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Quatre personnes sont mortes dans les crues qui ont touché le Gard, décédées après avoir tenté de traverser des ponts submersibles.
Ces axes représentent de véritables dangers mortels lors de fortes intempéries.

Le bilan des crues dans l'Hérault et le Gard causées par la tempête Monica (mars 2024) est monté à cinq morts ce lundi 11 mars.
Un point commun lie au moins quatre de ces différents drames : le fait que les victimes ont tenté de traverser des ponts submersibles du département. Par ailleurs, les recherches se poursuivent, dans le Gard et en Ardèche, pour retrouver trois personnes, dont deux enfants, toujours portées disparues.

Une des victimes retrouvées est un homme, sans doute le père de famille emporté par les flots du Gardon après avoir tenté de traverser un pont submersible dans le village de Dions, au nord de Nîmes, samedi soir.

La famille s'était engagée sur le pont alors que des panneaux avaient déjà été installés pour signaler le danger et interdire le passage, mais avant qu'une barrière ne soit mise en place pour bloquer l'accès aux automobilistes, ont détaillé les autorités. Axes sensibles, les ponts submersibles deviennent des lieux aux risques mortels décuplés en cas de rivières en crue. Notamment pour les automobilistes imprudents.

Qu'est-ce qu'un pont submersible ?
Le département du Gard compte au moins 63 ponts submersibles, ou "pont-gués", selon un rapport du Conseil départemental cité par le Centre d’études et d’expertise sur les risques, la mobilité et l’aménagement (Cerema) datant de 2020.
Ce type de pont est "un ouvrage généralement peu élevé susceptible d’être submergé parce qu’il traverse une rivière ou un fleuve dont le niveau peut fluctuer très fortement", d'après le rapport de l'établissement public.
Son principal avantage pour les autorités publiques : il est peu coûteux.
 En effet, "il est conçu pour laisser s’écouler l’eau le plus librement possible au-dessus du tablier en cas de fortes crue", détaille le Cerema.

Dans le Gard toujours, une quinzaine de ponts submersibles sont équipés de barrières. Elles peuvent être fermées en cas de quelconque risque, selon le Cerema. Les autres ont des panneaux de signalisation en amont qui avertissent du potentiel danger en cas de fortes pluies.

Pourquoi le risque est-il quasiment instantané en cas de crue ?
Concernant le drame de Dions, "à 23h, les panneaux directionnels ont été posés par les services du Conseil départemental du Gard pour indiquer que la chaussée était inondée, et donc il y avait une interdiction de passage", a insisté le secrétaire général de la Préfecture du Gard, Frédéric Loiseau. Puis, "à 23h45, a été installée la barrière fermant physiquement la chaussée de part et d'autre", un quart d'heure après l'appel de détresse de la famille, a-t-il poursuivi avant de pointer "des comportements individuels pas totalement adaptés".

Frédéric Loiseau a tenu à rappeler que seulement "vingt centimètres d'eau sur le sol" pouvaient suffire à faire perdre le contrôle d’un véhicule léger à l'automobiliste. Un danger qui devient mortel extrêmement rapidement en cas de fortes pluies. Les périodes de crue ajoutent un élément aggravant : la boue glissante s'accumulant sur la chaussée de ces ponts. Sur l'antenne de BFMTV, le porte-parole de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France, Éric Brocardi, a rappelé à la population de ne "jamais minimiser les risques" et de ne pas "braver des interdits" devant les dangers que présentent les ponts submersibles.

Peu après 5h ce dimanche matin, (visibilité mauvaise à cause de la nuit et de la pluie) deux femmes ont été emportées par les eaux à Goudargues, dans le Gard, département où 4 autres personnes sont recherchées depuis samedi (à Russan et Gagnières). Les secours ont reçu un appel d'urgence de deux automobilistes se disant en difficulté, avant de perdre le contact. L'appel a pu être localisé par GPS sur un pont submersible à Goudargues, dans le nord du département près de l'Ardèche, et une trentaine de pompiers, dont 10 sauveteurs aquatiques de l'Hérault, un drone et un hélicoptère de la sécurité civile des Bouches-du-Rhône ont été engagés pour tenter de retrouver les automobilistes.

Source https://www.ladepeche.fr/2024/03/12/tempete-monica-au-moins-quatre-morts-sur-des-ponts-submersibles-pourquoi-ces-routes-deviennent-mortelles-en-cas-de-crues-11819012.php?M_BT=100111792180#xtor=EPR-1-[newsletter]-20240312-[classique]
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Gendarmerie Nationale / La cuisine : un métier d’avenir en gendarmerie ?
« Dernier message par Jeano 11 le 11 mars 2024, 11:27:40 »

