Salut, pour être considéré comme tel un point d'eau quel qu'il soit doit pouvoir fournir 120 m3 en deux heures au minimum. je ne connais personnellement que deux type de poteau d'incendie :
- le poteau "traditionnelle" qui fournit 60m3 heure
- le poteau relais qui à la particularité de ne pas être continuellement en eau. C'est en fait un réseau de poteau d'incendie avec une entrée alimenté en générale par une motopompe qui puise dans une réserve placé obligatoirement à proximité.
Mais peut être que les grosses agglomérations ont mis en place des poteaux 120m3/h cependant je n'en ai pas connaissance
Les deux principes de base de la circulaire du 10 décembre 1951 sont :
- le débit nominal d'un engin de lutte contre l'incendie est de 60 m3/h ;
- la durée approximative d'extinction d'un sinistre moyen peut être évaluée à deux heures.
Il en résulte que les services incendie doivent pouvoir disposer sur place et en tout temps de 120 m3. Ces besoins en eau pour la lutte contre l'incendie peuvent être satisfaits indifféremment à partir du réseau de distribution ou par des points d'eau naturels ou artificiels.
L'utilisation du réseau d'eau potable par l'intermédiaire de prises d'incendie (poteaux ou bouches) doit satisfaire aux conditions suivantes :
- réserve d'eau disponible : 120 m3 ;
- débit disponible : 60 m3/h (17l/s) à une pression de 1 bar (0,1 MPa).