Tu vois, ça me fait penser au célèbre obstétricien Sylvain Mimoun, écrivain à heures perdues que l'on voit souvent dans des émissions télévisées.
Dans ces bouquins il écrit: "...je suis avec une patiente de 37ans, elle présente telle pathologie...", un peu plus loin il remet une couche: "...mademoiselle X, mère de 8 enfants, battue, violée par son mari, vient me consulter..."
On a le droit de ça. Ce qu'on n'a pas le droit de faire c'est de révéler l'identité de la personne (victime), ou de donner des informations suceptibles de l'identifier clairement.
La demoiselle qui appelle sa tante pour raconter l"histoire de sa voisine peut revoir ses cours de cca, ou ferait bien de le passer parce que c'est pas à l'afps qu'on vous apprend ce qu'est le secret médical, ou le secret partagé. Pourtant on vous autorise à travailler en tant qu'ambulancier quand même.
Alors à qui la faute?? Si personne ne lui a appris les bonnes manières autrefois, ou si personne (ses collègues par exemple) ne lui explique ce qu'elle a le droit de dire et de ne pas dire...sa faute a à elle? ou la faute de ceux qui autorisent aux "ignorants" d'avoir entre leurs mains des infos précieuses, éventuellement divulguables...
à bon entendeur... je retire mon "honte aux gens qui...".
Quand un afps débarque dans une entreprise d'ambu avec que l'afps en poche et peu de route derrière lui, il n'est pas censé être au courant de cela puisque personne ne lui demande de l'avoir appris. Et c'est marqué ni dans son contrat de travail, ni dans l'ambulance...