Personnellement, il y a autre chose qui me pose question voir me choque dans cette histoire si j'en croit ce que le journaliste a écrit : ""Le conducteur était toujours prisonnier de la cabine lorsque les pompiers de Reims sont arrivés. « Ils ont tenté de le sortir par la portière mais c'était trop haut. Le chauffeur glissait. Il n'arrivait pas à se hisser », indique un gendarme. « Ne sachant pas l'état de ses blessures, les pompiers n'ont pas insisté. Ils ont opté pour une autre solution consistant à découper le pare-brise. Ils ont eu du mal à le couper car vu la région où le camion devait être affecté, il s'agit d'une vitre épaisse conçue pour résister aux jets de projectiles. »
""
Donc en gros ils ont tenté la solution de "facilité" (sans faire de bilan traumatique) et n'y arrivant pas, ont pratiqué une ouverture dans le pare-brise, ouverture qui a bien y regarder, à du permettre la sortie de la victime d'elle-même mais pas immobilisée.
L'idée de départ était de préserver notre futur "jouet" plutôt que la victime ?, je ne veux pas le croire.
Les techniques et critères d'immobilisation du rachis ne sont pas arrivées jusqu'à Reins ?, j'en doute.
Troisième solution, il y a une bonne raison qui m'échappe et dans ce cas, je serais curieux de la connaître.