Bonjour,
Ben il n'est pas trop chaud par rapport à la vie de famille et il a un peu peur
Il a peur de ne pas avoir sa soupe chaude, sa bière et son journal en rentrant au logis lorsqu'il se vautrera sur le canapé devant la TV
Je pense à mon avis que cela est une fonction comme bien d'autres dans lesquelles la femme est investi et pas plus pénible familialement que celle d'infirmière, d'institutrice, d'ambulancière, de gardienne de prison, une vendeuse ou caissière de supermarché, etc... à vous de bien discuter afin de vous comprendre, allez vous renseigner dans le poste de police le plus proche afin de vous renseigner sur le déroulement des services mais je pense que vous aurez d'ici peut d'autres réponses à vos questions par nos amis du forum
Femmes dans la Police (France).
Intégration des femmes dans la Police Nationale Française
En 1935, deux agents de police féminins sont pour la première fois recrutées à la Préfecture de Police, sous l’appellation « d’assistantes de police ». Portant l’uniforme, elles sont chargées de la protection des mères et des enfants sur la voie publique, ainsi que des enquêtes concernant les enfants en danger moral. Rattachées, à compter de 1942, à la brigade des mineurs de la Police Judiciaire (PJ) leur nombre atteint en 1965 le chiffre de 60.
A partir de 1953, à Paris et 1968 pour l’ensemble du territoire national, les assistantes de police sont assimilées aux officiers de police adjoint et quelques postes leur sont réservés aux concours.
Elles demeurent toutefois cantonnées à des tâches sociales de protection de l’enfance et de la famille.
Les années 1970 marquent un tournant décisif avec l’accession progressive à tous les postes ouverts au concours d’inspecteur de police (anciennement officier de police) en 1972, de commissaire de police en1974, de gardien de la paix en 1978 et d’officier de paix en 1982.
En effet, jusque-là, les femmes dans la police étaient considérées comme des assistantes sociales travaillant dans les départements sociaux, de la jeunesse et des mœurs.
Ce stéréotype allait s'atténuer.
Les femmes furent peu à peu admises dans les concours :
en 1972 à celui d'inspecteurs, en 1974 à celui de commissaire, en 1978 à celui de gardien de la paix.
Pour la première fois, elles purent endosser la tenue, mais il fallut attendre 1983 pour les voir autorisées à gravir les échelons et à se présenter aux examens d'officier de paix. La discrimination entre sexes subsista néanmoins, puisque le recrutement dans la Police était contingenté.
Un arrêté de la Cour de justice européenne du 30 juin 1988 condamna la France et la força à abandonner une politique de recrutement fondée sur des quotas.
Depuis le 01 janvier 1991, les femmes ont accès à l'ensemble des missions, à l'égal des hommes. Elles ont intégré de plus en plus nombreuses l'institution policière. En 1987, la proportion des femmes
au sein des corps actifs de la police atteignait 4%, soit 4592 fonctionnaires. En 2004, les femmes représentaient 13% des effectifs dans le corps de maîtrise et d'application (devenu Corps d'encadrement et application, celui des gardiens de la paix), 17% dans le Corps de commandement, 17% dans le Corps de conception et de direction et 6% pour les hauts fonctionnaires de la Police Nationale.
Découvrir une femme policier célèbre : Martine Monteil.
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