Encore une mauvaise lecture ...
http://www.webmedical.fr/F_frame.html?http://www.webmedical.fr/F_grp_21_26-1.htmlLa tenue d’ambulancier : un équipement obligatoire
La tenue d’ambulancier fait partie intégrante des équipements dont les ambulanciers doivent obligatoirement disposer.
Les particularités de la tenue d’ambulancier
Selon la législation en vigueur, les tenues d’ambulancier doivent être composées de trois pièces principales : un pantalon, un haut que l’établissement sanitaire où ils exercent peut choisir en toute liberté et un blouson. Il n’y a pas d’exigence particulière quant à la couleur mais le blanc et ou le bleu sont les coloris dominants de ce vêtement professionnel.
Outre ces uniformes de base, les infrastructures médicales peuvent mettre d’autres vêtements à la disposition de leurs ambulanciers.
La tenue doit être de couleur dominante bleue ou blanche.
Ce qui veux dire qu'une autre couleur, comme le jaune si vous faites de l'AVP avec le Smur, peut intervenir dans la tenue, à condition qu'elle soit moins étendue que le bleu ou le blanc.
http://www.ovp-distribution.fr/35-ambulancierDans le cas cité, la tenue me parait conforme mais ne pas oublier que si vous intervenez sur la voie publique (AVP) la veste ou le gilet fluorescent est obligatoire.
Définition du vêtement à haute visibilitéUn vêtement à haute visibilité est un habit que les travailleurs portent pour accroître leur visibilité, particulièrement dans l’obscurité ou dans des conditions de faible luminosité. Tout vêtement porté sur le corps, y compris le couvre-chef peut être considéré comme un vêtement de sécurité à haute visibilité.
Quand doit-on porter un vêtement à haute visibilité ?
Le plus souvent, un vêtement à haute visibilité est porté pour avertir les conducteurs de véhicules en mouvement de la présence d’un travailleur, notamment quand il évolue en bordure de chaussée ou sur un chantier. Ce type de vêtement, en général équipé de 2 à 4 bandes de technologies microbilles, minimise les risques d’accident puisque l’œil humain perçoit mieux le contraste entre les couleurs fluorescentes et l’environnement de travail. Toutefois, cet équipement, plus connu sous le sigle EPI, n’est que l’ultime rempart d’une série d’autres mesures de sécurité prises au préalable.
De ce fait, le port d’un vêtement de signalisation concerne principalement les agents de circulation, les entreprises de travaux publics, les personnes qui travaillent sur les pistes d’aéroport, les services de ramassage d’ordures, et les services de manutention.
Les différentes classes de vêtement à haute visibilité :
En fonction du type et de la zone d’intervention, l’on a établi 3 classes de vêtements.
- La classe 1 s’utilise pour les interventions ponctuelles et de courte durée, il s’agit du baudrier.
- La classe 2 inclut le gilet, la chasuble, le tee-shirt et le polo.
- La parka, la combinaison, la veste et les pantalons se trouvent dans la classe 3.
En effet, plus le risque est élevé, plus la surface de signalisation doit offrir une visibilité accrue. La disposition des bandes réfléchissantes sur le vêtement est donc un élément essentiel, car elle permet de différencier un être humain d’un objet.
Vêtements de signalisation conformément à la norme EN 471.
Les vêtements de signalisation doivent rendre le travailleur visible pour les automobilistes et les autres usagers de la route dans toutes les conditions météorologiques (soleil, pluie, brouillard…), aussi bien de jour que de nuit. Il existe à l’heure actuelle sur le marché trois types de matières qui augmentent la visibilité d’une personne (d’un travailleur) lorsqu’elles sont appliquées sur des vêtements, à savoir :
- les matières fluorescentes ;
- les matières phosphorescentes ;
- les matières rétro-réfléchissantes.
Les vêtements de signalisation conformes à la nouvelle norme européenne EN 471 sont composés de matières à la fois fluorescentes et rétro-réfléchissantes. Il n’est pas question des matières phosphorescentes.
Il est toutefois bien question de matières à caractéristiques combinées. La matière à caractéristiques combinées associe les caractéristiques de haute visibilité (fluorescent) et de réflexion de lumière (rétro-réfléchissant) dans une même matière. Cette matière sera uniquement autorisée pour la fabrication de vêtements de signalisation de classe 1 (p. ex. les bandes sur les épaules et autour du torse).
La partie fluorescente contient des pigments spécifiques qui transforment la lumière UV (ultraviolette) invisible du soleil en une couleur bien visible. Cette matière sera donc visible le jour, à l’aube et entre chien et loup mais également dans de mauvaises conditions atmosphériques, p. ex. en cas de brouillard. Les couleurs qui peuvent être utilisées sont le jaune, l’orange-rouge et le rouge fluorescents.
La partie rétro-réfléchissante reflète la lumière qui tombe dans la direction de la source de lumière.
Dans la pratique, cette matière permet de renvoyer au conducteur la lumière provenant d’un véhicule qui tombe sur les vêtements de signalisation, ce qui est idéal pour être visible dans l’obscurité ou la nuit.
La visibilité des vêtements - et par conséquent la classification des vêtements de signalisation
- augmenteront à mesure que la part de matière fluorescente et rétro-réfléchissante augmente.
La norme EN 471 prévoit trois classes :
Fluorescente
Rétro-réfléchissante
Matière à caractéristiques combinées
La classe 3 offrira clairement le plus haut degré de protection vu qu’elle présente la plus grande quantité de matière fluorescente et rétro-réfléchissante. Dans la pratique, seules les vestes et les combinaisons
peuvent appartenir à la classe 3.
Les gilets, chasubles et méchantettes relèvent de la classe 2.
Les baudriers (bandes sur les épaules et autour du torse) appartiennent à la classe 1.