Auteur Sujet: POURQUOI LA MALADIE ?  (Lu 3224 fois)

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Hors ligne Jeano 11

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POURQUOI LA MALADIE ?
« le: 07 juin 2012, 13:41:58 »
Ces lignes sont extraites du site http://santenature.over-blog.com/

C’est vrai, pourquoi la maladie ?  On pourrait tout simplement vieillir et puis s’éteindre comme une lampe qui n’a plus d’huile. Hélas il y a la maladie et la souffrance qui va avec.  :-X

Le plus curieux c’est que toutes les maladies ont commencé par être bénignes et sont, soit passées inaperçus, soit ont été stoppées sans que nous ayons supprimé la cause.
Nous ne voulons pas souffrir, nous ne voulons pas être malades, et en fait c’est ce refus de faire face qui est la cause de tout.
Vous le savez c’est toujours quelqu'un d’autre qui est la cause de tous nos malheurs.  Quelqu'un d’autre ou quelque chose d’autre. Ce n’est jamais nous, puisque nous ne sommes pas si bête, si nous y étions pour quelque chose nous ne serions jamais malade. Donc la recherche est toujours orientée vers l’extérieur, le stress, les microbes, les virus, la fatigue, le chaud, le froid, etc…
Et à partir de là nous allons aggraver nos problèmes qui, de petits, vont devenir énormes. Tous les médicaments que l’on nous propose n’ont été créés que pour stopper les symptômes. Et pour cela on a créé des tas de médicaments, qui non seulement ne vous guérissent pas mais ne font que supprimer les signes avertisseurs, et en plus ils vous polluent l’organisme, gênant les échanges cellulaires, ralentissant la circulation sanguine, perturbant le dynamisme de notre système nerveux et avilissant notre système immunitaire. Notre système de self-défense est au tapis, et nous avec. Dernièrement, j’ai lu une statistique qui fait froid dans le dos. Ces médicaments qui veulent nous soigner ou nous soulager, nous tuent. Exemple :
Médiator entre 1000 et 2000 morts ou plus, avouez que l’on vit dans un monde de fou. Ici, les gens meurent de faim, ils n’ont plus à manger et chez nous, ils prennent le Médiator, un «  coupe-faim », ils mangent trop, et ça les tue – Le Di antalvic, 65 décés par an – Césivastatine , 52 décès par an plus des lésions musculaires graves – et ainsi de suite, c’est l’isoméride, le distilbène, cancer, malformations, infertilité, le vioxx, accidents cardio-vasculaires et les antibiotiques, de moins en moins efficaces mais provoquant de redoutables destructions de notre flore intestinale et ainsi de notre système immunitaire, des lésions aux cartilages, aux tendons, de l’eczéma, l’œdème Quincke, de l’urticaire, etc…
Dernièrement vous avez lu vous aussi qu’un certain médicament, la télomèrase avait la possibilité d’allonger les télomères, ce qui signifiait pour les chercheurs, allonger la durée de vie, on parlait même d’immortalité, car ces fameux télomères se raccourcissent au fur et à mesure que nous vieillissons. Téloméres plus longs, durée de vie plus longue. Seulement j’ai lu aussi que cette prolifération cellulaire ressemblait étrangement au même phénomène que le cancer et c’est exactement ce que les chercheurs ont trouvé, ces cellules nouvellement créées seraient toutes cancéreuses. C’est le sens de la vie, chaque jour nous perdons des cellules et nous n’en gagnons plus hélas ! c’est le vieillissement normal, on peut freiner, mais on ne peut pas aller en sens contraire. A t-on jamais vu l'eau d'une rivière remonter à sa source ?
Les anciens disaient que celui qui connaît son mal connaît son remède, mais nous n’avons plus les mêmes remèdes que nos grands mères, les nôtres ils nous tuent, en douce. Et que pouvons-nous faire pour connaître le moment où il faut agir ?
Le processus est pourtant toujours le même, il y a un avertissement et  nous ne devons absolument pas le faire taire. Notre poste de commandement, le cerveau, sait ce que nous devons faire et il nous le dit ou nous le fait comprendre.
Si vous êtes au bord d’une falaise et à deux doigts du précipice, votre stress sera si grand qu’il vous fera reculer précipitamment. Là vous avez entendu l’avertissement et vous avez obtempéré.
Si votre foie est congestionné parce que vous avez fait la fête, vous allez être barbouillé, l’appétit disparaît et franchement il faut être vraiment tordu pour aller continuer à manger. Vous avez reçu un avertissement et là aussi vous avez entendu car en fait vous n’aviez plus faim, c’était facile.
Le cerveau commande et il réagit à tout ce qui lui paraît être un problème ou une gêne pour notre organisme. Poisons ? dans la mesure du possible il va vous faire vomir ou sinon expulser par une diarrhée impérieuse et brutale. Vous avez un taux de toxines trop important il va mobiliser ses forces pour expulser, et il va utiliser tous les émonctoires à sa disposition pour cela. Pour certains ce seront les poumons et les voies respiratoires supérieures, pour d’autres ce sera la peau, formidable émonctoire et vous allez avoir un eczéma, un urticaire, une dermatose quelconque. Ou encore par le biais du système reins-Vessie ou alors foie, estomac, intestin, mais il va trouver une porte de sortie. Notre cerveau est formidable.  Il trouve toujours des solutions.