« En gendarmerie, il y a plein de métiers, et la cuisine n’est pas un sous métier, car elle est très importante dans les armées. Tout se passe autour d’une table. La cuisine participe à l’excellence de notre institution. C’est gratifiant de pouvoir faire plaisir à ses camarades. J’en retire beaucoup de bonheur. Et avec cette compétence, on peut voyager en outre-mer et vivre de sa passion. C’est un métier en tension, donc le jeune qui est motivé par cette spécialité peut faire plusieurs déplacements à l’année. En effet, il y a des unités qui n’ont pas de cuisinier. On est donc parfois sollicité par le biais d’appels à volontaires. À mon retour de Guyane, par exemple, je vais renforcer l’escadron d’Orléans déplacé en Corse. »

Les gendarmes affectés en Guyane française sont continuellement renforcés par des Escadrons de gendarmerie mobile (EGM). Les militaires effectuent des missions de transfèrement sur le secteur de Cayenne ainsi que des missions en brousse.
L’escadron fournit également un cuisinier en renfort du mess de la caserne de la Madeleine. Cette structure est chargée de fournir les repas aux militaires et aux civils travaillant sur le site ou bénéficiant d’une convention leur permettant d’y manger. Ces repas pris en collectivité sont désignés sous le terme « d’ordinaire » dans les armées. Fort de son expérience en cuisine, l’adjudant Florent s’est porté volontaire pour assurer cette mission.

Cuisinier, gendarme ou les deux à la fois
Mess de la caserne de la Madeleine à Cayenne. L’adjudant Florent s’affaire en cuisine. Dans sa veste blanche, il jongle entre ses casseroles qui bouillonnent. Ce midi, en plus du repas préparé à l’attention des gendarmes et des civils qui mangent habituellement sur place, il expérimente une recette qu’il a imaginée et qui sera servie à la table du général commandant la gendarmerie de Guyane, qui reçoit plusieurs invités de marque. Confiant mais concentré, l’adjudant Florent n’en est plus à son coup d’essai.

« En 1982, mon père m’a envoyé faire un apprentissage de cuisinier au Bar André à La Rochelle. À l’époque, j’avais 12 ans, il fallait donc une dérogation de la préfecture. Après avoir obtenu mon Certificat d’aptitude professionnelle (CAP), j’ai travaillé au restaurant Le Schlossberg à Forbach.  J’y ai appris le poste de chef de partie poissonnier. À cette époque, j’ai fait mon service militaire au 15e régiment du génie de l’Air et j’ai tenté le concours de sous-officier de gendarmerie, que je n’ai pas réussi. Je suis alors devenu saisonnier dans différents pays et différents types de restaurants (pizzerias, restaurants étoilés, etc.). De 1993 à 2001, j’ai été gérant, puis directeur de restaurant, avant de partir m’installer en Espagne, où je suis devenu second de cuisine du Rock Hôtel à Gibraltar.

L’idée me trottant toujours dans la tête, j’ai présenté le concours de sous-officier de gendarmerie, que j’ai réussi. J’ai intégré l’école de Châteaulin à l’âge de 34 ans et j’ai rencontré le directeur du cercle mixte de la caserne à l’occasion de ma scolarité (NDLR : structures militaires, les cercles mixtes proposent divers services : restauration, hôtellerie, salon de coiffure etc.).
À l’issue de ma scolarité, j’ai été affecté au 2e régiment d’infanterie de la Garde républicaine.
Le directeur du cercle mixte de Châteaulin venait alors d’être muté au cercle mixte de la Garde et m’a contacté. À l’époque, j’envisageais de profiter de ma carrière en gendarmerie pour découvrir autre chose que la restauration, mais on comptait sur moi et j’ai été affecté au cercle mixte des Célestins (NDLR : du nom de la caserne abritant le siège de l’état-major de la Garde républicaine à Paris). Grâce à mes compétences en gastronomie, j’ai rapidement démontré que j’étais capable de faire des repas pour le salon privé dans lequel le commandant de la Garde recevait des autorités civiles et militaires.

Source : https://www.gendarmerie.interieur.gouv.fr/gendinfo/sur-le-terrain/immersion/2024/a-cayenne-l-adjudant-florent-sublime-l-ordinaire
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Recommandations et bon sens / Re : Arnaque au faux conseiller bancaire
« Dernier message par Jeano 11 le 10 mars 2024, 11:10:23 »
L'arnaque au faux conseiller bancaire est très courante. Pour éviter de se faire avoir, il est important de rappeler les conseils à suivre.

S'il ne fallait retenir qu'une seule chose, ça serait celle-ci : ne jamais communiquer vos identifiants bancaires (codes d'accès et codes confidentiels, dont ceux reçus par SMS pour valider une opération) à personne, même à "une personne prétendant être votre conseiller bancaire appelant depuis le numéro de votre agence et connaissant votre identité (nom, prénom, date de naissance, etc.)", précise UFC-que choisir.

Si en théorie, cela est simple, face à une personne qui coche toutes les cases de la confiance, il peut être facile d'oublier cette règle. C'est pourquoi UFC-que choisir rappelle qu'il est indispensable de "garder la tête froide et de raccrocher dès que des informations confidentielles sont demandées" car c'est bien connu, "les escrocs jouent sur la panique".

