Auteur Sujet: Vitesse = Infraction pour grand excès de vitesse ; il n'y a pas d'âge !  (Lu 9383 fois)

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Le 27 mai 2012 à 4h45, au petit matin, un équipage de la BRI de POUSSAN (Hérault - 34) en poste sur l'autoroute A9 constate qu'une Peugeot 406 coupé circule à la vitesse de 183 km/h au lieu des 130 km/h réglementaires.
Les militaires décident d'intervenir.
Une poursuite s'engage alors. La vitesse oscille rapidement entre 210 et 230 km/h. Après quelques kilomètres, le conducteur de la 406 tente une manœuvre dangereuse en serrant le véhicule rapide d'intervention contre la glissière de sécurité.

Faisant preuve d'une grande lucidité et face à ce comportement irrationnel qui met en danger les autres occupants du véhicule et leur propre sécurité, l'équipage décide de mettre un terme à la poursuite et prévient par radio les militaires du peloton d'autoroute de CLERMONT-L'HÉRAULT, qui procédait à des contrôles d'alcoolémie.
Ils interceptent en sécurité la Peugeot 406 lors de son passage à la barrière de péage de LUNEL.

Outre le chauffeur mineur et non titulaire du permis, cinq autres personnes se trouvent dans le véhicule, non assuré et dont le certificat d'immatriculation porte la mention " vendu ".

Pris en charge par la BRI, le jeune conducteur a été convoqué devant le tribunal pour enfants.

Le sang froid et la réactivité de tous les militaires concernés ont permis d'éviter toute escalade, tout en favorisant une interception en douceur, ce qui mérite d'être mis à l'honneur.

Auteur : SDSPSR/Sirpa gendarmerie.

Hors ligne Jeano 11

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Quatre jours de permis et déjà flashé à 191 km/h !!
Un jeune homme qui avait obtenu son permis de conduire le 17 juillet 2013, a été contrôlé à 191 km/h ce dimanche matin à Limendous (Pyrénées-Atltantiques) sur l’A64. Selon nos confrères de Sud-Ouest, il était 11h25 quand ce conducteur de 22 ans, originaire des Hautes-Pyrénées, a été stoppé par le peloton motorisé de gendarmerie d’Artix. Le jeune homme pressé se rendait à la plage à Saint-Jean-de-Luz avec une amie. C’est elle qui a pris le volant de l’Opel Astra incriminée après que le conducteur s’est vu retirer son permis. Plus précisément son attestation temporaire dans l’attente du permis de conduire.

Sur la même autoroute Âgé de 48 ans, ce Tarbais avait un rendez-vous important sur la côte basque hier matin. Malheureusement pour lui, l’A64 est surveillée par le peloton de gendarmerie motorisé d’Artix.
Il pensait gagner du temps en fonçant sur l’autoroute mais il a été flashé à 185 km/h à hauteur de la commune de Limendous à 10h40.
Conséquence directe : son permis a été immédiatement suspendu pour une durée de deux mois et son véhicule immobilisé. Il a dû appeler une connaissance qui est venue le chercher. Et il a raté son rendez-vous.

Un conducteur de 78 ans a été arrêté par les gendarmes du peloton motorisé d'Artix, dans le cadre d'un contrôle radar sur l'A64.
A hauteur de la commune de Maslacq, le septuagénaire a été flashé à 191 km/h. Aux gendarmes, il a expliqué avoir rendez-vous à l'hôpital de Pau.
C'est son épouse qui a dû prendre le volant pour poursuivre la route après la rétention immédiate de son permis (et six points en moins) infligée au chauffard.

La gendarmerie multiplie les interpellations pour les grands excès de vitesse. (archives Bruno Robaly)
Plusieurs conducteurs étaient jugés vendredi pour des grands excès de vitesse (plus de 50 km/h au-dessus de la limite autorisée). Jusqu'à 190 km/h route de Tarbes…

Deux jours après un nouvel accident mortel sur la route de Tarbes à Ger, le tribunal d'instance jugeait hier plusieurs automobilistes coupables de "grands excès de vitesse" - plus de 50 km/h au-delà des limites autorisées. Et trois d'entre eux avaient justement été interceptés par les gendarmes sur cette même D817, toujours à Ger.
 
Le jeune militaire de 24 ans surpris le 24 avril à 190 km/h au lieu des 90 autorisés (180 km/h retenus) avait été immédiatement sanctionné par l'immobilisation de son véhicule et une suspension administrative de son permis pendant six mois. Et il a déjà payé très cher son excès : sa hiérarchie lui a collé vingt jours d'arrêt et son contrat au sein de l'armée risque de ne pas être renouvelé.

Aujourd'hui, il regrette et veut vendre sa puissante Opel Astra Bertone de 200 cv. Le tribunal l'a condamné à huit mois de suspension du permis de conduire. Il devra effectuer à ses frais un stage de sensibilisation à la sécurité routière. Sa voiture aura au total été immobilisée pendant deux mois : le jeune homme devra donc débourser les (très coûteux) frais de fourrière pour la récupérer.

La D817 à Ger est visiblement propice aux excès : 154 km/h pour un boucher landais de 57 ans au volant de sa BMW ("Je n'ai pas regardé le compteur…") ou encore 157 km/h pour un retraité de Capbreton (qui "écoutait la radio et pensait au match de foot du soir"). Des conducteurs qui ne sont pourtant "pas des dingos du volant" (dixit un avocat) : ils avaient jusque-là tous leurs points et un maximum de bonus.

