Bonjour: je suis Marc 58 ans. j'ai exercé cette profession pendant plus de trentes ans qui ma conduit aujourd'hui a l'abandonner pour pas mal de raison.cette profession était ce qui représentait toute une passion depuis tout gosse, ou j'ai exercé en 1970 année ou les ambulances n'avaient pas de statues professionnelles obligatoire, ou nous pouvions faire se metier sans permis de conduire, ou les ambulances avaient des gyro tournant, de couleur différentes, avec des portes fanions sur les ailes de chaques vehicules. je peu vous dire que ça avait vraiment de la gueulle de voire des DS, DS CURRUS, rouler dans paris, escorté par des motards. traversser paris en urgences, travailler jours et nuits, sans accord cadre. pour ceux qui voulait assouvrir leur passion, c'etait vraiment la bonne époque ce qui n'est plus du tout le cas aujourd'hui.
je ne voudrais véxé personnes, mais pour avoir defendu la profession pendant des années, pour l'avoir aussi exercé en tant que responsables d'entreprises, avoir eu cette chance extraordinaire de pouvoir assouvir l'exercice dans l'urgence medicale primaire et secondaire, ce qui arrive aujourd'hui a la profession n'est en aucune façon la responsabilité au ministere, encore moins au pompiers, mais aux responsables d'entreprises, qui depuis toujours pour un certain nombres n'ont jamais pris conscience, de leur comportement a exercer se metier n'importe comment. refuser de s'engager dans un syndicat, refuser de s'orienter vers le paramedical, refuser l'orientation professionnel vers la formation de haut niveau d'ecoles ambulancier, et enfin et surtout, surtout voir des ambulances minables, , non équipés pour faire de l'urgence, sales, a l'interieur, l'oxygene dans le rouge, mais que des employeurs par soucis d'economie demande a leurs salariées d'utiliser malgres tout ces bouteilles en reserve alors que c'est interdit. des habits du personnel sales, des vehicules meme pas adapter a l'urgence medicale, qui ne sont équipés ni de matelas coquille, ni d'aspîrateurs electrique de mucosité, pas de multiparametric, ni de DSA. il faut savoir reconnaitre la verité, cesser de fermer les yeux. si dans certaines villes des chefs d'entreprises comme en rhones aalpes ont compris tout le sens de l'orientation professionnel de son entreprise en s'équipant de façon remarquable, il en est malheureusement pas le cas de la majorité de cette profession, qui exerce en faisant n'importe quoi, en intervenant avec des vehicules inadaptés, sans matériels meme pas de matelas coquilles dedans, pas de multiparametrique, rien, des bouteilles d'oxygene dans le rouge dont il est interdit d'utiliser, mais que les salariées nie ou ne connaisse pas ou on oublier ce qu'ils ont appris, en passant outre et en utilisant quand meme ces bouteilles sous reserve dans le rouge. vous avez des personnes incapable de faire un bilan coherent au samu, incapable de savoir prendre une tension. incapable de diagnostiquer une cianose, une hemorragie interne, un OAP, un infarxtus, un comas qui va deriver sur un arrêt. je sais je vais en faire surssauté quelques uns, mais pourtant la vérité est là. aucun recyclage, des chefs d'entreprises qui exerce se metier n'importe comment , comme une volonté de faire du commerce sur le dos du malade, et rien d'autres, qui refuse de s'unir dans un syndicat, de se former, de s'orienter, là ouc ette profession aurait due se diriger, et dont pourtant la cnsa avait bien martelé durand ces congrès ce que cette profession se devait de faire pour continuer de vivre, mais bon nombres de chefs d'entreprises en on eu rien a foutre. une profession totalement divisé, meme du coté des salariées incapable de s'unir pour faire avancer les choses. c'est a qui sera poignarder le collegue, c'est chacun pour soit. voilà tout ce qui est en train de tuer une profession. je voulais intervenir aupres du président de la republique afin de l'informer et d'essayer de jouer encore une derniere carte pour tenter de sauver ce qu'il en reste de cette profession, mais j'ai abandonné, pour m'orienter dans une toute autre profession, dont on ne tire pas dessus, et dont les tazrifs ne sont pas aussi minables. La profession ambulancier, était une profession remarquable qui est en train de mourrir a cause de tous ceux qui ont refuser d'ouvrir les yeux, qui se sont cru tout permis pendant des années et des années, qui n'ont jamais fait l'effort pour changer . je vais être dure, mais franchement si il m'arrivait quelque chose en gironde ou je suis en ce moment je refuserais qu'une ambulance privée vienne, et je ferais appel aux pompier. trouver vous normal qu'une entreprise soit appeller sur rotation externe d'un genou sur un enfant de 9 ans sans aucun équipement, je dis bien sans rien aucune attelles, rien, pas de matelas coquille, aucun materiel pour faire un bilan. et encore une autre aller aux urgences de pellegrin pour un transfers d'un jeune sous drein torracique sans aspirateurs de mucosité et d'entendre le cadre de cette boite vous dire un aspirateur y ern a un prend le manuel a pompe au pied et demerde toi. j'ai refusé de faire se transport, et demander le chef du service des urgences qui a fait un rapport. j'ai d'autres exemple de certaines entreprises en girondes incompétente, totalement incompétente et qui exerce dans la plus totale illegallité, qui font des gardes samu sans rien, des ambulances pourries, des bouteilles d'oxygenes vide. la vérité est dure a avaller, mais pourtant je vous assure quye c'est vrais. Alors oui je soutien les decisions de se gouvernement et du SNAMU de faire appel aux pompiers, que les ambulances privées ne fassent plus d'urgences medicales, tant que cette profession ne se sera pas remis en cause. amitié a vous toutes et tous. Marc