En cas de doute, il est conseillé de toujours prendre le temps de vérifier les informations auprès de sa banque. Par ailleurs, il convient de rappeler que "si une banque veut bloquer une opération, elle n’a pas besoin de votre confirmation et peut le faire seule".

UFC-que choisir invite également les Français à se méfier des courriels imitant ceux de votre banque ; des liens vers une fausse interface ressemblant à votre compte en ligne ; des numéros de téléphone affichés correspondant à celui de votre banque ; de l’emploi du vocabulaire du domaine bancaire et de la détention d’informations personnelles vous concernant. Même si cela est troublant, un arnaqueur peut avoir acheté ces données personnelles sur le marché noir.

Dans le cas de l'arnaque au faux conseiller bancaire, il est impératif de ne jamais valider des opérations dont vous n’êtes pas à l’origine, même si votre interlocuteur prétexte qu’il s’agit de les annuler.

Source https://www.ladepeche.fr/2024/03/10/arnaque-au-faux-conseiller-bancaire-code-dacces-a-lapplication-de-la-banque-appels-telephoniques-voici-les-conseils-pour-eviter-de-se-faire-avoir-11810614.php
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Recommandations et bon sens / Re : Arnaque au faux conseiller bancaire
« Dernier message par Jeano 11 le 10 mars 2024, 11:08:01 »
Arnaque au faux conseiller bancaire : "C'est plus simple que vendre du shit", un escroc raconte les dessous du piratage.

Comment des escrocs peuvent-ils tromper les clients de différentes banques, en maîtrisant le moindre détail de leur adresse et de leur civilité ?
L'un d'eux nous livre les ficelles d'un juteux business, qui séduit des arnaqueurs de plus en plus jeunes.

Au petit jeu des arnaques aux faux conseillers bancaires, les escrocs ne sont jamais seuls à tirer les ficelles.
Si une personne peut se faire passer pour un faux conseiller bancaire, c'est qu'elle a pu se procurer les informations personnelles soutirées, en ligne, par un autre hacker. "Il y a souvent quatre coupables, qui ne se connaissent pas", explique ainsi un homme, qui prétend avoir observé de très près le ballet des faux conseillers bancaires.

La première étape est le "spoofing". Par le biais d'un SMS frauduleux, un hacker parvient à mettre la main sur vos données personnelles. "Le plus courant, ce sont les fausses amendes de stationnement, issues d'une interface reproduisant la plateforme gouvernementale ANTAI à la perfection.
 Pour ne pas payer une amende forfaitaire majorée, les victimes payent en ligne indiquant leur nom, prénom, adresse et livrant également le numéro de leur carte bancaire, sa date d'expiration et son précieux cryptogramme.

Vend coordonnées bancaires sur Internet
Ce sont ces données que le hacker va monétiser sur Internet, et à en croire notre source, les récupérer est un jeu d'enfants et ne coûterait qu'une vingtaine d'euros, sur des groupes privés, en ligne. Un business alléchant qui attirerait de plus en plus de mineurs, bien souvent collégiens, qui voient là une façon facile, et peu chère de se faire de l'argent. "C'est plus simple que vendre du shit", ironise l'arnaqueur. On l'a vu, dans l'actualité, de nombreux jeunes ont récemment été interpellés, soupçonnés d'être à la tête d'un trafic informatique, depuis leur chambre.

En possession des coordonnées personnelles et des numéros de carte bleue, ces pirates ont le champ libre pour piéger leurs victimes et ils savent très bien qui viser. "Si la personne répond au SMS, on sait déjà qu'elle peut tomber dans le piège, on cible les personnes faibles", confie le "spécialiste". Il faut ensuite savoir inquiéter la personne tout en la mettant en confiance, poursuit ce dernier. Dire qu'il y a urgence, mais que si la victime fait ce qu'il faut, il n'y aura aucun problème...

Des virements directs
"Il faut dire que le paiement qu'ils doivent valider sur leur application bancaire n'est qu'une empreinte bancaire, qu'elle permet l'annulation de la transaction, ce qui est faux. Au bout du fil, l'escroc procède au paiement", détaille notre source. Ce dernier révèle même qu'une nouvelle forme d'arnaque se développe, elle permet des virements instantanés sur le compte des faux conseillers bancaires. "On dit que leur compte est infecté et qu'il faut le sécuriser. Ils virent alors leurs fonds sur ce qu'on appelle un livret de sécurité. Mais il s'agit en fait de notre compte bancaire...", explique notre témoin.

"Il ne faut pas imaginer qu'il y a une mafia organisée derrière tout ça", commente-t-il. "Simplement des personnes douées en informatique qui soutirent des données personnelles et d'autres, qui saisissent l'opportunité de les acheter, et de les utiliser".