Mais c’est ici le grand danger car nous ne comprenons pas toujours ces premiers avertissements. Et pourtant ce sont les premiers signes qu’il ne faut pas négliger, car c’est toujours une petite « maladie » au début. Si vous n’acceptez pas de payer l’addition tout de suite, si vous arrêtez l’élimination, vous pouvez être sûr que dans un avenir proche, l’addition va être plus lourde. Ce ne sera plus un petit rhume, mais ce sera une bronchite, une pneumonie et la toxémie se propagera partout. Vous aurez totalement oublié ce petit rhume que vous aviez eu au début et que vous avez refusé.
Notre cerveau, c’est lui le sauveur, c’est lui qui nous envoient des messages, c’est notre poste de commandement, mais aujourd’hui plus personne ne l’écoute, notre libre-arbitre, je suppose !
La « maladie », c’est sa faute en quelque sorte, il cherche à nous protéger et nous le refusons. Il a des pouvoirs immenses, capable de réagir au quart de tour pour nous sauver la vie, un ami sur qui on peut compter. Aussi lorsque vous êtes malade demandez-vous toujours pourquoi ? Il y a une raison mais vous seul pouvez la trouver et y apporter une solution. Ne demandez pas à quelqu'un d’autre, ce n’est pas son problème et il ne connaît pas le votre. C’est à vous seulement qu'il appartient d’œuvrer et c’est exactement ce que vous demande votre cerveau, il y a urgence. Nous avons des moyens naturels que notre cerveau aimera, et il faut les utiliser au maximum.
N’ayez pas peur de la « maladie », c’est votre cerveau qui vous parle, et vous pouvez être certain que lui, il vous aime.

 ABC de la douleur  :

Participer à un programme de réadaptation en contexte de douleur implique obligatoirement une compréhension minimale du phénomène de la douleur. La raison est que ce genre de programme exige une participation active de l'individu qui souffre. Cette participation active exige des efforts, et un effort demande de la motivation !

Or pour être motivé, il faut faire le lien entre l'effet attendu et les comportements que l'on adopte. Si on vous propose un programme d'exercices pour diminuer la douleur et que vous ne comprenez pas comment l'exercice peut induire une diminution de l'intensité de la douleur, il y a peu de chance que vous persévériez à exécuter votre programme. Or, si le lien entre l'exercice et la diminution de la douleur est clair pour vous, la motivation sera au rendez-vous et sera d'autant plus décuplée lorsque les premiers gains surviendront !

Ceci est donc la raison d'être de cette série sur la douleur, et de la conférence « Bouger pour vaincre la douleur ».