Ben Alexis en 2 échanges tu as une idée de l'énormité du programme ... celui d'unifier le Secours à Personne entre tous les intervenants
parce que personne ne veut perdre un tout petit bout de sa "couverture" et tant que les Politiciens qui gouvernent la France ne définiront pas les taches de chacun, ces braves gens de terrain vont continuer de se "déchirer" et se "dénigrer" parce qu'il n'y a qu'un intérêt en jeu ... c'est le FRIC et pas la volonté d'aider son prochain
J'ai entendu un jour le Professeur Albert Jacquard qui disait qu'il n'y a rien de plus stupide que la compétition entre les humains
Dans la nature les êtres et les plantes ont cessé la compétition en faisant un choix "d'activité" ... exemple les Martin pécheur : il existe trois espèces de ces oiseaux qui pèchent le poisson. Chacun d'eux a choisi une variété de poisson et a adapté son bec (petit bec = petit poisson / grand bec = gros poisson )
Donc un pompier est capable de grimper à une échelle ou une corde, progresser dans la fumer, découper une bagnole, etc.. etc ... pour aller chercher une victime ... pas l'ambulancier.
Donc le pompier secours et l'ambulancier médicalise puis transporte
Pour les secours en montagne les Gendarmes et les CRS ont eu l'initiative alors qu'ailleurs se sont les premiers qui ont investi le terrain du SAP.
Un PGHM est composé de militaires aux hautes compétences techniques et pédagogiques. Aujourd'hui, on y compte des guides de haute montagne, des titulaires du diplôme de pisteurs-secouriste, de moniteurs de ski, de canyon, de secourisme et des maîtres de chien d'avalanche. Ils travaillent en étroite collaboration avec le SAMU, les hélicos Choucas de la gendarmerie et Dragon de la sécurité civile et évidemment avec le Groupe Montagne Sapeurs-Pompiers (GMSP).
En montagne (sur ou sous la montagne) dans les années 1956/60 il a fallut se professionnaliser et les seuls qui étaient investis de pouvoirs d'enquêteur judiciaire étaient les Gendarmes
ils ont donc pris naturellement le secours en montagne et on délaisser le secours routier au profit des pompiers/SAMU mais continuent les enquêtes lors d'un accident mortel de la circulation
Nous sommes obligés de faire évoluer ces mentalités corporatistes et comme dit par d'autre camarades il faut avoir "travaillé" dans les divers services pour mieux s'apprécier et se connaitre.
D'autre part le "boulot du SAP" est porteur d'honneur mais nous sommes trop ou pas assez nombreux suivant l'activité
OK c'est réducteur