Source https://www.ladepeche.fr/2024/03/10/arnaque-au-faux-conseiller-bancaire-cest-plus-simple-que-vendre-du-shit-un-escroc-raconte-les-dessous-du-piratage-11810725.php
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Recommandations et bon sens / Arnaque au faux conseiller bancaire
« Dernier message par Jeano 11 le 10 mars 2024, 11:04:42 »
Arnaque au faux conseiller bancaire : pourquoi cette escroquerie téléphonique explose en France !

Un appel de sa banque, la suspicion d'une tentative de piratage et un conseiller qui sait exactement quoi faire pour en prémunir son client, voilà comment l'arnaque au faux conseiller bancaire piège des milliers de personnes chaque année.
Focus sur une fraude de plus en plus perfectionnée.

L'arnaque au faux conseiller bancaire est ni plus ni moins que le "phénomène de 2023" selon le site Cybermalveillance.gouv, qui a publié en début d'année son état des lieux des escroqueries en ligne les plus répandues.

Déjà observées en 2022, ces arnaques ont explosé en 2023 avec une augmentation de 78%, selon le site. Jean-Jacques Latour, responsable de l'expertise en cybersécurité sur le site gouvernemental détaille l'ampleur du phénomène. Le nombre de signalements pour ce type spécifique de fraude serait ainsi passé de 1 600 au second semestre de l'année 2022 à 5 000 en 2023. Au total, ce sont 628 millions d'euros qui auraient été subtilisés aux victimes de fraudes au moyen de paiement au premier trimestre 2023 selon la Banque de France.

"Je passe ma vie à faire ça", confirme Me Arnaud Delomel, avocat au barreau de Rennes.

Si de plus en plus de personnes se font avoir, c'est que l'arnaque est de plus en plus sophistiquée. Elle se déroule en deux temps, la première étape est celle d’hameçonnage (également appelé phishing), durant laquelle un pirate informatique met la main sur les données personnelles des victimes. Les messages les plus consultés sont les contenus sur la fausse infraction routière, la fausse infraction à la pédopornographie et le faux support technique.

Puis, vient l'étape de l'appel malveillant au cours duquel l'escroc fait croire qu'une opération suspecte risque d'apparaître sur le relevé bancaire de la victime. La guidant pour "annuler" l'opération avant que le retrait soit effectif, l'escroc l'amène à valider un paiement à l'aide du Secur'Pass, désormais obligatoire sur toutes les applications bancaire, et empoche le pactole.

Une victime suffit à "faire la journée" d'un escroc
"L'escroc il se réveille le matin et il fait son travail d'escroc, il a sa liste de 100 ou 200 clients à appeler. Sur les 200 personnes, si une ou deux tombe dans le panneau, il a fait sa journée. Je ne vous fais pas de dessin, si à chaque fois il prélève 3000, 4000 voire 5000 euros, la journée est faite", commente l'avocat rennais, spécialiste de la défense des intérêts des consommateurs et des particuliers. Ce dernier confirme que l'arnaque peut berner tout le monde: "Aujourd'hui, certains arrivent même à inscrire le numéro de la banque de leurs victimes sur leurs téléphones", détaille Arnaud Delomel.

Une loi datant de 2020 (la loi Naegelen) vise pourtant à encadrer le démarchage téléphonique et à lutter contre les appels frauduleux, elle "oblige les opérateurs téléphoniques à sécuriser leurs numéros", comme l'explique Julien Lasalle, secrétaire de l'Observatoire de la sécurité des moyens de paiement (OSMP) à la Banque de France. De plus en plus de SMS et appels sont aussi bloqués ou référencés parmi les potentiels indésirables, une mesure utile, mais qui n'empêche pas les arnaques.

"Tout le monde peut se faire avoir, il ne faut pas penser que seules les personnes faibles sont ciblées, j'ai de toutes les catégories socioprofessionnelles dans mon cabinet", confirme-t-il.

De leur côté, les banques n'hésitent pas à investir pour renforcer la sécurité de leurs systèmes informatiques et informer leurs clients des risques qui existent et des précautions à prendre pour ne pas se faire piéger. L'expert de la Banque de France précise qu'il existe aujourd'hui des "mécanismes de détection" qui permettent d'identifier les transactions suspectes (montants élevés, origine étrangère, dépense inhabituelle pour le client). Enfin, l'authentification forte, c’est-à-dire la saisie d'un code avant chaque paiement a également permis de faire baisser le nombre de fraudes par carte bancaire en 2023.

Source https://www.ladepeche.fr/2024/03/10/dossier-arnaque-au-faux-conseiller-bancaire-pourquoi-cette-escroquerie-telephonique-explose-en-france-11812476.php?M_BT=100111792180#xtor=EPR-1-[newsletter]-20240310-[classique]
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Voici les infractions routières les plus courantes commises par les conducteurs de scooters et comment les éviter
Découvrez les infractions routières les plus courantes commises par les conducteurs de scooter et nos conseils pour adopter une conduite responsable et prévenir les risques d'accident.

