Ah, mais il y en a même dans des VPSP.
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Faut il le faire parce que c'est possible, ou parce que ça présente un intérêt ?
les deux Docteur
Pour compléter l'info de FXBZH ...on dirait l'immatriculation d'un aéronefffff !!!
Le secourisme de combat - Mise à jour : 18/11/2011 16:40
http://www.defense.gouv.fr/terre/bloc-a-la-une/le-secourisme-de-combatLes militaires sont formés au sauvetage au combat, depuis février 2009, par le centre d'instruction santé de l'armée de Terre (CISAT).
« Sauve qui sait ! », telle est la devise du CISAT
Suite aux retours d'expérience de l'Afghanistan et sous l'impulsion du chef d'état-major de l'armée de Terre (CEMAT) et du directeur central du service de santé des armées, deux nouveaux stages sont proposés : le sauvetage au combat du 1er et de 2e niveau (SC 1 et SC 2).
Le SC 1 est destiné à tous les combattants. Lorsque les militaires effectuent leur formation d'auxiliaires sanitaires au CISAT, ils acquièrent le certificat de compétences de secouriste.
Parmi ces auxiliaires sanitaires, le commandement et le service de santé des armées vont choisir les candidats à la formation de sauvetage au combat de niveau 2.
L'objectif du SC 2 est de leur faire acquérir les gestes salvateurs nécessaires pour un blessé en détresse vitale avant son évacuation. Ces auxiliaires ne pourront utiliser ces compétences que dans des situations de combat et/ou dans un contexte d'isolement du type théâtre afghan.
La formation dure une semaine et est essentiellement axée sur l'enseignement pratique. Elle débute par quelques rappels comme la prise en charge globale du blessé de guerre, la prise en charge d'un blessé victime d'une hémorragie, d'un blessé au thorax et d'un blessé qui s'étouffe.
Le reste de la formation se focalise sur des travaux pratiques permettant de former les auxiliaires sanitaires sur de nouveaux matériels et à de nouvelles techniques visant à sauvegarder les fonctions vitales en attente d'une médicalisation.
Un geste approprié est préféré à une technique complexe
Avec le SC 2, les auxiliaires sanitaires seront capables de contrôler des hémorragies avec un garrot tourniquet, de poser une perfusion intraveineuse classique, de mettre en place un dispositif intraosseux pour remplissage vasculaire, de réaliser des sutures à visée hémostatique…
Le plus important n'est pas de réaliser des gestes complexes mais d'effectuer le bon geste à bon escient. Pour cela, chaque stagiaire est confronté à des situations de cas concrets durant son stage.
En 2009, près de 200 auxiliaires sanitaires ont été formés. Tous les semestres, ils devront refaire une formation de trois demi-journées afin de conserver leurs aptitudes au sauvetage de combat.
Sources : Terre information magazine 2010 - Ltn Bollier
Droits : Armée de Terre 2010