Auteur Sujet: les perles des assurances  (Lu 1328 fois)

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Hors ligne tequilla-corse

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les perles des assurances
« le: 29 avril 2009, 20:34:25 »

Pour l'instant, je n'ai aucune assurance chez vous, sinon celle de votre considération distinguée.

Vous me dites que l'accident ne rentre pas dans le champ de la garantie, mais, en tous cas, la voiture de mon voisin est rentrée dans mon champ.

Ayant prononcé quelques invectives à l'encontre de cette conductrice, celle-ci m'a semblé froissée, mais moins pourtant que la tôle de ma voiture.

Vous m'avez conseillé d'assurer ma voiture pour l'usage promenade, mais j'ai oublié de vous préciser que tous les dimanches, j'allais raccompagner ma belle-mère qui vient déjeuner à la maison. Puis-je, en toute honnêteté, considérer ce déplacement comme promenade.

J'ai été heurté de plein fouet par un poteau électrique.

J'avoue que je n'aurais pas dû faire demi-tour sur l'autoroute avec ma caravane, mais j'avais oublié ma femme à la station-service.

J'ai frappé un camion stationné qui venait dans l'autre sens.

Un camion a reculé dans mon pare-brise et dans le visage de ma femme.

L'homme prenait toute la rue et j'ai dû effectuer de nombreuses manoeuvres avant de le frapper.

En voulant éviter de frapper le pare-choc de l'auto qui me précédait, j'ai écrasé un piéton.

Je conduisais ma voiture depuis quarante ans lorsque je me suis endormi au volant et que j'ai eu cet accident! Une voiture invisible est arrivé de nulle part, a frappé mon véhicule et est disparue.

Le poteau de téléphone s'approchait rapidement, j'ai essayé de l'éviter mais il a frappé l'avant de ma voiture.

J'étais certain que le vieil homme ne se rendrait jamais de l'autre côté de la route, alors je l'ai frappé.

L'automobile a freiné devant moi. J'ai ralenti. Il a stoppé. J'ai freiné. Il est reparti. J'ai redémarré. Il a freiné de nouveau. J'ai levé le pied aussitôt. Il regardait à droite. Je regardais devant moi. Tout ça pour vous dire que j'ai fini par le heurter à l'arrière.

Depuis mon accident, j'étais le patient le plus patient de mon médecin traitant, mais si vous tardez à m'envoyer un chèque, je serai le plus impatient de vos clients.

Jusqu'à présent, nous étions fait pour nous entendre: je vous payais mes primes, vous me remboursiez mes accidents. Mais si, maintenant, vous me cherchez noise pour une quittance réglée avec retard, où allons-nous?

J'ai été verbalisé sous prétexte que le certificat d'assurance apposé sur mon pare-brise était périmé. La marée-chaussée m'agresse, les portes de votre agence sont closes le lundi matin; quant à moi je suis saisi d'un doute: être ou ne pas être assuré!

Tout d'abord je vous dis bonjour, ensuite je vous dis que je vous écris pour vous dire qu'une dame m'a dit que j'avais éraflé sa voiture avec mon vélo.

Depuis l'accident, j'ai des mots de tête.

Ma voiture a subi d'importants dommages corporels.

J'ai décidé de ne pas prendre d'assurance responsabilité cette année car je ne vois pas qui pourrait me poursuivre: je suis si inoffensif!

Étant sorti de l'hôpital et sur le point de reprendre mes activités professionnelles, je vais à nouveau utiliser ma voiture. À cette occasion, je vous demande de bien vouloir redémarrer mon assurance.

À la suite de mon accident du mois dernier, ma voiture a été convoquée par l'expert pour lui montrer ses dommages.

J'ai malheureusement rencontré un trottoir avec ma voiture neuve.

L'autre voiture a frappé la mienne sans m'avertir de ses plans.

J'ai dit au policier que je n'étais pas blessé, mais en ôtant mon chapeau, j'ai vu que j'avais une fracture du crâne.

Le piéton ne savait plus par où passer, alors je suis passé dessus.