Les scooters sont aujourd'hui un moyen de transport très prisé en milieu urbain en raison de leur facilité de circulation et de stationnement mais il n'est pas rare de constater que les conducteurs de scooters sont souvent impliqués dans diverses infractions routières. Nous vous proposons d'examiner les infractions les plus courantes commises par les conducteurs de scooters et vous donnerons des conseils pour les éviter.

Nous aborderons ainsi les questions liées à la vitesse, au respect des règles de circulation, au port du casque et aux équipements de sécurité, ainsi qu'à l'alcool et à la drogue au volant. Enfin, nous donnerons quelques conseils pour adopter une conduite responsable et prévenir les risques d'accidents.

Le non-respect des limitations de vitesse
Première source d'infractions chez les conducteurs de scooters, le non-respect des limitations de vitesse constitue un danger majeur pour la sécurité routière.

Les conducteurs de scooters ont parfois tendance à sous-estimer les risques liés à la vitesse excessive ou inadaptée. En effet, la légèreté et la maniabilité de ces engins peuvent inciter à rouler plus vite que la normale, ce qui augmente considérablement les risques d'accident. Il convient donc de rappeler que, comme pour tous les véhicules, les scooters doivent respecter les limitations de vitesse en vigueur.

Pour éviter de commettre cette infraction, il est essentiel de :

Se familiariser avec les limitations de vitesse spécifiques aux scooters, qui peuvent varier selon les zones et les conditions de circulation.
Adapter sa vitesse en fonction de la visibilité, de l'état de la chaussée et des conditions météorologiques.
Utiliser le compteur de vitesse pour vérifier régulièrement sa vitesse de déplacement et s'assurer de respecter les limitations.

Le non-respect des règles de circulation
Les scooters, du fait de leur petite taille et de leur maniabilité, sont parfois impliqués dans des infractions liées au non-respect des règles de circulation.

Parmi les infractions les plus courantes, on trouve :

Les dépassements par la droite : les scooters peuvent parfois être tentés de doubler par la droite d'autres véhicules en raison de leur taille réduite. Cependant, cette pratique est interdite et dangereuse, car elle peut surprendre les autres usagers de la route et provoquer des accidents.
Le non-respect des feux de signalisation : certains conducteurs de scooters peuvent être tentés de griller un feu rouge ou de passer à l'orange en raison de leur agilité. Or, cette attitude est non seulement illégale, mais également dangereuse pour leur sécurité et celle des autres usagers.
La circulation sur les trottoirs : les scooters n'ont pas le droit de circuler sur les trottoirs, sauf s'ils sont spécifiquement autorisés à le faire. Cette règle vise à protéger les piétons, qui sont particulièrement vulnérables face à un scooter roulant à vive allure.
Pour éviter ces infractions, il est essentiel de :

Bien connaître et respecter le Code de la route, qui s'applique aux scooters comme aux autres véhicules.
Faire preuve de vigilance et de prudence lors des dépassements, en respectant les distances de sécurité et en utilisant les clignotants pour signaler ses intentions.
Adapter sa conduite aux conditions de circulation, en particulier en milieu urbain, où la densité de la circulation et la présence de nombreux piétons peuvent rendre les situations plus complexes.
Le défaut de port du casque et d'équipements de sécurité
Le port du casque est obligatoire pour les conducteurs de scooters, mais cette règle est malheureusement trop souvent négligée.

Le défaut de port du casque peut entraîner des blessures graves, voire mortelles, en cas d'accident. Il en va de même pour les équipements de sécurité, tels que les gants, les vêtements réfléchissants et les protections adaptées.

Il est primordial de rappeler les risques encourus en cas de non-respect de ces règles :

Un choc à la tête lors d'un accident, même à faible vitesse, peut provoquer des traumatismes crâniens, des lésions cérébrales ou des fractures du crâne, pouvant entraîner des séquelles irréversibles ou le décès.
Les membres du corps sont également exposés à de graves blessures en cas de chute ou de collision, notamment les mains, les genoux et les coudes. Des équipements de protection adaptés peuvent limiter les risques de fractures, d'éraflures et de brûlures.
En cas de mauvaise visibilité ou de conditions météorologiques défavorables, les vêtements réfléchissants permettent d'accroître la visibilité des conducteurs de scooters et de réduire le risque d'accidents.
Afin de prévenir ces risques et d'éviter les infractions, il est nécessaire de :

Vérifier systématiquement le bon état et la conformité du casque avant de prendre la route, en s'assurant de sa taille, de la présence de la jugulaire et de la visière. Un casque homologué et conforme aux normes de sécurité en vigueur doit être choisi.
Porter des gants, des protections pour les genoux et les coudes, ainsi que des vêtements réfléchissants ou de couleur vive, pour améliorer la visibilité et réduire les risques de blessures en cas d'accident.
Ne pas hésiter à investir dans du matériel de qualité, qui garantira une meilleure protection et une plus grande durabilité.
La conduite sous l'emprise de l'alcool ou de stupéfiants
La conduite sous l'influence de l'alcool ou de drogues est une infraction routière grave, qui met en danger la vie du conducteur et celle des autres usagers de la route.

