Incendie de Plougonvelin : un meurtre déguisé en incendie ?
Un retraité que l'on avait cru mort à cause de l'incendie de sa maison et pour lequel les pompiers avaient été mis en cause, est en fait décédé des suites de coups portés par une arme blanche. Une personne a été placée en garde vue mercredi soir.
L'affaire avait immédiatement déclenché une polémique sur le retard d'intervention des pompiers, qui sont arrivés quatre heures après l'appel d'une voisine.
Une «erreur d'appréciation» avait conduit les secours à ne pas prendre en compte le premier appel de la voisine, à 5 heures du matin, pour signaler une odeur de brûlé provenant du pavillon voisin. Après dix minutes de conversation, l'opérateur de permanence au CODIS avait jugé ses réponses «trop imprécises» et n'avait pas engagé de moyens. Ce n'est qu'après un second appel à 9 heures que les pompiers sont intervenus. «Il y a bien eu dysfonctionnement mais ce volet de l'affaire passe maintenant au second plan», souligne la substitut du procureur de la République.
Or, l'homme n'est pas mort dans l'incendie. «Il a été retrouvé avec des plaies sur le corps, caractéristiques d'une arme blanche, qui sont à l'origine de sa mort», explique la substitut du procureur.
«L'autopsie a montré que l'homme n'a pas respiré pendant l'incendie, ses poumons n'ont pas de trace de suie, il est donc mort avant l'incendie, il n'y a pas de doute».
Qu'en est-il de ce mystérieux incendie ?
Il se peut que cela soit «un concours de circonstances», explique la substitut. Mais l'hypothèse «la plus probable» reste «le maquillage de la scène de crime». Une expertise incendie a été lancée, pour mettre au jour les causes des flammes.
Un homme était retrouvé carbonisé dans sa maison, à Ecommoy. Il aurait été tué avant que la maison soit incendiée.
L'incendie qui a coûté la vie à G Martin, 71 ans, qui vivait au lieu-dit Le Plaudier, à Ecommoy (Sarthe), cachait un meurtre.
Très vite, les gendarmes ont écarté la thèse accidentelle. L’autopsie a révélé que la victime est morte à la suite d’un coup de fusil tiré à bout touchant dans le ventre. Le septuagénaire qui avait l’habitude d’œuvrer dans le milieu de la ferraille n’est pas mort dans l’incendie de sa maison, dans la nuit du 21 au 22 janvier, mais à la suite d’un cambriolage qui a mal tourné. C’est le scénario désormais retenu par les enquêteurs après leurs investigations, notamment l’autopsie du corps de la victime.
Triple infanticide déguisé en incendie suicidaire, une mère tue ses trois enfants avant de se suicider en mettant le feu à sa maison....
La femme de 34 ans, dépressive depuis que son mari avait annoncé son intention de la quitter, a commencé par mettre fin à la vie de ses trois enfants de 3, 6 et 7 ans. Puis elle a déclenché un incendie et mis fin à ses jours.
C'est une lettre d'adieu, miraculeusement épargnée par les flammes, qui ont mis les policiers sur la piste, donnant une explication à la macabre mise en scène découverte après l'extinction de l'incendie, les 4 corps étaient regroupés au centre d'une même pièce au premier étage de la maison.
Il maquille son suicide en meurtre
La présumée victime avait laissé des indices visant à accuser son frère de son meurtre. Les expertises démontreraient le contraire. Des éléments troublants découverts sur le corps retrouvé dans un champ à Sainte-Radegonde fragilisent la thèse du suicide.
Un quinquagénaire de la commune de Sainte-Radegonde, dans le Lot-et-Garonne, n'aurait pas été tué par son frère, comme pouvait le faire croire les premières constatations. La victime se serait vraisemblablement suicidée, en maquillant son geste avec plusieurs indices pouvant laisser penser à un meurtre commis par son frère, avec lequel il entretenait des relations exécrables.
Les faits remontent à début juillet. L'agriculteur de 53 ans est retrouvé dans un verger de pruniers situé sur la propriété de son frère. L'arme, un fusil de chasse, est retrouvé à côté du corps, laissant d'abord penser à un suicide.
Mais plusieurs éléments troublants ont ensuite semé le doute dans l'esprit des enquêteurs. D'abord, aucun véhicule du défunt ne se trouve à proximité, alors qu'il habite à six kilomètres du lieu. Ensuite, il était déchaussé, avec des chaussettes propres aux pieds... le mort était en chaussettes et celles-ci étaient propres, trop propre en tout cas pour qu’il eût marché depuis chez lui ou de chez son frère. Ses bottes, elles, seront retrouvées... chez son frère. Mais très vite, ils constatèrent certains éléments pour le moins troublants entre autres, le positionnement du corps et du fusil !!
Après avoir entendu le frère, et constaté qu'il n'avait aucune trace de poudre sur les mains, les enquêteurs ont fini par le relâcher et suivre la première piste, celle du suicide maquillé en meurtre.
Une vengeance posthume contre son frère ! Nous avons beau savoir que dans certaines familles les relations sont loin d’être « un long fleuve tranquille » nous ne mesurons pas quelle charge de haine et de rancœurs accumulées peuvent avoir présidé à une telle mise en scène.