Je n'ai pas pu freiner à temps et ma voiture a embouti l'autre véhicule. Le conducteur et le passager sont partis immédiatement en vacances avec blessures.

La cause indirecte de l'accident est un petit homme, dans une petite voiture, avec une grande gueule.

Le pauvre type était partout à la fois. J'ai été obligé de donner plusieurs coups de roue avant de le frapper.

Mon mari est pour le moment décédé.

Si vous n'augmentez pas mes prestations, je vais être obligé de recommencer à travailler.

Il a perdu son épouse le 17 écoulé. Il a également perdu le numéro de dossier.

L'expert s'est décommandé. Il a remis sa visite ciné die.

On l'a trouvé mort dans un état grave.

Il s'agit d'un témoin fort respectable et tout à fait digne de bonne foi. Je signale du reste qu'il était fort bien mis, portant cravate et costume croisé.

Je dois vous dire que les gendarmes m'ont posé des questions indiscrètes, du genre: D'où veniez-vous? Où alliez-vous? Avez-vous bu quelques verres? Avez-vous regardé à droite et à gauche avant de franchir le carrefour? Votre passagère est-elle un membre de votre famille? etc. Vous avouerez que c'est beaucoup de curiosité pour de la tôle froissée et que je n'ai pas à soulever le voile de ma vie intime sous prétexte que j'ai bousillé un pare-choc.

En vous remerciant par avance, je reste dans la tente de votre chèque de règlement.

Je viens, par la présente, vous déclarer un accident qui, pour être banal, n'en est pas moins inhabituel.

J'ai pris contact avec votre répondeur et celui-ci m'a aimablement conseillé de vous écrire.

En décembre 92, j'avais cassé mon pare-brise et vous aviez gelé mon bonus; je viens d'avoir un autre accident à la fin d'août: est-ce que le gel marche aussi pendant l'été?

J'ai un bris de pare-brise, mais je connais le coupable: le garagiste l'a fracturé lorsqu'il a enlevé toutes les vitres de mon auto pour la repeindre.

Mon fils va prendre des cours pour piloter un petit avion. Je voudrais savoir si les assurances que j'ai chez vous le garantissent contre le vol?

J'ai bien compris que je devais vous déclarer le sinistre dans les cinq jours, mais était-ce cinq jours avant ou cinq jours après?

Monsieur, j'ai l'honneur de vous déclarer que je viens de faire mon cinquième accident de l'année. Vous pouvez dire que je suis dans la poisse. Mais vous noterez que pour mon troisième, j'étais pas dans mon tort.

Il y a déjà un mois que j'ai embouti trois voitures à l'arrêt et je n'ai encore rien touché. Est-ce normal?

Monsieur le Directeur, dans ma déclaration d'accident que je vous ai adressée, j'ai oublié de vous dire qu'il y avait un mort.

En regagnant mon domicile, je me suis trompé de maison et je suis entrée dans un arbre qui ne m'appartenait pas.

Je ne vois pas pourquoi vous refusez de prendre mon accident en charge à cause que je n'ai pas payé ma cotisation, puisque l'autre année, j'avais payé et j'avais pas eu d'accident.

Je suis entré en collision avec un brave homme dont les moyens intellectuels m'ont paru terriblement limités. J'ai donc eu la chance de parvenir à lui faire signer un constat qui m'est particulièrement favorable. Je pense que vous m'en saurez gré.

La prime, c'est moi qui la paie et vous remboursez les dégâts de l'autre. Tout ça, c'est des fumisteries.

J'ai signé le constat mais ça ne compte pas. J'avais pas mes lunettes et j'ai rien vu de ce qui était dessus.

Etant donné que je n'ai subi aucun dommage, ils vont encore en profiter pour ne rien me payer.

Je vois pas pourquoi je suis amputé de toute responsabilité, puisque l'autre ne savait pas conduire non plus.

Ma femme a été commotionnée et aura sûrement des cicatrices à la figure mais c'est rien, le docteur y a mis des infectants.