Les conducteurs de scooters ne sont pas épargnés par ce fléau, et les conséquences peuvent être dramatiques.

Il est important de souligner les effets de l'alcool et des stupéfiants sur la conduite :

Ils altèrent les réflexes, la coordination, la perception des distances et des vitesses, la concentration et la prise de décision, augmentant ainsi considérablement les risques d'accident.
La consommation d'alcool ou de drogues peut également entraîner une diminution de la vigilance, un endormissement au volant ou une perte de contrôle du véhicule.
La conduite sous l'emprise de l'alcool ou de stupéfiants est passible de sanctions sévères, telles que des amendes, la suspension ou l'annulation du permis de conduire, voire une peine de prison en cas de récidive ou d'accident mortel.

Pour éviter cette infraction et ses conséquences, il est essentiel de :

Éviter de consommer de l'alcool ou des drogues avant de prendre le volant, même en petite quantité.
Prévoir un moyen de transport alternatif (taxi, transports en commun, covoiturage) en cas de consommation d'alcool ou de drogues lors d'une soirée ou d'un événement.
Être conscient des dangers et des responsabilités liées à la conduite sous l'emprise de l'alcool ou de stupéfiants, et sensibiliser son entourage à cette problématique.
Les conducteurs de scooters, comme tous les usagers de la route, doivent être conscients des risques et des responsabilités liées à la conduite de leur véhicule. Le respect des limitations de vitesse, des règles de circulation, le port du casque et des équipements de sécurité, ainsi que l'abstention de conduire sous l'emprise de l'alcool ou de stupéfiants sont autant de mesures essentielles pour prévenir les infractions routières et garantir la sécurité de tous.

Adopter une conduite responsable et prudente permet non seulement d'éviter les sanctions et les accidents, mais également de contribuer à un environnement routier plus sûr et plus respectueux pour tous les usagers de la route. Il est donc crucial de bien connaître et de s'engager à respecter les règles de conduite, afin de garantir la sécurité et le bien-être de chacun sur nos routes.

Source https://www.assu2000.fr/conseils-infos-pratiques/infractions-courantes-conducteurs-scooter
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Voici les domaines dans lesquels les infractions sont les plus courantes à moto, ainsi que les peines encourues en France si vous respectez pas la loi.

Avant de vous parler de votre moto, parlons un peu de vous et de votre équipement. En France, des gants certifiés CE (norme EN 13594) couvrant entièrement les mains et les poignets sont obligatoires aussi bien pour le pilote que pour le passager. Si vous n'en portez pas, cela vous coûtera 68 € et un point sur votre permis. Rouler avec un casque non homologué est en revanche beaucoup plus cher. Vous risquez en effet jusqu'à 750 € d'amende et un retrait de 3 points sur votre permis ! Et n'oubliez pas d'avoir un gilet jaune quelque part sur votre machine. Dans le cas contraire, l'amende s'élèvera à 135 €.

Kit mains libres !
Voilà, nous avons déjà fait le tour de ce que vous devez absolument porter sur votre machine. Mais attention, il y a aussi des choses que vous ne pouvez pas porter comme des écouteurs ou une oreillette. La loi stipule que n'importe quel kit mains libres doit être pilotable vocalement, sans fil et intégré au casque. En cas de non-respect de ces consignes, vous devrez vous défaire de 135 € et de 3 points sur votre permis

Avoir un deux-roues en règle
Cette fois, nous avons vraiment fait tout le tour des infractions liées à l'équipement du conducteur et de son passager. Il est donc temps de passer à celles concernant votre machine. Cette dernière doit obligatoirement être équipée d'un rétroviseur gauche, d'un klaxon, de clignotants et phares homologués ainsi que d'une colonne de direction verrouillable. Dans le cas contraire, l'amende s'élève à 68 €. Votre plaque d'immatriculation doit évidemment elle aussi être en règle. Elle doit être lisible (plus ou moins propre), sous la selle, pas inclinée de plus de 30 degrés et mesurer 21 cm de large sur 13 cm de haut. Si ce n'est pas le cas, vous devrez vous acquitter de 135 € d'amende. Finalement, vos pneus doivent élégamment être en bon état sous peine d'une redevance s'élevant également à 135 €.

Attention au bruit !
Tout comme son pilote, il y a certaines choses dont votre machine ne peut surtout pas disposer à commencer par un pot d'échappement trop bruyant ou non homologué. En France, un deux-roues de 50 cc ne peut dépasser les 72 dB. Avec une cylindrée comprise entre 125 et 350 cc, son bruit doit se limiter à 83 dB. Une machine de moins de 500 cc ne peut quant à elle pas émettre plus de 85 dB. Finalement, au-delà de cette cylindrée, son niveau sonore doit se limiter à 86 dB. Si votre machine fait plus de bruit, les sanctions vont d'une amende de 135 € à 1.500 € et l'immobilisation complète du véhicule ! Finalement, concernant le débridage des machines pour détenteurs de permis A1 et A2, l'amende s'élève à 135 €. Mais attention, cette infraction pourrait amener votre assurance à refuser toute prise en charge en cas d'accident. Ce qui pourrait vous coûter très (très) cher...