Des jeunes conducteurs épinglés sur la D2
Deux autres "grands excès" ont été constatés à Tarsacq, sur la D2. Là, ce sont deux jeunes conducteurs, qui, au lieu des 80 km/h que leur impose leur permis probatoire, ont été "flashés" à 157 km/h pour le premier, un Mourenxois au volant d'une BMW, et 140 km/h pour le second, un charcutier qui a investi ses économies dans sa voiture. Tous deux ont besoin de leur permis pour pérenniser leur emploi : face au juge, ils "regrettent" et promettent que l'on ne les y reprendra plus.

"Quand on roule à plus de 50 km/h au-dessus de la limite, ce n'est pas de l'inattention, c'est un choix délibéré", martèle le vice-procureur Sébastien Ellul, en rappelant que la vitesse reste une des principales causes d'accidents graves sur la route.

Le gendarmes sont de bon chasseurs mais les CRS ne sont pas mauvais  ;D
Les policiers de la CRS autoroutière Aquitaine ont intercepté, un automobiliste parisien circulant à 160 km-heure au volant d'une berline allemande.
Le conducteur, âgé d'une trentaine d'années, a été flashé par l'unité motocycliste lors d'une opération de contrôle menée sur la rocade bordelaise dans la montée de Bouliac, à Lormont, en direction de Paris. Son permis a été retiré sur le champ.
C'est son passager qui a pris le volant pour poursuivre la route.

Un automobiliste qui revenait de vacances de Ciboure et regagnait son domicile d’Avignon a été contrôlé samedi en excès de vitesse sur l’autoroute A 64. Sa Mercedes a été flashée à 189 km/h sur la commune de Poey-de-Lescar. Son permis de conduire lui a été immédiatement retiré. Sa compagne a pris le volant pour poursuivre le voyage.

Un autre automobiliste a été flashé dans l'autre sens à 180km/h. Il s'agissait d'un conducteur lyonnais qui partait au Portugal. Son permis lui a été retiré et sa compagne l'a elle aussi remplacé derrière le volant.
 
"C'est de l'inconscience", commente le commandant Jocelyn Jeanneau, patron de la CRS autoroutière, nous sommes en plein chassé-croisé lors d'une période de vacances et la circulation est bien plus dense qu'à l'ordinaire.

Hors ligne Jeano 11

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Fausse joie pour un Landais de 18 ans originaire d'Aire-sur-l'Adour, dont le permis de conduire a été retiré dans la journée de son obtention.  cartonnes!
Samedi matin, lorsqu'il le reçoit par La Poste, il ne sait pas encore qu'il va se faire contrôler l'après-midi à 175km/h sur une route limitée à 110.

La vitesse de l'Opel Astra du jeune conducteur a été retenue à 166km/h par la brigade de gendarmerie de Tartas, sur la 2x2 voies reliant Mont-de-Marsan à Dax. La sanction ne s'est pas faite attendre, puisque convoqué au tribunal au mois de juin, il encourt non seulement une annulation de permis mais aussi une amende qui peut s'élever jusqu'à 1500 €.  Si le jeune homme n'est heureusement pas détenteur de la vitesse la plus élevée sur la route, il détient sans doute celui de l'automobiliste qui a conservé son permis le moins longtemps.  :'(

LaDépêche.fr

Autre histoire  ;)
Un automobiliste, dont le permis avait été confisqué à Charenton-le-Pont (Val-de-Marne) après avoir roulé à 170 km/h au lieu de 90 km/h, a été surpris 15 minutes plus tard toujours au volant de sa voiture et interpellé, annonce la préfecture de police (PP) de Paris.

Au cours d'une opération de contrôle de vitesse, les policiers avaient sanctionné deux excès de grande vitesse : Un motard roulant à 159 km/h et un automobiliste à 170 km/h, au lieu de 90 km/h avaient sur le champ fait l'objet d'une rétention de leur permis de conduire.

Le motocycliste était reparti à pied, son engin étant immobilisé, mais le conducteur de la voiture a eu l'opportunité de laisser le volant à sa passagère.

Un quart d'heure plus tard, les motards reconnaissent ce même conducteur, installé au volant de sa voiture. Le chauffard tente alors de leur échapper, mais dans sa précipitation, s'engage dans une voie en sens interdit et se trouve bloqué par un véhicule arrivant en face, ce qui a permis son interpellation.

Auteur AFP

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[SÉCURITÉ ROUTIÈRE]
Ne gâchez pas vos vacances inutilement...  :-[
Un bel exemple à ne pas suivre... Jeune permis, il est flashé à 154 km/h au lieu de 90 ... il était titulaire de son permis que depuis 8 mois... Il lui a été retiré immédiatement !

210 km/h au lieu de 130. C'est la vitesse à laquelle roulait un père de famille transportant ses 4 enfants, le 3 août dernier sur l'A63, avant d'être intercepté par les motocyclistes de l'escadron départemental de sécurité routière des Landes.
Rétention immédiate du permis de conduire + 1500 € d'amende et immobilisation du véhicule
ON NE REGRETTE DE ROULER TROP VITE QUE LORSQU'IL EST TROP TARD.


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Pour information :
1) L'insécurité routière coûte entre 20 et 23 milliards d'euros par an à l’État (tués, blessés hospitalisées, blessés légers, dégâts matériels des accidents corporels, dégâts accidents matériels). Les infractions routières elles ne rapportent que environ 1,5 milliards d'euros par an...
2) Les véhicules de la gendarmerie sont financés par le budget annuel de la gendarmerie, sans rapport aucun avec la recettes des infractions relevées. (et d'ailleurs heureusement sinon nous serions bien pauvres en véhicules et équipements...)