Je viens par la présente vous déclarer un accident. Je vous donnerai tous les détails quand j'aurai retrouvé mes esprits.

J'ai immédiatement porté plainte pour le vol de ma voiture au commissariat de Nice où j'ai passé le week-end.

J'espère que vous n'aurez aucune difficulté pour exercer un recours et récupérer ce qui m'est dû. En effet, bien qu'il ne soit pas assuré, ce monsieur a les moyens: on dit qu'il est propriétaire d'une fabrique de chaussures qui marche bien.

J'avoue que mon fils est responsable de cet accident, mais il faut aussi noter que cette personne s'est conduite de façon fort cavalière: elle est même montée sur ses grands chevaux pour me faire la morale.

Après l'accident, l'autre automobiliste n'arrêtait pas de répéter: Je suis prioritaire, je suis prioritaire... Entre nous, il n'y a pas de quoi en tirer vanité. Pour être prioritaire, il suffit de venir par la droite. C'est à la portée du premier imbécile venu.

C'était jour de verglas. Je circulais très lentement dans ma voiture, quand le piéton m'a doublé à toute vitesse, par la droite et sur les fesses.

Si je comprends bien, vous indemnisez mon adversaire avec l'argent de ma prime. C'est trop facile d'habiller Paul quand on déshabille Pierre.

Mon fils ne peut être civilement responsable de cet accident puisqu'il est militaire.

Vous me demandez de vous donner mon accord sur les termes de votre lettre; or, cette lettre je ne l'ai jamais reçue. Comment voulez-vous que je vous donne mon accord sur le contenu d'une lettre que je n'ai jamais reçue? Je ne suis pas contre, mais je ne suis pas pour non plus. Comprenez-moi: quand on cause, il faut savoir de quoi on parle.

En se relevant, le cycliste n'a formulé aucune déclaration intéressante au sujet de la collision. Il se contentait de répéter Aïe, aïe, aïe sur tous les tons.

Le témoin est venu témoigner comme quoi il n'avait rien vu et rien entendu.

J'ai bien reçu, successivement, votre lettre sur papier blanc, votre recommandée jaune, votre billet vert, mais maintenant j'aimerais bien savoir où nous en sommes exactement.

J'ai doublé un cycliste qui circulait à vélo...

J'ai bien un témoin, mais il ne cause que l'étranger, vu qu'il n'est pas français.

L'accident s'est produit alors que je suivais la voiture qui me précédait et que je précédais celle qui me suivait.

Votre médecin expert m'a examinée et m'a demandé si j'avais des antécédents. Malheureusement, mon père est mort il y a dix ans et j'ai perdu ma mère l'année dernière.

Vous m'avez dit un jour qu'en matière d'assurance, la bonne foi de l'assuré était toujours présumée. Je m'étonne en conséquence que vous m'infligiez un mal pour mon accident: je n'ai pas voulu griller le feu rouge, il se trouve que je ne l'ai pas vu du tout. J'espère que la nuance ne vous échappera pas.

C'est la troisième lettre que je vous envoie et qui me revient avec la mention N'habite pas à l'adresse indiquée . Je suppose que vous avez changé votre agence de place. Veuillez me le faire savoir en répondant à cette quatrième lettre.

Ci-joint, le remboursement du trop perçu lors de l'ajout d'un fils occasionnel.

Suite au carambolage du mois dernier, ma voiture est hors d'état de conduire et moi aussi.

Je possède mon permis depuis 10 ans et mon mari depuis 25 ans.

Avant d'aborder le carrefour, j'avais pris soin de regarder à ma droite (rien) et à ma gauche (toujours rien). C'est alors que j'ai quelque peu bousculé le piéton qui traversait devant moi. On ne peut quand même pas regarder partout à la fois!

Comme vous avez dû le voir, avant-hier, en lisant notre quotidien régional, j'ai eu droit aux honneurs de la presse. Vous pouvez vérifier au bas de la page 12, dernière colonne, trois lignes intitulées : Vélomotoriste renversé dans le centre-ville. Le vélomotoriste, c'est moi.