Ne dépasse pas qui veut et où il veut
Un autre domaine où l'on relève souvent des infractions à moto, c'est en matière de dépassement. Si votre machine fait moins d'un mètre de large, vous êtes autorisé à remonter les files, mais uniquement sur une autoroute disposant d'au moins deux bandes. Cela ne peut également pas se faire à n'importe quelle vitesse. Vous devez rouler au maximum à 50 km/h et pas plus de 30 km/h plus vite que les autres conducteurs. Dans le cas contraire, la sanction s'élèvera à 135 € et 3 points sur votre permis. C'est vrai que dépasser est parfois trop tentant lorsqu'on est à moto et que le trafic est à l'arrêt ou presque. Mais gare aux lignes blanches. Ne serait-ce que rouler sur ces dernières est également passible d'une amende de 135 euros, d'un retrait de 3 points voire d'une suspension de permis.

Attention à votre vitesse !
Finalement, parmi les infractions les plus courantes à moto et tout autre type de véhicule d'ailleurs, on retrouve évidemment les excès de vitesse. À titre informatif, sachez que si vous dépassez la limitation de moins de 20 km/h, l'amende s'élève à 68 € et un point sur votre permis. En revanche, si vous vous faites prendre plus de 50 km/h au-delà la vitesse autorisée, la sanction est très logiquement beaucoup plus sévère : jusqu'à 1 500 €, 6 points, voire la suspension de votre permis et même la confiscation de votre véhicule en cas de récidive. Vous voilà prévenu...
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Le 1er janvier 2024 le Contrôle (biannuel¹) de la Condition Physique Générale du gendarme (CCPG) apte médicalement, évolue.

Pour mémoire celui-ci intègre endurance cardio-respiratoire (3000 mètres) et capacité musculaire générale (pompes/tractions-abdos/gainage). Il constitue le socle de base.
Si on y associe le Contrôle de la Condition Physique Spécifique et ses cinq ateliers liés à des techniques d’intervention professionnelles élémentaires (CCPS) on obtient le Contrôle de la Condition Physique des Militaires (CCPM).
Le CCPM ne concerne toutefois, que le personnel affecté en unité opérationnelle ou en scolarité.
Le socle de base est désormais complété par des épreuves « alternatives » à l’instar du rameur, de la natation, du jet de médecine ball ou des squats.
Il ne concerne que le gendarme âgé de plus de 40 ans ou le militaire du corps militaire de soutien sans limite d’âge.
On retient que c’est la moyenne des trois notes obtenues lors des épreuves qui valide le contrôle.
Attention, une note éliminatoire inférieure à 5/20 sur l’une des épreuves, entraîne l’échec de l’intégralité du CCPG qui devra être repassé.
Le profil sportif et individuel du militaire sera donc chiffré entre 5 et 20/20 tenant compte ainsi de son âge, son genre et de son statut. On peut ainsi imaginer à terme et en projection qu’un gendarme pour postuler dans elle ou telle unité doive présenter un profil de 15/20 pour espérer cette mutation ou pouvoir y rester.

Cela étant, il reste encore à solder la question de l’achat et de l’uniformité du matériel, de son stockage, de son entretien et de l’accessibilité aux outils en général (piscine). A vos baskets  ;D
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Devenir Gendarme : Exercer un métier au service des autres !
Choisir de devenir gendarme, c'est choisir de devenir un homme d’action, au service des citoyens.

Avec près de 150 000 hommes et femmes en 2023 placés sous l’autorité du Ministère de l’Intérieur depuis 2009, la Gendarmerie Nationale est une institution militaire garante de la sécurité, de la paix et de la protection des personnes et de leurs biens. La Gendarmerie Nationale est une force humaine, de sécurité, chargée de faire respecter l’ordre public à la campagne ou à la ville, de jour comme de nuit, pour ainsi garantir les droits fondamentaux de chacun.

Les cinq fonctions stratégiques de la Gendarmerie, définies par le livre blanc sur la Défense, sont : la connaissance et l’anticipation, la prévention, la dissuasion, la protection et la projection.

Au sein de la Gendarmerie, plusieurs formations et carrières existent. C'est plus de 31 métiers accessibles à différents niveaux de diplômes (de “sans diplôme” à “Bac+5”) (source : gendarmerie.interieur.gouv.fr) Les recrutements s’effectuent sur concours, notamment pour les deux principaux métiers de Sous-Officier Gendarme et de Gendarme Adjoint Volontaire (GAV).

