existe de grandes différences d’une université à une autre : parfois accès dès la licence 3 possible, mais parfois seulement après un Master 2 !).
Il existe aussi un DIU de psycho-criminalistique à Lyon 1, lui aussi réservé aux professionnels déjà en poste.
Pour rappel, puisqu’on me pose beaucoup cette question : avec la nationalité française on ne peut travailler aux USA dans le profilage, avec la nationalité américaine ou anglaise on ne travaille dans le profilage en France ! Chaque pays applique une législation de sécurité intérieure, ce qui fait que pour « faire » du profil il faut avoir la nationalité du pays dans lequel on va travailler.
Ah oui, il vous faut aussi et surtout, une bonne culture générale liée à une grande curiosité d'esprit.
Le profilage demande des connaissances dans de nombreux domaines (droit, médecine, anthropologie, littérature,...), bref un peu de tout pour pouvoir comprendre et interpréter tout ce que l'on voit et lit ( par exemple savoir reconnaître l'appartenance à un groupe grâce à un tatouage, savoir d'où vient une citation extraite d'une demande de rançon, etc ...).
Encore de la lecture :
(http://ecx.images-amazon.com/images/I/41Mqnq3zVrL._BO2,204,203,200_PIsitb-sticker-arrow-click,TopRight,35,-76_AA300_SH20_OU08_.jpg) (http://ecx.images-amazon.com/images/I/517aQMa8qSL._SL500_AA300_.jpg)
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