Ayant perdu le contrôle de mon véhicule en raison du verglas, celui-ci alla mourir très doucement dans le mur du cimetière.

Que voulez-vous que j'y fasse? Il m'a brûlé la politesse en brûlant le feu rouge. Il n'y avait pourtant pas le feu, que diable!

Vous n'aviez pas l'air content quand je vous ai indiqué l'autre jour au téléphone que les voyous de la cité avaient encore cassé les vitres de ma voiture. Mais entre nous, vous n'êtes pas le plus mal loti : figurez-vous qu'au cours de la même semaine, j'ai été cambriolé. Or, je vous rappelle que c'est un collègue à vous qui assure mon appartement.

Pourriez-vous me dire si mon assurance-vol garantit le vol des antivols?

Puisque vous me demandez quelles sont les conséquences de l'accident, je vous dirais que, depuis, mon mari est mort.

L'enquête a démontré que l'incendie avait été allumé à l'aide d'un feu.

Seule l'autopsie pourra dire si l'homme est encore vivant.

Au rond-point, j'ai ralenti, j'ai laissé passer absolument toutes les voitures venant à ma droite - et d'ailleurs, il n'y en avait pas -, j'ai avancé et j'ai été heurté par une Fiesta qui venait justement de ma droite par un moyen que j'ignore. J'ai heureusement eu le temps de freiner, et c'est là que le choc s'est montré sans réticence.

Je n'avais pas vu la voiture arriver et, quand je l'ai vue, je n'ai plus rien vu.

Je désire que ma voiture soit utilisable accidentellement par mes enfants majeurs considérés comme novices.

L'accident est survenu alors que je changeais de fille.

Vous savez que mon taxi est transformé en corbillard et que je n'y transporte que des morts. Mes clients ne risquant plus rien, est-il bien nécessaire que vous me fassiez payer une prime pour le cas où ils seraient victimes d'un accident?

Chacun des conducteurs conduisait sa voiture.

Je vous adresse comme convenu mon constat amiable. Pour être sûr de ne rien oublier, j'ai fait des croix dans toutes les cases.

Je vous serais obligé de m'adresser le courrier le courrier concernant mon accident à un de mes amis M. car, pour la passagère blessée, ma femme n'est pas au courant, et il vaut mieux pas. Je compte sur votre compréhension pour ne pas déshonorer un honnête père de famille.

J'ai mis mon clignotant à gauche pour indiquer que je ne virai pas à droite.

Circonstance de l'accident : est passé à travers une porte vitrée lors de l'opération "portes ouvertes" de l'entreprise.

Si vous continuez à m'envoyer des lettres recommandées sous prétexte que je ne paie pas mes primes, je me verrai dans l'obligation de résilier tous mes contrats.

Je vous demanderais de ne tenir aucun compte du constat amiable. Vous comprendrez en effet que je fus brusquement pris d'une émotion subite : arrière défoncé, présence de la police, choc psychologique, tout concourrait à ce que je mette des croix au hasard.

En qualité du plus mauvais client de votre agence (neuf accrochages en un an), je vous demande d'avoir le plaisir de résilier mon assurance auto avant la date d'échéance.

Je ne suis pas responsable du refus de priorité puisque je n'avais pas vu venir la voiture, vous pensez bien que si je l'avais vue je m'aurais arrêté.

Depuis son accident, ma femme est encore pire qu'avant. J'espère que vous en tiendrez conte.

Il m'ont trouvé 2,10 grammes d'alcool dans le sang et ils vont me condamne. Sur 6 à 8 litres de sang qu'on a dans le corps vous avouerez que c'est pas tellement (personnellement, j'aurais cru que j'en aurais eu plus).

Vous n'allez pas me faire chier avec votre connerie de fric. J'ai envoyé une lettre recommandée pour annuler mon contrat.
P.S. : le signe de croix du capitaliste : Au nom du pèze, du fric et du saint-bénéfice, ramène.