Si vous souhaitez devenir Gendarme de carrière, il vous faudra donc réussir les épreuves de sélection.

Découvrez les préparations concours qui vous permettront d’y accéder :
https://www.efm-fonctionpublique.fr/Secteur/Gendarmerie-12.html?utm_content=composition%20de%20la%20formation%20en%20gendarmerie&msclkid=357b738a359617879aa0166bc58c5aba&utm_source=bing&utm_medium=cpc&utm_campaign=Gendarme%20-%20(G%C3%A9n%C3%A9rale)&utm_term=comment%20devenir%20gendarme
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Le réseau de formation de la gendarmerie est composé de 8 écoles de formation initiale pour officiers, sous-officiers et volontaires, et 15 centres de formation et de perfectionnement, un centre de production multimédia.

Les écoles et les centres de formation de la gendarmerie en quelques chiffres

25 écoles et centres de formation

2656 personnels constituent le réseau de formation

Annuellement entrent en formation initiale:

313 officiers de gendarmerie dont 35 officiers du corps technique et administratif

6 039 sous officiers de gendarmerie

366 sous officiers du corps de soutien technique et administratif

5 833 gendarmes adjoints volontaires

22 444 personnels de la gendarmerie reçoivent une action de formation continue

281 parcours de formation

1469 modules d’enseignement à distance

Écoles et centres de formation sont réparties sur l’ensemble du territoire métropolitain , allant de la Bretagne à la Côte d’Azur , du Grand-Est au Poitou-Charentes , passant par les vallées de la Dordogne, de l’île de France jusqu’au contrefort Auvergnat.

Commandement des écoles de la gendarmerie nationale (CEGN) à Rochefort (Charente-Maritime)
- Animation et coordination des actions de formation dispensées par les écoles et centres

Formation des officiers de gendarmerie et officiers du corps technique et administratif
Ecole des officiers de la gendarmerie nationale (EOGN) à Melun (Seine-et-Marne)
 
Formation des sous officiers
Ecole de gendarmerie de Montluçon (Allier)
Ecole de gendarmerie de Chaumont (Haute-Marne)
Ecole de gendarmerie de Chateaulin (Finistère)
Ecole de gendarmerie de Tulle (Corrèze)
Ecole de gendarmerie de Rochefort (Charente-Maritime) forme par le Centre national de formation du corps de soutien technique et administratif (CNF-CSTAGN) les sous officiers CSTAGN
Ecole de gendarmerie de Dijon (Côte-d'Or)

Formation des gendarmes adjoints volontaires
Ecole de gendarmerie de Montluçon (Allier)
Ecole de gendarmerie de Chaumont (Haute-Marne)
Ecole de gendarmerie de Chateaulin (Finistère)
Ecole de gendarmerie de Tulle (Corrèze)
Ecole de gendarmerie de Fontainebleau (Seine et Marne)
Ecole de gendarmerie de Rochefort (Charente-Maritime)
Ecole de gendarmerie de Dijon (Côte-d'Or)

Formations spécifiques
Ecole de gendarmerie de Rochefort (Charente-Maritime) des militaires infirmiers et techniciens des hôpitaux des armées (MITHA)

Centres de formation
- Centre national de formation du corps de soutien technique et administratif (CNF-CSTAGN) à Rochefort

- Centre national de formation à la sécurité routière (CNFSR) des motocyclistes et des acteurs de la lutte contre l'insécurité routière à Fontainebleau

- Centre national d'entraînement des forces de gendarmerie (CNEFG) à Saint-Astier (Dordogne) dans les domaines de l'intervention professionnelle et l'ordre public 

- Centre national d'instruction de ski et d'alpinisme (CNISAG) à Chamonix (Haute-Savoie) dans le domaine du secours en montagne

- Centre national d'instruction cynophile de la gendarmerie (CNICG) à Gramat (Lot)

- Centre national d'instruction nautique de la gendarmerie (CNING) à Antibes (Alpes-Maritimes) dans le domaine de la police technique subaquatique

- Centre national de formation de la police judiciaire (CNFPJ) à Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) forme enquêteurs et techniciens de la police judiciaire (surveillance et observation, police technique et scientifique, etc)

- Centre national de formation aux systèmes d'information et de communication de la gendarmerie (CNFSICG) à Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis)

- Centre national de formation au renseignement opérationnel (CNFRO) à Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis)

- Centre de production multimédia de la gendarmerie (CPMGN) à Limoges (Haute-Vienne) soutien pédagogique des enseignements dispensés dans les écoles, enseignement à distance et communication interne.

- Centre national de formation à la sécurité publique (CNFSP) à Dijon

- Centre national de formation aux langues et à l'international de la gendarmerie (CNFLIG) à Rochefort

- Cellule nationale de formation au secourisme (CNFS) à Fontainebleau

Source https://www.gendarmerie.interieur.gouv.fr/cegn/la-formation-en-gendarmerie/carte-des-ecoles-et-des-centres
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