Je vous renvoie le papieds avec lequel on peu se torcher le quu car je vous avet envoulier une lettre recommander il y a longtemps et jai plut la voiture non plut et je informe que mon règlement vous sera fait à Niort avec du 6x35 à répaitision car vous êtes une bande de gangstaire et je vais vous maitre entolle. Recevez monsieur mes condoléances.

Je vous fait remarquer que ce croisement est très dangereux vu qu'il y a deux routes qui se coupent juste à cette place.

C'est vrai que le camion allait très vite quand il a heurté la voiture de Mr X. Je suis prête à témoigner en faveur de ce monsieur qui est justement le patron de mon mari. Vous voyez que je ne suis pas rancunière.

Puisque vous me demander un témoignage précis, je vous dirai qu'à mon avis c'est le monsieur qui a tort, puisque la dame a raison.


Vous me dites que Mlle X réclame des dommages-intérêts sous prétexte qu'elle a été légèrement défigurée après l'accident. Sans être mauvaise langue, il faut bien avouer que, même avant l'accident, cette malheureuse n'avait jamais éveillé la jalousie de nos concitoyennes.

Si j'ai reconnu ma responsabilité sur le champs, c'est que ce monsieur doit mesurer dans les 2 mètres et peser dans les 100 kg. Je n'avais donc aucune chance de lui faire entendre raison malgré mon évidente supériorité intellectuelle.

Vous m'écrivez que le vol n'existe pas entre époux. On voit que vous ne connaissez pas ma femme.

Je suis étonné que vous me refusiez de payer cet accident sous prétexte que je ne portais pas mes lunettes comme indiqué sur mon permis. Je vous assure que ce n'est pas ma faute si j'ai renversé ce cycliste : je ne l'avais pas vu.

Le cycliste zigzaguait sur la route, tantôt à gauche, tantôt à droite, avant que je puisse le télescoper.

Le camion continua sa marche lugubre pour aller se jeter dans le ravin.

Ne pouvant plus travailler à la suite de mon accident, j'ai du vendre mon commerce et devenir fonctionnaire.

Nous avons bien rédigé le constat, mais pas à l'amiable du tout

En avançant, j'ai cassé le feux arrière de la voiture qui me précédait. J'ai donc reculé, mais en reculant j'ai cabossé le pare-chocs de la voiture qui me suivait. C'est alors que je suis sorti pour remplir les constats, mais en sortant j'ai renversé un cycliste avec ma portière. C'est tous ce que j'ai à déclarer pour aujourd'hui.

Ma voiture gênant la circulation, un portugais m'a aidé à la mettre sur le trottoir, ainsi que ma femme qui rentrait de son travail.

J'ai heurté une voiture en stationnement et je me suis bien gardé de me faire connaître auprès de l'automobiliste. J'espère que vous serez content et que vous pourrez faire un petit geste en m'accordant un bonus supplémentaire.

J'ai lu dans mon contrat auto que vous ne me rembourserez pas les réparations de ma voiture si j'ai causé un accident en état d'ivresse. Je suis prêt a payer ce qu'il faudra pour que vous supprimiez ce paragraphe.

Pour les blessures de ma femme je vous envois cijoin le certificat que j'ai pu arrivé à avoir par mon docteur. Je les met donc sous réserve en attendant que vous m'écrivié combien elles peuvent me rapporter environ.

Je débouchai d'un chemin à une vitesse à proximative de 100 et voilà que je heurte un arbre. L'arbre m'a injecté de ma voiture alors que la voiture a continué toute seule avec la jeune fille que j'étais sorti avec.

Vehicule B :
Noms : Chevreuil.
Prénom : inconnu
Véhicule : à pattes
Conducteur : lui-même
Circonstances : venait de droite
Dégâts apparents : estafilade cuisse gauche
Observations : Bêê

Je vous écris de la prison. Ayant été arrêté, je vous demande d'arrêter également mon assurance auto.

Je n'ai pas eu le temps de relever le numéro de la voiture, mais je peux vous signaler que la conductrice était blonde, sympathique, et qu'elle portait un corsage vert.